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à l'autre une telle Déclaration à la Fin des dix années susmentionnés; il est convenu qu'à l'Expiration des douze mois, après qu'une telle Déclaration aura été reçue par l'une des H. P. contractantes de la part de l'autre, ce Traité et toutes les Stipulations qu'il contient, cesseront d'être obligatoires pour les deux Parties.

Le Danemark entretient:

à Rio de Janeiro, un Consul-général et Chargé d'Affaires, à Rio grande de San Petro de Sul, un Consul,

à Bahia, Fernambouc et Santos, des Vice-Consuls '). Le Brésil entretient:

à Copenhague, à Elseneur et à Gluckstadt (dans le Duché de Holstein), des Vice-Consuls 2).

§. 6.

DANEMARK ET CHINE.

Le Commerce des Indes orientales et de la Chine, est exploité par la Société royale asiatique, fondée en 1616 3), et dont le dernier Octroi, du 21 Mars 1792, a été indéfiniment prolongé par la Résolution royale du 16 Janvier 1812.

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3) Compagnie danoise des Indes orientales ou asiatique. Depuis plusieurs générations, les Rois de Danemark travaillaient à enlever aux Hanseates le Commerce exclusif dont ils s'étaient emparés. Un des moyens imaginés par le Roi Chrétien IV, pour arriver à ce but, fut l'Erection d'une Société du Commerce des Indes orientales. Il la fonda, le 17 Mai 1616, et lui accorda le Privilege exclusif de doubler le Cap de bonne Espérance avec deux Vaisseaux par an). Ce fut précisément à cette époque, qu'un Négociant hollandais, nommé Marchelis Boshouwer, revint de Ceylan, où il avait fait fortune, se disant envoyé par l'Empereur de cette lle, pour chercher des secours contre les Portugais. Boshouwer se qualifiait de Prince de Migomme, Cocklecorle et autres Lieux, Président du Conseil

*) Cité dans Martens, Cours diplomatique, T. II. p. 830.

de la guerre, Membre du Conseil privé, Amiral et Capitaine général de l'Empire de Ceylan. On se moqua de cet Ambassadeur dans sa patrie; mais Chrétien IV reconnut en lui un homme dont il pourrait tirer parti pour l'exécution de ses plans, et lui confia pour son Empereur 450 Soldats et un Vaisseau de guerre, qu'il fit accompagner par cinq Vaisseaux de la nouvelle Compagnie. Cette Escadre, commandée par Ove Giedde, partit de la Rade de Copenhague, en automne 1618, et débarqua, le 20 Mai 1620, dans l'lle de Ceylan. L'Empereur conclut avec Giedde un Traité de Commerce fort avantageux aux Danois, mais le Prince de Migomme étant mort, il y eut une brouillerie, et le voyage serait peut-être resté sans aucun résultat, si Roland Krappe, l'ancien Associé de Boshouwer, n'avait trouvé moyen dans l'intervalle, de faire faire à la Compagnie danoise une acquisition très importante. Il disposa le Naik **) de Tanjaore à céder, contre un Tribut annuel aux Danois, la Ville de Tranquebar (Tirangaburam), alors détruite par une inondation, avec

**) Naik, Titre usité dans quelques parties de l'Inde, qui équivaut à celui de Radjah

Le Danemark entretient:

à Canton, un Consul1).

le District qui l'entoure. Giedde alla prendre Possession de ce Territoire, y construisit un petit Fort, y établit une Colonie et retourna à Copenhague, où il arriva le 4 Mai 1622.

La Compagnie fut au commencement très peu considérable; les Actions, qui n'étaient au nombre que de 1600, à 450 rixdales chacune, ne faisant en tout qu'un mince capital de 720,000 rixdales, trop faible sans doute pour un Établissement de cette nature; aussi les opérations de la Société ne firent-elles que languir, et bientôt des pertes imprévues épuisèrent ses Fonds; elle cessa d'exister, en 1634.

Le Roi Chrétien V érigea une nouvelle Société du Commerce des Indes orientales, à laquelle il accorda, par l'Octroi du 28 Novembre 1670, le Droit de guerre et de paix, et presque tous les Pouvoirs souverains, par rapport aux États indiens *). Cet Octroi fut prolongé pour 40 ans, le 29 Octobre 1698 **), et confirmé par le Roi Frédéric IV, le 2 Septembre 1699 ***). Cette nouvelle Compagnie prospera d'abord; elle fonda diverses Factoveries sur la Côte de Malabar, en Bengale et à Bantam, mais la modicité de son Capital, les guerres qu'elle fut obligée de soutenir contre le Roi de Tanjore, et les fautes qui furent commises par les Gouverneurs des différents Établissements danois, l'affaiblirent tellement, que le Roi jugea nécessaire d'instituer, le 4 Octobre 1726, une Commission chargée d'examiner sa situation. Pendant que la Commission s'occupait de ce travail, un Négociant hollandais, nommé Josie d'Aspern, qui avait été Membre de la Compagnie autrichienne d'Ostende t), fit agréer au Roi, le 30 Octobre 1727, un Projet d'après

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lequel il devait être fondé dans la Ville d'Altona, sur l'Elbe, une nouvelle Société pour le Commerce de Tranquebar, de Bengale de Chine et des Indes orientales en général, laquelle jouirait de tous les Priviléges de l'ancienne Société, et se chargerait de ses Dettes, s'il était vrai qu'elles ne dépassaient pas la somme de 100,000 rixdales tt). Il se présenta beaucoup d'Actionnaires pour cefle Entreprise, mais elle fut étouffée dans sa naissance par la jalousie des Anglais et des Hel landais. George 11 et les États-généraux déclarèrent au Roi Frédéric IV, qu'ils ne souffriraient point l'Établissement d'une Com pagnie des Indes orientales à Alton it); la Ville d'Amsterdam fit emprisonner la femme et les enfants d'Aspern, et confisqua ses biens; lui-même fut condamné à ètre pendu, parre que, Citoyen d'Amsterdam, il était entré dans une Société de Commerce étrangère. Toutes ces Contrariétés empéchèrent la mesvelle Société de se constituer, et l'ancienne Compagnie des Indes orientales rendit au fei ses Priviléges et se sépara, le 28 Avril 1729.

Immédiatement après la Séparation de l'ancienne Société, un Négociant de Brent, Pierre Backer, proposa la Fondation d'une nouvelle Société. Le Prince reyel prit goût au projet de cet homme très ea tendu; il se mit à la tête d'une Association, qui prit le nom de Société royale asiatique, et à laquelle le Roi Chrétien VI accorda, le 12 Avril 1732, pour 40 ans, le Privilege clusif du Commerce, depuis le Cap de bonst Espérance jusqu'en Chine 00). Les premiers

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et

***) Rousset, 1. c. T. V. p. 28.

t) Voyez plus haut p. 329. Col. 2. note 4. 635. Col. 2. continuation de la note 1 de la p. 621.

tt) Rousset, 1. c. T. V. p. 2-19. ttt) Rousset, l. c. T. V. p. 33-42. °) Rousset, I. c. T. V. P. 42.

00) Ludewig Freyherra von Helberg, Dänische und Norwegische Staatsgeschichte, ins Deutsche übersetzt durch Lud. Conrad Bargum (Copenhague

§. 7.

DANEMARK ET DEUX-SICILES.
(Voyez plus haut Sect. II. Art. I. §. 7. p. 211.)

Vaisseaux, expédiés par Backer, retournèrent avee un bénéfice considérable. Le Capital primitif fut de 100,000 rixdales, divisés en 400 Actions, mais comme le prix des Actions monta successivement de 250 à 750 rixdales, on quadrupla, en 1744, le nombre des Actions. Les Hollandais entravèrent de mille manières le Commerce de cette Compagnie, ce qui engagea le Roi à suspendre, en 1732, les Priviléges dont les Négociants avides de cette Nation jouissaient à l'égard des Droits de Douane, en Danemark et en Norvège: cette mesure produisit l'effet désiré. — A partir de cette époque, le Dividende, que la Compagnie paya aux Intéressés, fut de 164 rixdales par an, l'un portant l'autre, pour chaque Action qui n'était que de 450 rixdales. Outre cela lorsqu'en 1772, il fut question de faire la Répartition du Capital entier, elle se trouva l'avoir grossi si prodigieusement, qu'elle fut en état de donner à chaque simple Actionnaire pour sa part, depuis 1350 jusqu'à 1400 rixdales. Par cette Répartition du Capital, l'ancienne Compagnie se trouvant entièrement dissoute, il s'en forma sur le champ une nouvelle, qui obtint, le 23 Juillet de la même année 1772, un Octroi pour 20 ans, à commencer du 12 Avril *), sans Privilége exclusif toutefois, et le Commerce privé, libre dès lors à tous les Sujets danois, moyennant une légère

et Leipzig 1750. in 4°.) Chap. VIII. (Dannemarks og Norges Geistlige og Verdslige Staat, ved Lud. Holberg (Copenhague 1749. in 4°. seconde édition.) Lettres sur le Dannemarc (suivant la Copie à Genève) T. 1. 1758. (par Roger) T. II. 1765. (par Reverdis) in 80.) T. II. XII. p. 140. — Schou, 1. c. T. VI. Cité dans Martens, Cours diplomatique, T. II. P. 831.

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Rédevance, prospéra surtout depuis que la Couronne acheta, en 1777 **), tous les Établissements de la Compagnie.

Les Fonds que cette nouvelle Compagnie versa pour soutenir le Commerce et les Etablissements, que l'ancienne possédait dans l'Inde et à la Chine, étaient de 2,400,000 rixdales, qui furent divisées en 4800 Actions, chacune de 500 rixdales. Comme la plupart des Actionnaires de cette nouvelle Compagnie l'avaient été aussi dans l'ancienne, et qu'il n'y avait eu, dans la Succession de l'une à l'autre, d'autre changement que celui d'un nouveau système, apporté nécessairement dans les Opérations, celles-ci ne furent nullement interrompues, et la nouvelle Compagnie avait, pour ainsi dire, commencé ses Fonctions avant méme qu'elle fut revêtue des Pouvoirs nécessaires pour entrer en charge. Par ce moyen elle fut en état, l'année d'après celle de son Établissement, de payer aux Intéressés un Dividende de 8 pour cent, et c'est sur ce pied qu'il a constamment été payé aux Actionnaires, depuis et compris l'année 1774. Ces Actions se négociaient vers la fin du siècle dernier à environ 700 rixdales.

Un nouvel Octroi, portant plusieurs Modifications, fut accordé à la Société pour 20 ans, le 21 Mars 1792, par le Roi (Chrétien VII) ***). La Liberté du Commerce des Indes a encore été étendue par l'Ordonnance

tien VII) achète les Possessions territoriales de la Compagnie asiatique pour la somme de 176,000 rixdales. (Mercure hist. et polit. 1777. T. I. 611. p. Bruchstücke zur dänischen Statistik, dans le Goettingische Magazin, Année 3. Cah. 3. p. 358. Cité dans Martens, Cours diplomatique, T. II. p. 832. Hennings, Gegenwärtiger Zustand der Besitzungen der Europäer in Ostindien (Copenhague 1784. gr. in 8.) p. 31. Politisches Journal, 1788. p. 913. 1790. p. 259.)

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***) Joh. Heinr. Schlegel, Geschichte der Könige von Dänemarc aus dem Oldenburgischen Stamme (Copenhague T. I 1769. T. II. 1777. in fol.) T. I. P. 405. sqq. Cité dans Martens, Cours diploma

1) C'est le Titre que portent les Ordonnances danoises, dont on a formé annuellement

un Recueil in 4o., depuis l'an 1670.

§. 8.

. DANEMARK ET ESPAGNE.

(Voyez plus haut Sect. III. §. 4. p. 341.)

du 12 Juin 1797 *), qui admet même la Participation des Étrangers sous quelques Restrictions particulières.

Par une Résolution royale, du 16 Janvier 1822, le dernier Octroi, du 21 Mars 1792, a été indéfiniment prolongé **).

Le Siège de la Société royale asiatique est à Copenhague. La Direction de la Société est composée de trois Directeurs, quatre Assesseurs, portant le titre de Decisoren, deux Reviseurs, plusieurs Teneurs de livres et autres Employés subalternes ***), dont les Traitements montent à la somme d'environ 11,000 rixdales.

La Société est tenue de payer à la Couronne, en reconnaissance de l'Octroi, et tant qu'il durera, 5000 rixdales, s'il ne revient en Danemark qu'un seul Navire de la Chine, 8000 r. s'il en revient deux, et 10,000 s'il en revient trois t). Elle paye d'ailleurs 2 pour cent du montant des Marchandises, que ses Navires rapportent de l'Inde et de la Chine. Quant celles qu'elle y envoie par les mêmes Navires, elle ne paye aucun Droit à la Couronne, mais elle doit nécessairement exporter du Royaume, par chaque Navire au moins pour 3000 rixdales de Marchandises manufacturées dans les États du Roi, si le Navire est destiné pour l'Inde, et au moins pour 4000 r. des mêmes Marchandises, s'il part pour la Chine. Les Navires dont la Compagnie se sert, pour faire ce Commerce, doivent être construits en Danemark.

Il est permis à tous les Habitants de Tranquebar et de l'Inde, tant Natifs qu'Étrangers, de faire le Négoce et le Commerce, aussi bien avec les propres Factoreries de la Compagnie, que d'une Place à l'autre dans l'Inde,. 、 en delà du Cap de bonne Espérance, excepté la Chine, moyennant le payement des Redevances, qui seront toujours fixes de 4 pour cent des Marchandises portées à Tranquebar depuis l'autre côté du Cap, et depuis le Cap inclusivement de ce côté-ci, 2 pour

tique, T. II. p. 833. Frid. Thaarup, Kort Virledning til det danske Monarchies Statistik samt dens Litteratur (Copenhague 1794. T. I. II. in 8°. seconde édition.) T. II. 237. sqq. *) Cité dans Martens, Cours diploma tique, T. II. p. 834.

P.

cent; et 2 pour cent des Marchandises qui sortiront de Tranquebar, excepté celles dent il faut au retour payer 8 pour cent à Copahague.

La Compagnie fait une Remise en Espèce, d'environ 200,000 piastres chaque année, Employés qu'elle entretient dans l'Inde et à la Chine, autant pour faciliter le Débouche des Denrées et Marchandises des Cargaisons d'Envoi, que pour s'en procurer de meilleas et plus prompts Retours. Ces Espèces onsistaient autrefois en piastres d'Espagne (Noyez plus haut p. 855. Col. 2. note 3.), que des Entrepreneurs fournissaient à la Compagnie, suivant les Conditions auxquelles ils étaient soumis dans les Ventes publiques, que celle-ci faisait tous les ans à Copenhague Plus tard, la Compagnie, ou, pour mieux dire, le Gouvernement qui la favorisait en tout, fit battre au coin du Danemark toutes les Espèces dont elle avait besoin. Ces Epèces de nouvelle Fabrication sont du même poids et titre des piastres d'Espagne d'avant l'époque de 1772, c. à. d. de 10 deniers et 22 grains de finesse. Elles ont au reste, por imiter ces dernières monnaies, d'un côté, les Armes du Danemark (sans les deur Seavages qui leur servent de Supports), et de l'autre, les Colonnes avec les mots Plus trù, et les deux Globes au milieu, dent le premier représente la Carte des États de Danemark en Europe, et le second celle de Groenland et des lles de Sainte-Crois, Saint-Thomas et Saint-Jean en Amérique. (Encyclopédie méthodique, Commerce, T. II. p. 4.)

La Factorerie, que la Société royale asistique entretient à Canton en Chine, est com posée de deux Subrecargues (Voyez plas haut P. 349. Col. 1. note 1.) et de deux d sistants, qui sont tour à tour relevés par un Subrecargue et un Assistant, que la Compagnie fait embarquer dans chaque

**) K. D. Hof- und Staats- Kalender, 1838. Col. 243.

***) Ibidem, Col. 243. 244.

t) La Société n'expédie en tout que 3 sa 4 Navires, chaque année, dans l'Inde et à la Chine, et elle n'en reçoit en retour que le même nombre ou à peu près.

§. 9.

DANEMARK ET ÉTATS DE L'ÉGLISE.

Il n'existe aucune Espèce de Traité entre le Danemark et le St. Siège.

Navire qu'elle expédie pour la Chine. La Société accorde à tous ces Employés une Provision de 1 pour cent de la valeur des Marchandises de la Chine, sur le pied qu'elles sont vendues en Europe, s'il n'y a qu'un seul Navire dans toute l'année; 1 pour cent s'il y en a deux, et pour cent seulement, s'il y en a trois ou davantage; et cette Provision est partagée entre eux suivant les ta5 lents et les services de chacun. La Compagnie accorde d'ailleurs aux Subrecargues et Assistants, qui sont habitués dans la Chine, une somme de 2400 piastres, tant pour leur entretien pendant que les Navires sont absents, que pour leurs voyages à Macao, s'ils y sont forcés, et pour argent de Cullie *) et autres Dépenses pendant ce tems.

Depuis que la Permission de trafiquer dans l'Inde a été donnée aux Particuliers, tant Sujets danois qu'Etrangers, qui veulent s'associer à eux pour ce Commerce, il s'est formé à Copenhagué une Société particulière, qui expédie tous les ans un ou deux Navires pour Tranquebar et le Bengale, et qui en reçoit - pareillement un ou deux en retour. Il est toutefois absolument défendu aux Navires para ticuliers, de rapporter des Marchandises qui viennent de la Chine, et cela sous peine de Confiscation, puisque ce Commerce appartient exclusivement à la Société. (J. H. Schlegeln, Geschichte Christian IV, Königs in Dännemark (Copenhague et Leipzig T. I. Liv. I. 1558-1596. Liv. II. 1596-1612. (1757.) Liv. III. 1613–1629. (1771.) in 4o.) **)

*) Argent de Cullie. Le mot Cullie, employé dans l'Encyclopédie méthodique (Commerce, T. 1. p. 5. Col. 1. ligne 21. d'en bas) ne se trouve dans aucun des Dictionnaires nous avons éte à même de conque sulter. Nous doutons fort qu'il soit français. Toutes nos recherches, pour en connaître la signification, étant resté infructueuses, nous n'avons à offrir au lecteur que l'explication ci-après, fondée sur une conjecture émise par un marin, homme instruit et pratique. En Chine, le Chargement d'un Navire se compose de choses assez précieuses, pour que le

†) Voyez plus haut T. II. du Manuel, P. I. Liv. II. Chap. I. Sect. III. Art. IV. France.

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Liv. III. p. 48. note 50. p. 92. note 99. Encyclopédie méthod. Commerce, T. I. p. 699. T. II. Art Dannemark (État actuel du Commerce, etc.) p. 3-6. Savary, Dict. universel du Commerce, T. 1. Col. 1322. Art. Commerce des Danois. Col. 1420. Art. Compagnie danoise pour les Indes orientales. Anderson, 1. c. T. II. p. 254. T. III. p. 151. 153. 258. - Totzen, l. c. T. II. Chap. VII. §. XLVIII. p. 695 697. Martens, Cours diplomatique, T. III. Liv. VI. Chap. I. Danemare en général, §. 365. Possessions aux Indes orientales; Commerce de la Chine. p. 356. 357. Schoell, Cours d'Histoire, T. XXII. Liv. VI. Chap. XXV. p. 380-391. T. XXXIV. Liv. VII. Chap. XV. Sect. VI. 233. T. XLV. Liv. VIII. Chap. XXV. Sect. 1. 178. 179. Sect. II. p. 186. Sect. IV. p. 248. Ricard, Traité général du Commerce, T. I. Part. 1. Liv. II. Chap. I. Art. I. p. 225.)

P.

p.

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