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que borne à la suivante, jusqu'à la deux cent vingt-deuxième, qui est placée à l'origine du ruisseau d'Igoa.

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Borne no 205. Au col d'Irribourriéta, ou Issaldéa, à 200 mètres. Borne no 206.- A 820 mètres, au sommet de Urculo-mendia, où se trouvent les restes d'une redoute.

Borne no 207. Le signal consiste en une croix, à l'endroit appelé Urculo-guibela, à 630 mètres de la dernière borne.

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Borne no 208. A la gauche du gouffre ou citerne de Lécéandia, à 790 mètres. Ce repère et les deux précédents sont à peu près en ligne droite.

Borne no 209.

Sur le pic rocheux connu par les Français sous le nom de Pagabéharry, à 330 mètres. Le tracé de la frontière va d'ici en ligne droite à la borne no 211.

Borne no 210.

une croix.

Borne no 211.

A 550 mètres dans cette direction; le signal est

A l'origine du territoire nommé Idopil, sur un sommet de la chaîne principale des Pyrénées, et à 600 mètres du repère antérieur.

Borne no 212. Au col Orgambidéaco-lepoa, à 200 mètres, à côté d'un trou rectangulaire peu profond, mais remarquable par ses parois rocheuses et verticales. La frontière va en ligne droite de ce point jusqu'à la borne no 215; les bornes intermédiaires sont placées sur cette ligne, qui descend un peu sur le versant nord de la chaîne, et qui forme, au col d'Orgambidé, un angle aigu avec la ligne des crêtes.

Borne no 213. repère d'Orgambidé. Borne n° 214.

Dans le parage de Zalvétéa, à six cents mètres du

A 550 mètres.

Borne no 215. - A 330 mètres dans un territoire nommé Iparraguerreco-saro-burua, à l'angle sud-ouest d'un bois de peu d'étendue qui se trouve entre deux ravins. A partir de ce point, la pente descend plus rapidement vers le nord. D'ici, la frontière va en ligne droite vers le pic d'Arlépoa; il y a une borne intermédiaire.

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Sur cette ligne droite, à 550 mètres du re

Borne no 217. A 900 mètres de la précédente, au sommet d'Arlépoa. Il est bon de faire remarquer, pour plus de clarté dans le tracé de cette partie de la frontière, que tous les repères, depuis Orgambidé jusqu'à Arlépoa, peuvent être considérés comme situés sur une même direction.

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Borne no 218. A la jonction de deux cours d'eau qui forment le ruisseau que les Français nomment Béhérobie, en amont de la grotte d'Arpéa.

Borne no 219.

la grotte.

Borne no 220.

Croix gravée sur la roche d'Arpéa où se trouve

Sur la crête et au point culminant de la montagne Baratché, à l'endroit où la traverserait une ligne droite qui irait d'Arpéa au col d'Eroïsaté. Le terrain n'a pas permis de mesurer les trois dernières distances d'un repère à l'autre.

Borne no 221. — Au col d'Eroïzatéco-lépoa, à 330 mètres de l'antérieure.

Borne n° 222.

A 230 mètres, sur un tertre pierreux, à droite et près du ravin d'Igoa qui sert de limite jusqu'à sa réunion avec l'Archilondoco-erréca.

Borne no 223. A 730 mètres, à droite de la fontaine d'Igoa.

Borne no 224. - A la jonction des deux ruisseaux d'Igoa et d'Archilondo, à côté du chemin qui suit la rive gauche du premier. Ces deux ruisseaux réunis forment celui d'Egurguy qui divise les deux Etats jusqu'à son confluent avec l'Ourgatsaguy.

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Borne no 225. Au-dessus du confluent et entre les deux ruisseaux. La limite suit alors l'Ourgatsaguy jusqu'au point où il rencontre le ravin du Contracharo, qui lui-même sert de frontière jusqu'à son origine.

Borne no 226. A 20 mètres au-dessus du point de jonction, et à 1 mètre de la rive droite du Contracharo.

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Borne no 227. A la naissance du ravin du Contracharo, à 90 mètres avant d'arriver au haut du col de la Croix ou Courouchiacolépoa. De ce point, la frontière se dirige en ligne droite au premier pic rocheux de la chaîne de Ahounsbidé.

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Sur cette ligne droite, à 255 mètres de la borne

Borne no 229. A deux cent cinquante-cinq mètres, au pic cidessus mentionné de Ahounsbidé. La limite suit la crête bien distincte de Ahounsbidé et descend dans la même direction jusqu'à la rencontre du cours d'eau Ourbelcha, en face du rocher Ourdandéguizarra.

Borne no 230. Croix sur le rocher d'Ourdandéguizarra. La frontière descend l'Ourbelcha jusqu'à son confluent avec l'Errécaïdor ou ruisseau sec.

Borne no 231. A la droite de l'Errécaïdor, à 10 mètres de ce confluent. L'Errécaïdor sert de limite.

A partir d'ici, toutes les distances successives d'un point à un autre ont été prises sur la carte et en ligne droite, l'inégalité et les obstacles du terrain n'ayant pas permis de les mesurer sur les

lieux.

Borne no 232. A 2400 mètres de la borne précédente et à 135

-

au-delà de la jonction de l'Errécaïdor avec la ravine appelée par les Français Imiteco-erréca, et par les Espagnois, Itourcharraco-erréca; cette ravine vient de la partie du nord. La frontière continue par l'Errécaïdor et par le lit d'un ravin qui vient du côté du col de Jauréguisaré et qui conduit le plus directement à la borne suivante.

Borne no 233. A 1,100 mètres de la précédente et à 40 au sud du point le plus bas du col de Jauréguisaré ou Jauréguisaurécolépoa, à 130 mètres au nord du sommet de Malgorra-chiquinapounta, ou Malgorra-chipia. La ligne de démarcation va rejoindre immédiatement la ravine la plus rapprochée descendant de Malgorra-chipia, et suit son cours jusqu'à son entrée dans le ruisseau de Ibarrondoa.

Borne no 234. A ce confluent, à l'angle nord de la ravine et de l'Ibarrondoa, et à 750 mètres du repère antérieur. Il a été convenu que les pâturages compris entre la frontière et deux lignes droites. partant de Malgorra-chipia pour aboutir, l'une à la borne no 232, et . l'autre à la borne no 234, seront d'un usage commun pour les troupeaux de Soule et de Salazar, quoique ces pâturages soient placés sous la juridiction d'Espagne. Depuis la borne no 234 jusqu'à la suivante, la frontière remonte par le cours de l'Ibarrondoa.

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Borne no 234 bis. A 190 mètres de la précédente, près du point où aboutit à la rive gauche de l'Ibarrondoa, le ravin de Gazterrétéco-erréca ou Gazerréca, qui descend d'Aloupégna. Ce ravin sert de limite.

Borne no 235.A 1,460 mètres, croix sur le rocher d'Aloupégna, qui appartient à la chaîne principale des Pyrénées et qui est situé à 170 mètres au sud d'un autre sommet plus élevé, nommé Chaspigaïna. D'Aloupégna au col d'Éraïsé, la ligne de démarcation internationale suit la crête de la grande chaîne jusqu'au col de Belay. A 950 mètres d'Aloupégna, au sommet du mont

Borne no 236.

Ory; il y a une croix.

Borne no 237. - A Itourzaétaco-lépoa, ou Itourchétaco-lépoa, ou port de Larrau, après avoir passé à Ory-chipia et Itourzaétacogaïna, à 1860 mètres du repère précédent.

Borne no 238.A 1060 mètres, au sommet que les Français. appellent Iparbaracocha-gaïna, et les Espagnols, Orbizcayacogaina.

Borne no 239. A 880 mètres, à Betzoulaco-lépoa, ou Betzoulaméhécaco-lépoa, ou port de Betzoula, que franchit le chemin de Larrau à Uztarroz.

Borne no 240. A 700 mètres, au col de Bildocharenco-lépoa ou de Silohandico-lépoa.

Borne no 241.-A 980 mètres, au sommet de Gastarrico-gaïna,

d'après les Français, et Moulidoyaco-gaïna, d'après les Espagnols. Borne n° 242. - A 840 mètres, sur un petit mamelon entre deux cols, dont le plus oriental est appelé Elhourrousouco-lépoa par les Basques français.

Borne no 243.

A l'extrémité d'une petite croupe qui termine à l'ouest la crête de la montagne Ochogorri-chipia, à 470 mètres. Borne no 244.- A 410 mètres, sur un sommet arrondi de la même montagne, près de l'escarpement qui regarde l'Espagne.

Borne no 245.

530 mètres.

Au sommet le plus haut de Ochogorri-chipia, à

Borne no 246.-A 1,210 mètres, au sommet le plus élevé de Ochogorrico-gaïna, et sur un rocher au bord de l'escarpement situé du côté de la France; il y a une croix.

Borne no 247. A 500 mètres au bord du chemin de France en Espagne, au col de Outourourdinéta.

Borne no 248. — A 900 mètres au-delà, au point culminant et le plus oriental de la montagne que les Français appellent Chardacaco-gaïna, et les Espagnols, Baracea-la-Alta; il y a une roche signalée par une croix.

Borne no 249. Au petit col de Sota-lépoa, à 800 mètres.

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Borne n° 250. A 600 mètres, au col de Bélay, à 10 mètres à l'est du chemin. La ligne frontière abandonne les crêtes et prend le chemin qui mène par le versant nord du mont Carchila ou Carchela au col de Guimbéléta, suivant la direction indiquée par les repères placés sur le côté sud de ce chemin.

Borne no 251.-A 210 mètres, croix sur une roche qui domine le chemin et qui fait partie d'un grand éboulement.

Borne no 252. - A 230 mètres, croix sur une grande roche appelée aussi Carchila et située au sud d'un petit ravin qui passe entre le versant escarpé de la montagne et un pâturage en pente douce traversé par le chemin. Ce chemin va presque en ligne droite jusqu'à la borne suivante, passant à quelques mètres au nord d'une fontaine qui ne tarit pas, et distante de cent vingt mètres du repère antérieur.

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Borne n° 253. Sur une arête de terrain très-sensible et dominante qui vient du sommet du mont Carchila, au-dessus du point où le chemin fait un angle, à 450 mètres de la borne précédente, à 750 mètres du sommet de Carchila, et à 40 mètres avant d'arriver à une pierre marquée d'une petite croix sans numéro, ancien repère de cette limite.

Borne no 254. Au col de Guimbéléta, à 600 mètres du n° 253. Il est convenu que si les troupeaux de Soule dépassent la frontière et s'introduisent dans le territoire compris entre le chemin qui va

du col de Belay à celui de Guimbéléta et la crête de Carchila, ils ne seront passibles d'aucune amende ni saisie. A partir du col de Guimbéléta, la ligne divisoire reprend les crètes de la chaîne principale, passant par le sommet du pic de Guimbéléta, situé à 520 mètres du col de ce nom.

Borne no 255. — Au col d'Ourdaïté, à 860 mètres du pic de Guimbéléta, et à 40 mètres à l'ouest du chemin qui va de SainteEngrâce à Isaba.

Borne no 256. Au col d'Eraïsé, à 10 mètres à l'ouest du chemin qui entre d'Espagne en France, à 4,500 mètres de la borne précédente, et à 2,050 mètres du pic de Lacoura situé entre ces deux bornes.

Le versant français des Pyrénées étant impraticable entre les cols de Guimbéléta et d'Eraïsé, il a été convenu que le chemin qui va d'un de ces cols à l'autre par le versant méridional, et presque parallèlement aux crêtes, sera libre pour le passage des frontaliers et des troupeaux français, sans qu'ils puissent s'en éloigner, à moins d'y être autorisés.

A partir du col d'Eraïsé, deux chemins conduisent au Férial de ce nom parle versant septentrional; celui qui est le plus au sud se nomme chemin d'en haut, et l'autre chemin d'en bas. C'est par celui d'en haut que va la ligne divisoire des juridictions, abandonnant ainsi la crête de la chaîne principale.

Borne no 257. S. A 600 mètres du col d'Eraïsé, sur le chemin d'en haut, au lieu nommé coin de Sempori. Outre le numéro, cette borne porte aussi la lettre S pour la distinguer d'une autre qui est sur le chemin d'en bas, avec le même numéro et la lettre N; mais pour un autre objet, comme il sera dit ensuite. Une croix sans numéro est gravée sur le roc, au point où les chemins entrent dans le Férial d'Eraïsé.

Borne no 258.A 1300 mètres du col d'Eraïsé, et à deux cent. trente de la croix qui vient d'être mentionnée, croix sur un grand rocher vertical, à l'extrémité nord du Férial.

La borne 257 N, placée sur le chemin d'en bas, à un saillant de la pente de Sempori qui se voit du col d'Eraïsé, à six cent quarante mètres, n'est point un repère de la limite internationale; cette borne et trois petites croix sans numéro gravées sur des rochers et situées audelà, dans la direction du Férial, n'ont d'autre but que de marquer le tracé du chemin du nord.

Il a été convenu que, conformément à l'ancien usage, le chemin d'en haut et le chemin d'en bas continueraient à donner libre passage aux Français et aux Espagnols, et que le pâturage compris entre les deux, quoique appartenant à la juridiction française, pourrait être

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