Correspondance littéraire, philosophique et critique: adressée à un souverain d'Allemagne, depuis 1753 jusqu'en 1769, Parte 1,Volume 6Longchamps, libraire, 1813 |
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Pagina 149 - Daumat en retrancher rien. Voici donc mon heure dernière : Venez, bergères et bergers, Venez me fermer la paupière ; Qu'au murmure de vos baisers, Tout doucement mon âme soit éteinte. Finir ainsi dans les bras de l'Amour, C'est du trépas ne point sentir l'atteinte; C'est s'endormir sur la fin d'un beau jour.
Pagina 295 - L'univers a perdu la sublime Emilie; Elle aima les plaisirs, les arts, la vérité» Les dieux, en lui donnant leur âme et leur génie, Ne s'étaient réservé que l'immortalité.
Pagina 317 - Il voit les premiers phénomènes de l'automne au ciel, sur la terre, dans les nuages, sur la verdure, sur les arbres, sur les oiseaux, sur les animaux. Il invite les hommes à la chasse; il décrit en chasseur celle du chien couchant. J'avance, l'oiseau part; le plomb, que l'œil conduit, Le frappe dans les airs au moment qu'il s'enfuit ; II tourne, en expirant, sur ses ailes tremblantes; Et le chaume est jonché de ses plumes sanglantes.
Pagina 157 - M. Grétry est un jeune homme qui fait ici son coup d'essai ; mais ce coup d'essai est le chefd'œuvre d'un maître, qui élève l'auteur sans contradiction au premier rang.
Pagina 158 - Grétry entraîne d'une manière plus douce, plus séduisante, plus voluptueuse; sans manquer de force lorsqu'il le faut, il vous ôte, par le charme de son style, la volonté de lui résister; du côté du métier, il est savant et profond, mais jamais aux dépens du goût. La pureté de son style enchante : le plus grand agrément est toujours à côté du plus grand savoir; il sait surtout finir ses airs et leur donner la juste étendue, secret très-peu connu de nos compositeurs.
Pagina 449 - J'ai soixante-seize ans bientôt; je suis très-malade; je vais finir le pfocès que j'ai avec la nature; je n'ai entendu parler du vôtre que très-- confusément. Je ne connais point du tout le Supplément aux Causes célèbres dont vous me parlez: je vois par vos mémoires, les seuls que j'aie lus, que cette cause n'est point célèbre, mais qu'elle est fort triste. Je souhaite que la paix et l'union s'établissent dans votre famille : c'est là le pins grand des biens.
Pagina 480 - Ce cri part d'un pauvre, honnête et loyal cocu, qui nous expose son cas avec beaucoup de franchise : c'est le cas de bien des maris. Sa femme ayant vécu longtemps dans le désordre, il ne s'est pas trouvé une dose suffisante de la vertu...
Pagina 298 - ... notre idiome usuel n'a point été champêtre. Cependant on ne donne aux champs, aux arbres, aux légumes, à la vigne, aucune façon, aux bestiaux aucun soin, et il n'ya rien dans la culture des arbres et des plantes qui n'ait son nom propre parmi nous; mais cette langue technique ne se parle point hors de nos villages; les mots n'en ont point été prononcés dans nos villes.
Pagina 464 - Ils approchent en rampant, ils s'élancent, leur dent aiguë perce, leur gencive verse son poison dans la blessure; l'animal piqué ne se défend pas, il meurt à peu de distance, et le serpent va doucement se saisir de sa proie. Si cela est, comme je le conjecture, la comparaison de ces animaux-là avec nos folliculaires en sera bien plus exacte, et j'espère que les auteurs qui en sont mordus m'en remercieront.
Pagina 314 - J'en conviens. — Il sent? — Assurément. — Il possède le technique du vers ? — Comme peu d'hommes. — Il a de l'oreille? — Mais oui. — Il est harmonieux? — Toujours. — Que lui manque-t-il donc pour être un poète? — Ce qui lui manque? c'est une âme qui se tourmente, un esprit violent, une imagination forte et bouillante, une lyre qui ait plus de cordes ; la sienne n'en a pas assez.