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RE 281 6128. Réflexions sur l'état actuel de l'Agriculture, ou Exposition du véritable plan pour cultiver ses terres avec avantage, et pour se passer d'engrais (par FABRONI). Paris, Nyon l'aîné, 1780, in-12.

6129. Réflexions sur l'Histoire des Juifs, etc. (par Jacques PLANTIER, de Genève). Genève, Fabri, 1721, 2 vol. in-12.

6130. Réflexions sur l'Instruction publique, présentées à la Convention nationale, par le Bureau de Consultation des Arts et Métiers (rédigées par LAVOISIER ). in-8°. de 22 pages, sans titre général.

6131. Réflexions sur l'usage de l'Éloquence de ce temps (par le P. RAPIN). Paris, 1671, 1672, in-12, et dans les Euvres diverses de l'Auteur.

6132. Réflexions sur l'usage de l'opium, des calmans et des narcotiques, pour la guérison des maladies (par Phil. HECQUET). Paris, 1726, in-12.

6133. Réflexions sur quelques causes de l'état présent de la peinture en France (par LAFONT DE SAINT-YENNE). La Haye, J. Néaulme, 1747, in-12.

6134. Réflexions sur quelques circonstances présentes, contenant deux Lettres sur l'exposition des tableaux au Louvre cette année 1748 (par BAILLET DE SAINTJULIEN). in-12.

6135. Réflexions théologiques sur le premier volume des Lettres de M. l'Abbé de *** (Villefroy) à ses élèves (par LE ROY, ex-Oratorien). 1752, in-8°. de 32 pages.

Le P. Louis de Poix, et trois autres jeunes Capucins, ont répondu à M. le Roy. V. ces mots: Réponse à la Lettre, etc. 6136. Réflexions théologiques sur les écrits de M. l'Abbé

de V. (Villefroy) et de ses élèves les jeunes pères Capucins (par l'Abbé BESOIGNE). Paris, 1752, in-12. 6137. Réformateur (le) (par CLIQUot-Blervache). Amsterdam, Arkstée et Merkus, 1756, 2 parties in-12. 6138. Réformation de la) du théâtre, par Louis RICCOBONI, et des moyens de rendre la comédie utile aux mœurs, par M. de B*** ( DE BUSONNIERES). Paris, de Bure père, 1767, in-12.

6139. Réfutation de l'écrit du R. P. Tassin, Bénédictin de St.-Ouen, sur la Notice des manuscrits de l'Église métropolitaine de Rouen (par l'Abbé Saas ). 1747, in-12 de 49 pages.

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6140. Réfutation de l'Ouvrage (de l'Abbé Galiani ) qui a pour titre: Dialogues sur le Commerce des Bleds (par M. l'Abbé MORELLET). Londres, 1770, in-8°.

6141. Réfutation des erreurs de Benoît de Spinosa, par

FÉNÉLON, le P. LAMY, Bénédictin, et BOULAINVILLIERS, avec la Vie de Spinosa, écrite par J. COLERUS, augmentée de beaucoup de particularités, tirées d'une Vie manuscrite de ce Philosophe, faite par un de ses amis (le Sieur LUCAS, Médecin à la Haye) (le tout recueilli et publié par l'Abbé LENGLET DU FRESNOY ). Bruxelles (Amsterdam), Fr. Foppens. 1731, in-12. 6142. Réfutation du Celse moderne, ou Objections contre le Christianisme, avec des réponses (par l'Abbé Joseph GAUTIER). Lunéville, 1753, in-12.

6143. Réfutation du livre des Règles pour l'intelligence des saintes Écritures (par l'Abbé LÉONARD). Paris, Vincent, 1727, in-12.

6144. Réfutation du nouvel ouvrage de Jean-Jacques Rousseau, intitulé: Émile, ou de l'Éducation ( par feu M. ANDRÉ, Bibliothécaire de M. d'Aguesseau ). Paris, Desaint et Saillant, 1762, in-8°. et in-12.

M. André a publié une seconde et une troisième parties de cet ouvrage, sous ce titre : la Divinité de la Religion chrétienne vengée des sophismes de J.-J. Rousseau. En associant D. Deforis à M. André, pour la composition de ces deux parties, dans l'annonce que j'en ai faite sous le n.o 1487, je suis tombé dans une erreur que m'a fait commettre l'Histoire littéraire de la Congrégation de St.-Maur, par D. Tassin. Il paroît que M. André est le seul auteur des trois parties de la Réfutation d'Émile.

J'ai eu tort aussi de donner à M. André, d'après la France littéraire de 1769, la qualification d'Abbé. Cet estimable écrivain a vécu quelques années dans la Congrégation de l'Oratoire. Mais il n'a reçu aucun des ordres de l'Église catholique,

Je tiens ces détails de M. Brial, savant confrère de D. Déforis, et qui a été lié avec lui d'une amitié particulière, - jusqu'à la mort funeste qui a terminé ses jours.

On doit donc regarder comme très-hazardée l'opinion de l'Abbé G. Brizard, qui, dans le tome 5.e des Œuvres de J.-J. Rousseau (édition de Poinçot), présente l'Abbé Pérau comme l'auteur de la Réfutation d'Émile.

6145. Réfutation du sentiment de M. de Voltaire, qui traite d'ouvrage supposé le testament politique du Cardinal de Richelieu ( par MÉNARD). Paris, 1750, in-12 de 31 pages.

6146. Réfutation du Systême de Métaphysique de Malebranche (par le P. DU TERTRE, Jésuite). Paris, 1715, 3 vol. in-12.

6147. Réfutation du systême de M. Faydit, sur la Trinité (par Louis-Charles HuGo). Luxembourg, Chevalier, 1699, in-8°.

6148. Réfutation du Traité de la pratique des billets entre les Négociants ( de N. le Correur) ( par N. LE MAIRE, Chanoine de Beauvais ). Paris, 1702, in-12. 6149. Réfutation d'un écrit favorisant la comédie, imprimé au commencement des pièces de théâtre de Boursault (par DE LA GRANGE, Chanoine de St.-Victor). Paris, Couterot, 1694, in-12.

6150, Réfutation d'un Paradoxe littéraire de M. F. A. Wolf, sur les Poésies d'Homère ( par M. DE SAINTECROIX). Paris, Konig, 1798, in-8°. ; et dans le Magazin encyclopédique.

6151. Refutation d'une Dissertation anonyme (celle de Gastumeau) sur l'intérêt de l'argent ( par l'Abbé Philippe FERRET). La Rochelle, 1757, in-12.

La Dissertation de Gastumeau parut en 1756, sous le titre de la Haye.

6152. Réfutation suivie et détaillée des principes de M. Rousseau de Genève, touchant la musique française, adressée à lui-même, en réponse à sa lettre (par M. l'Abbé AUBERT). Paris, 1754, in-8°.

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6153. Régime de Pythagore, traduit de l'italien du Docteur Coccиi (par DE PUISIEUX). Paris, Gogué, 1762, in-8°. ; et dans le Recueil de Pièces indiqué n.° 5974. 6154. Régime (le) du Carême considéré par rapport à la nature du corps et des alimens (ou Réponse au Traité des Dispenses du Carème, de Philippe Hecquet, par Nic. ANDRY). Paris, Coignard, 1710, in-12.

6155. Registres du Parlement de Dijon, de tout ce qui s'est passé pendant la ligue ( par M. DE VARENNE). (Paris, Desventes de la Doué); in-12,

Ce volume ne porte ni date, ni lieu d'impression, ni nom

de libraire; une note écrite sur mon exemplaire par feu M. Popon de Maucune, amateur de livres très-éclairé, indique qu'il a été imprimé en 1763, Landis que le catalogue des livres de la bibliothèque de M. de Fontette, le présente comme ayant paru en 1771, l'exemplaire y étant accompagné d'une dénonciation faite le 12 juillet de cette année.

J'ai demandé des renseignemens sur cet ouvrage à M. Leschevin, Commissaire du Gouvernement pour les poudres et salpêtres à Dijon, qui joint l'étude de l'Histoire littéraire à celle des sciences. Il m'a fait une réponse très-satisfaisante, que j'insérerai ici, en la combinant avec la note de M. de Maucune, la Notice historique sur Malesherbes, par M. Dubois, et la partie des Mémoires pour servir à l'Histoire du Droit public de France, en matière d'impôts, intitulée: Affaire de Varenne (V. le n.o 4458 de ce Dictionnaire).

M. de Varenne avoit publié en 1762 le fameux Mémoire pour les États-généraux des États ou Duché de Bourgogne. Cet écrit ayant été brûlé par le bourreau, en vertu de l'arrêt du Parlement de Dijon, du 7 juin 1762, et sur la dénonciation qui en avoit été faite le 10 mai précédent, M. de Varenne craignit pour sa liberté, et vint se réfugier à Versailles. La Cour des aides de Paris le fit décréter d'ajournement personnel. Varenne opposa aux huissiers un ordre du Roi, qui lui enjoignoit de rester à Versailles; M. de Malesherbes, premier Président de la Cour des aides, fit continuer la procédure dans Versailles même, et Varenne fut condamné par contumace.

Les Ministres, dit M. Dubois, persuadèrent au Roi que cet acte de rigueur devoit être réprimé; Louis xv, pour en témoigner son mécontentement, décora le coupable du cordon de Saint-Michel. Aussitôt Malesherbes le fit décréter de prise de corps, et le jugement définitif alloit être rendu, lorsque le Monarque fit expédier des lettres d'abolition qu'il envoya à l'enregistrement de la Cour des aides. Varenne fut obligé d'y paroître à genoux, et Malesherbes prononça de son tribunal ces paroles remarquables: le Roi vous acccorde des lettres de grace; la Cour les entérine: retirez-vous, la peine vous est

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