Les martyrs; ou, Le triomphe de la religion chrétrienne, Volume 2Le Normant, 1810 |
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... avoit amoncelées de ses pro- pres mains . Jadis , chez les hommes plus ver- tueux , un favori du dieu d'Epidaure eût été l'ami et le compagnon des guerriers ; aujour- d'hui , il est esclave chez une nation inhospi- talière . Mais hâte ...
... avoit amoncelées de ses pro- pres mains . Jadis , chez les hommes plus ver- tueux , un favori du dieu d'Epidaure eût été l'ami et le compagnon des guerriers ; aujour- d'hui , il est esclave chez une nation inhospi- talière . Mais hâte ...
Pagina 12
... avoit attaché les mains derrière » le dos . Assis parmi la foule des victimes , >> j'attendois le coup fatal ; maïs je ne sais par » quel dessein de la Providence je fus oublié » dans ce grand massacre . Les corps en- » tassés autour de ...
... avoit attaché les mains derrière » le dos . Assis parmi la foule des victimes , >> j'attendois le coup fatal ; maïs je ne sais par » quel dessein de la Providence je fus oublié » dans ce grand massacre . Les corps en- » tassés autour de ...
Pagina 20
... avoit jadis rendu ses oracles , je vis une pe- tite image qui représentoit Marie , mère du Sau- veur . Elle étoit ornée d'une branche de lierre chargée de ses fruits mûrs , et nouvellement placée au pied de la mère et de l'enfant ; car ...
... avoit jadis rendu ses oracles , je vis une pe- tite image qui représentoit Marie , mère du Sau- veur . Elle étoit ornée d'une branche de lierre chargée de ses fruits mûrs , et nouvellement placée au pied de la mère et de l'enfant ; car ...
Pagina 21
... avoit ébranlé mon esprit ; Zacharie subjuguoit mon cœur ; mais il étoit écrit que je ne reviendrois à la vérité que par une longue suite de malheurs et d'expériences . >> Zacharie redoubla de zèle et de soin au- près de moi . Je croyois ...
... avoit ébranlé mon esprit ; Zacharie subjuguoit mon cœur ; mais il étoit écrit que je ne reviendrois à la vérité que par une longue suite de malheurs et d'expériences . >> Zacharie redoubla de zèle et de soin au- près de moi . Je croyois ...
Pagina 28
... avoit ordonné que je retrouverois la liberté au tombeau d'Ovide . Lorsque nous repassâmes auprès de ce monu- ment , une louve qui s'y étoit cachée pour y déposer ses petits , s'élança sur Mérovée . Je tuai cet animal furieux . Dès ce ...
... avoit ordonné que je retrouverois la liberté au tombeau d'Ovide . Lorsque nous repassâmes auprès de ce monu- ment , une louve qui s'y étoit cachée pour y déposer ses petits , s'élança sur Mérovée . Je tuai cet animal furieux . Dès ce ...
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Les martyrs; ou, Le triomphe de la religion chrétrienne, Volume 2 François-René vicomte de Chateaubriand Visualizzazione completa - 1810 |
Les martyrs; ou, Le triomphe de la religion chrétrienne, Volume 3 François-René vicomte de Chateaubriand Visualizzazione completa - 1810 |
Les martyrs; ou, Le triomphe de la religion chrétrienne, Volume 3 François-René vicomte de Chateaubriand Visualizzazione completa - 1810 |
Parole e frasi comuni
Astarté autels avoient avoit Barbares bientôt bois c'étoit Camulogènes César chêne Chlodéric chose Chré Chrétiens ciel cœur connoître Constance coup Cymo Cymodocée Cyrille d'Eudore d'Hiéroclès Démodocus Démon désert Dieu dieux Dioclétien Diodore divin Druïdes Druïdesse enfans épouse époux étoient étoit Eubages Eudore faisoit femmes Fidèles fille d'Homère fils de Lasthénès flots forêts Galérius Gaules Gaulois Grèce grotte guerrier Hiéroclès hommes j'ai j'avois Jésus-Christ jeune jour l'amour l'Ange des saintes l'Arcadie l'Eglise l'Egypte l'Enfer Lacédémone larmes livre Lutèce main Martyrs Mérovée Messénie milieu montagne mort nuit palais Parisii passer père peuples Pharamond pieds poëte porte prêtre d'Homère prêtresse des Muses quæ récit religion rois Romains Rome s'élevoit sable sacrifice sagesse saintes amours Saliens Satan Ségenax sentimens Séquana soldats sort Sparte Strabon Tacite Taygète temple terre tête Teutatès Thèbes tombeau Velléda vieillard vierge voit voix voyoit yeux Zacharie δὲ ἐν καὶ μὲν τὰ τῆς τὸ τῶν
Brani popolari
Pagina 218 - Un acacia qui croissoit dans ce lieu me servit d'abri. Derrière ce frêle rempart, j'attendis la fin de la tempête. Vers le soir, le vent du nord reprit son cours : l'air perdit sa chaleur cuisante, les sables tombèrent du ciel et me laissèrent voir les étoiles : inutiles flambeaux qui me montrèrent seulement l'immensité du désert!
Pagina 25 - J'arrachai les herbes qui couvraient quelques lettres latines, et bientôt je parvins à lire ce premier vers des élégies d'un poète infortuné : "Mon livre, vous irez à Rome, et vous irez à Rome sans moi." Je ne saurais vous peindre ce que j'éprouvai en retrouvant au fond de ce désert le tombeau d'Ovide. Quelles tristes réflexions ne fis-je point sur les peines de l'exil, qui étaient aussi les miennes, et sur l'inutilité des talents pour le bonheur! Rome, qui jouit aujourd'hui des tableaux...
Pagina 217 - L'ouragan redouble de rage : il creuse jusqu'aux antiques fondements de la terre, et répand dans le ciel les entrailles brûlantes du désert. Enseveli dans une atmosphère de sable embrasé, le guide échappe à ma vue. Tout à coup j'entends son cri ; je vole à sa voix : l'infortuné, foudroyé par le vent de feu, était tombé mort sur l'arène, et son dromadaire avait disparu.
Pagina 92 - The other shape, If shape it might be call'd that shape had none Distinguishable in member, joint, or limb ; Or substance might be call'd that shadow seem'd, For each seem'd either: black it stood as night, Fierce as ten furies, terrible as Hell, And shook a dreadful dart ; what seem'd his head The likeness of a kingly crown had on.
Pagina 113 - ... les braver. Je la voyais jeter tour à tour en sacrifice, dans le lac, des pièces de toile, des toisons de brebis, des pains de cire et de petites meules d'or et d'argent. « Bientôt elle touche à la rive, s'élance à terre, attache sa nacelle au tronc d'un saule et s'enfonce dans le bois en s'appuyant sur la rame de peuplier qu'elle tenait à la main. Elle passa tout près de moi sans me voir. Sa taille était haute; une tunique noire, courte et sans manches, servait à peine de voile à...
Pagina 158 - Cette femme était extraordinaire. Elle avait, ainsi que toutes les Gauloises, quelque chose de capricieux et d'attirant. Son regard était prompt, sa bouche un peu dédaigneuse, et son sourire singulièrement doux et spirituel. Ses manières étaient tantôt hautaines, tantôt voluptueuses ; il y avait dans toute sa personne de l'abandon et de la dignité, de l'innocence et de l'art.
Pagina 92 - Un fantôme s'élance sur le seuil des portes inexorables: c'est la Mort. Elle se montre comme une tache obscure sur les flammes des cachots qui brûlent derrière elle ; son squelette laisse passer les rayons livides de la lumière infernale entre les creux de ses ossements. Sa tête est ornée d'une couronne changeante, dont elle dérobe les joyaux aux peuples et aux rois...
Pagina 298 - Not equal, as their sex not equal seem'd; For contemplation he, and valour, form'd; For softness she, and sweet attractive grace...
Pagina 215 - ... loin servent à marquer le chemin aux caravanes. » Nous marchâmes tout un jour dans cette plaine. Nous franchîmes une autre chaîne de montagnes , et nous découvrîmes une seconde plaine plus vaste et plus désolée que la première.
Pagina 110 - J'arrivai enfin chez lesRhédons(i).L'Armorique ne m'oflrit que des bruyères , des bois, des vallées étroites et profondes traversées de petites rivières que ne remonte point le navigateur, et qui portent à la mer des eaux inconnues; région solitaire , triste, orageuse, enveloppée de brouillards, retentissante du bruit des vents , et dont les côtes hérissées de rochers sont battues d'un océan