| 1785 - 360 pagine
...Mais vous jugez , Seigneur , de Pâme par le bras , £t souvent l'un paroît ce que l'autre n'est pas. Lorsque deux factions divisent un Empire, Chacun suit...nécessité Qui l'emporte vers l'un , ou vers l'autre côte, le plus juste parti, difficile à connoître , Nous laisse en liberté de nous choisir un Maître... | |
| François Moysant - 1803 - 438 pagine
...Mais vous jugez, seigneur, de l'âme par le bras: Et souvent l'un paroît ce que l'autre n'est pas. lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit...ou la nécessité Qui l'emporte vers l'un ou vers 1 autre côté. Le plus juste parti, difficile à connoître, Nous laisse en liberté de nous choisir... | |
| Pierre Corneille - 1814 - 398 pagine
...Mais vous jugez, seigneur, de l'ame par le bras; Et souvent l'un paroît ce que l'autre n'est pas. Lorsque deux factions divisent un empire, . Chacun...la pire, Suivant l'occasion ou la nécessité Qui remporte vers Fun ou vers l'autre côté; Le plus juste parti, difficile à connoître, Nous laisse... | |
| Pierre Corneille - 1816 - 290 pagine
...vous lugez, seigneur, de l'ame par le bras ; * 6 Et souvent l'un paroît ce que l'autre n'est pas. Lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit...la meilleure ou la pire, Suivant l'occasion ou la nécessite Çlii l'emporte vers l'un ou vers l'autre côté. Je plus juste parti, difficile à connoître,... | |
| M. de Pradt (Dominique Georges Frédéric) - 1816 - 436 pagine
...l'ouvrage île M. d'Azanza , à la fin. (3j Kafoléon a songé plus d'une fois à remettre I« Rous laisse en liberté de nous choisir un maître ; . Mais quand ce choix est fait on ne s'en dédit plus.Ainsi pensait-on à Rotne et pense-t-on en Angleterre. Écartons d'ailleurs ce nom de Joseph qui... | |
| Dominique de Pradt - 1816 - 438 pagine
...cœur. Je veux dire la question relative aux réfugiés espagnols ., qui sont proscrits de leur patrie. Lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit au hasard la meilleure, ou la pire. a dit notre grand Corneille, ce prince du théâtre, ce précepteur des princes et des peuples , qui... | |
| M. de Pradt (Dominique Georges Frédéric) - 1816 - 428 pagine
...cœur. Je veux dire la question relative aux réfugiés espagnols , qui sont proscrits de leur patrie. Lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit au hasard la meilleure ou la pire. v ( Sertorius. ) a dit notre grand Corneille, ce prince du théâtre, ce précepteur des princes et... | |
| M. de Pradt (Dominique Georges Frédéric) - 1816 - 432 pagine
...l'ouvrage de M. d'Azanza f » la fin. ... , (3, INapoléon a songé plus d'une fois à remettre le /Nous laisse en liberté de nous choisir un maître ; Mais quand ce chois, est fait on ne s'en dédit plus. Ainsi pensait-on à Rome et pense-t-on en Angleterre. Ecartons... | |
| Pierre Corneille - 1817 - 508 pagine
...Mais vous jugez, seigneur, de l'âme par le bras; Et souvent l'un paroît ce que l'autre n'est pas. ' Lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit...l'autre côté. Le plus juste parti, difficile à connoître, Nous laisse en liberté de nous choisir un maître ; Mais quand ce choix est fait on ne... | |
| Pierre Corneille - 1822 - 496 pagine
...prétention : mais c'est un très léger défaut dans un aussi beau discours que celui de Pompée. Lorsque deux factions divisent un empire, Chacun suit au hasard la meilleure ou la pire — Mais quand ce choix est fait, on ne s'en dedit plus, etc. Quelle vérité dans ces vers ! et quelle... | |
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