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151

154

crimination.

176

V. Le ministre entre en matière: exemples
de l'ancienne Eglise, qu'il produit en fa-
veur de la révolte: combien ils sont absurdes
et hors de propos.

177

fait souverain : qu'il met la souveraineté dans | IV. Mauvaise foi de M. Basnage dans cette ré-
l'anarchie.
L. Doctrine des pactes et des relations de M.
Jurieu, combien pleine d'absurdité: et pre-
mièrement sur la sérvitude.
LI. Que le ministre se contredit lui-même,
lorsqu'il parle du droit de conquête comme
d'une pure violence.
LIL Autres absurdités sur la relation de père
à enfant et de mari à femme: erreur gros-
sière du ministre, qui confond les devoirs
avec les pactes.

155

156

VI. Examen des exemples du ministre, et pre-
mièrement de celui de l'empereur Anas-

tase.

173

VII. Examen du fait de Julien l'Apostat: té-
moignage des historiens du temps, et pre-
mièrement des païens, et de l'arien Phi-
lostorge.

179

LIII. Applications aux droits des rois et des
peuples: téméraire proposition de M. Ju-VIII. Témoignage des historiens ecclésiasti-
rieu.

:

157

LIV. Erection des deux monarchies du peu-
ple de Dieu, contraires aux prétentions du
ministre nouvelles réflexions sur le chap.
VIII. du premier livre des Rois; érection
de la monarchie des Mèdes.
LV. Réponse à une demande de M. Jurieu :
pourquoi les peuples auroient fait les rois si
puissants.

158

159

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XI. Suite de la doctrine de saint Augustin,
et qu'elle n'est autre chose qu'une fidèle in-
terprétation de saint Paul.

186

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LVII. Le ministre met le fondement de sa po-
litique dans des suppositions chiméri-XIII. Examen particulier de l'exemple des

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164
LX. Les flatteurs des peuples sont les flatteurs
des tyrans, et établissent la tyrannie: exem-
ple de nos jours.
165
LXI. L'Eglise anglicane convaincue par le mi-
nistre Jurieu d'avoir changé les maximes
de sa religion.
LXII. Le cromwélisme rétabli par les maximes
du ministre Jurieu et par les nouvelles
maximes de l'Eglise anglicane.
LXIII. Illusion du ministre sur la qualité de
chef de l'Eglise anglicane.
LXIV. Conclusion de ce discours : opposition
des sentiments des prétendus réformés d'au-
jourd'hui, avec ceux qu'ils témoignoient au
commencement.

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XIV. Variations de la réforme et de ses écri-
vains sur les révoltes.
XV. M. Basnage entraîné par le même esprit:
on le prouve par les deux moyens de sa
réponse qui se contredisent l'un l'autre. 190
XVI. Vaines défenses de ce ministre sur la
conjuration d'Amboise: Castelnau qu'il cite
le condamne.
ib.
XVII. Suite de la même matière: vaines dé-
faites de M. Basnage et de la réforme. 193
XVIII. La conjuration expressément ap-
prouvée par la réforme. Témoignage de
Bèze, dissimulé par M. Basnage, comme
toutes les autres choses où il n'a rien à ré-
pondre.

196

XIX. Dernière défaite de la réforme: Calvin
ib.
mal justifié par M. Basnage.
XX. Que Calvín a autorisé les guerres civiles
et la rébellion, et que M. Basnage l'en dé-
fend mal.
197
XXI. Protestation des ministres contre la paix
d'Orléans: raison de M. Basnage pour la sou-
tenir.
199
XXII. Trois raisons du ministre pour justifier
les guerres de la réforme : la première, qui
est tirée du prétendu massacre de Vassi, est
insoutenable.
ib.
XXIII. La seconde raison, tirée des édits de
pacification, n'est pas moins mauvaise. 201
XXIV. Troisième raison tirée des lettres se-
crètes de Catherine de Médicis à Louis
prince de Condé : Première réponse à ces
lettres silence de M. Basnage.
XXV. Le ministre impose à l'auteur des
Variations, et ne répond rien à ses preu-

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mes qu'elle avoit d'abord établies: M. Bas-
nage se confond lui-même.

231
XLIX. Si l'auteur des Variations a eu tort
d'attribuer à Luther les excès des anabap-
tistes. M. Basnage prouve très-bien ce qu'on
ne lui conteste pas, et dissimule le reste. 232
L. Si M. Basnage a raison de reprocher à
l'auteur des Variations d'avoir dit qu'on ne
croyoit pas Luther innocent des troubles
de l'Allemagne, et en particulier de ceux
des anabaptistes et des paysans revoltés. 233
LI. M. Basnage tâche en vain d'excuser Lu-
ther dans le trouble des paysans révol-
tés.

234

LII. Le ministre défend mal le livre de
Luther de la Liberté chrétienne,

XXVI. Autre remarque sur les lettres de Ca-
therine de Médicis: M. Basnage fait semblant
de ne pas savoir l'état des choses. 203
XXVII. Suite des attentats de la réforme: où
M. Basnage se tait.
ib.
XXVIII. Le ministre tâche d'excuser le synode
national de Lyon : deux articles de ce synode:
le dernier qui ne souffre pas la moindre ré-
plique, est dissimulé par M. Basnage. 204
XXIX. Chicane de M. Basnage sur le premier
article rapporté du synode national de Lyon :
il est démenti par M. Jurieu.
206
XXX. Synodes des vaudois: vain triomphe de
M. Basnage qui m'accuse d'avoir falsifié M.
de Thou et La Popelinière, pendant que
c'est lui-même qui les tronque.
XXXI. Réflexion importante sur ces falsifica-
tions du ministre.
XXXII. Autres synodes et assemblées ecclésias-
tiques dans la réforme pour autoriser la ré-
volte.
XXXIII. Bèze et les autres ministres inspirent
la guerre et la révolte au parti.
XXXIV. Lettre de la prétendue Eglise de Pa-
ris à la reine Catherine.
ib.
XXXV. Pratique des assassinats dans la ré-
forme autorisée par les ministres.
XXXVI. M. Burnet critique en vain les Varia-LVI. Réflexions sur le mariage du landgrave:
s'il permet à M. Basnage de mettre Luther
et les autres réformateurs au rang des grands
hommes.

207

210

211

213

215

217

tions son ignorance sur le droit françois est
de nouveau démontrée.
XXXVII. Suite de la conviction de M. Burnet,
qui vient au secours de la réforme. 218
XXXVIII. M. Burnet falsifie le passage de M.
de Thou dont il se prévaut contre Du Til-

235

LIII. Etrange discours de Luther, où tout ce
qu'on vient de dire est confirmé. Autre
addition aux Variations : l'esprit de sédition
et de meurtre sous prétexte d'interpréter
les prophéties.

236

LIV. Réflexions sur ces Variations de la ré-
forme.

237

LV. On touche en passant les égarements de
la réforme marqués par d'autres auteurs,
et en particulier dans l'Avis aux réfugiés
imprimé en Hollande en 1690.

238

240

242

LVII. Démonstration manifeste du crime des
réformateurs en cette occasion.
LVIII. Si M. Basnage a pu dire que cette faute
219 fut arrachée aux réformateurs.
XXXIX. On marque à M. Burnet, qui se ré-LIX. Etrange corruption dans ces chefs des
tracte sur la régence du roi de Navarre, réformateurs.

let.

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jusqu'où il devoit pousser ses rétracta- LX. Si M. Basñage a raison de comparer la
tions.
XL. La réforme a introduit dans l'Ecosse des
assassinats et des rébellions que M. Bur-
net colore aussi mal que celles de France.
Addition notable à l'Histoire des Varia-
tions.

226

LXI. Si M. Basnage a raison de dire que l'E-
ib.
glise prétend dispenser des lois de Dieu. 245
LXII. Réponse de Grégoire II. rapportée mal-
ȧ-propos par le ministre.

ib.
LXIII. De la prétendue bigamie de Valenti-
nien I, et de la loi faite en faveur de cet
abus.
247

LXIV. Erreur de M. Basnage, qui, sur une
froide équivoque, objecte à toute l'Eglise et
aux premiers siècles d'avoir approuvé l'u-
LXV. Passage de Mélanchton, que l'auteur des
sage des concubines.
Variations est accusé par M. Basnage d'avoir
falsifié.

249

ib.
XLI. On revient à M. Basnage, et on con-
vainc Luther et les protestants d'Allemagne
d'avoir prêché la révolte. Thèses affreuses de
Luther.
XLII. Les guerres de la ligue de Smalcalde:
l'électeur de Saxe et le landgrave mal justifiés
par M. Basnage, et condamnés par eux-
mêmes comme par toute l'Allemagne. 227
XLIII. Le livre des protestants de Magde-
bourg.
XLIV. La guerre commencée par les pro-
testants et le landgrave, avec l'approbation
de Luther silence de M. Basnage sur tout
cet endroit.
XLV. Les ligues contre l'empereur, que
Mélanchton avoit détestées, comme contrai-
res à l'Evangile, sont autorisées par Luther SUR L'IMMUTABILITÉ DE L'ÊTRE DIVIN ET SUR

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XLVI. Falsification d'un passage de Mélanchton, SIXIÈME ET DERNIER AVERTISSEMENT CONTRE
objectée témérairement par M. Basnage. 230
XLVII. C'est M. Basnage lui-même qui falsifie

M. JURIEU.

Mélanchton dans cette même matière. 231 I. Exposition des emportements et des calom-
XLVIII. La réforme a renoncé aux belles maxi-

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260

263

Que le ministre renverse ses propres principes
et le fondement de la foi, par les variations
qu'il introduit dans l'ancienne Eglise.
III. Que le ministre renonce à la solution de
quinze ou vingt difficultés essentielles et ne
s'attache qu'à la dispute de la Trinité, où il
tombe dans de nouvelles erreurs.

IV. Ancienne et nouvelle doctrine du ministre

également pleine de blasphèmes. 262

V. Que le ministre a changé son système de
1689 les vaines distinctions qu'il a tâché
d'introduire son prétendu développement
du Verbe divin.
VI. Qu'en 1689 le ministre ne faisoit du Fils
de Dieu qu'un germe imparfait, et non une
personne.
264
VII. Que le ministre se dédit, et que ce qu'il
dit de nouveau ne vaut pas mieux: sa dou-
ble génération attribuée au Verbe divin. ib.

VIII. Le Fils de Dieu dans le sein du Père

comme un enfant avant sa naissance: que

le ministre entend cela au pied de la lettre :

que sa doctrine est contraire, selon lui-

même, à l'immutabilité de Dieu. 265

IX. Que le ministre introduit un Dieu muable
et corporel.
X. Démonstration que Dieu et le Verbe dès
les trois premiers siècles sont muables, im-
parfaits et corporels, selon la supposition
du ministre.

266

269

ib.
XI. Que le ministre, en s'expliquant en 1690
et dans son Tableau, met le comble à ses
erreurs passage plein d'impiété et d'absur-
dité.
267
XII. Etrange idée du ministre sur l'immuta-
bilité de Dieu que la foi en est nouvelle
dans l'Eglise, et que nous ne l'avons point
par les Ecritures, mais par la seule philo-
sophie.
268
XIII. Passages des trois premiers siècles sur
la parfaite immutabilité de Dieu que le
ministre ne connoit rien dans l'anti-
quité.

XIV. Que les anciens ont vu dans l'Ecriture

la parfaite immutabilité de Dieu. 271

XV. Que l'immutabilité du Fils de Dieu paroît
aussi dans l'Ecriture.
ib.
XVI. Que le ministre rejette sa propre Con-
fession de foi, lorsqu'il ne veut pas recon-
noftre l'immutabilité de Dieu dans l'Ecri-
ture.
272
XVII. Que les passages qui prouvent l'immu-
tabilité de Dieu, la prouvent parfaite :
chicane du ministre.
ib.
XVIII. Si c'est faire Dieu immuable, que de
ne le faire changer que dans les manières
d'être que le ministre tombe dans les mêmes
erreurs qu'il reprend dans les sociniens. ib.
XIX. Vanteries du ministre, qui défie ses ad-
versaires de gager contre lui.
274
XX. Que le Dieu des premiers siècles étoit,

275

selon le ministre, un Dieu qui s'étendoit el

se resserroit, et véritablement un corps, 274

XXI. Suite de cette matière.
XXII. Que les erreurs que le ministre attribué
aux Pères ne sont pas des conséquences
qu'il tire de leur doctrine, mais leurs pro-
276
XXIII. Que les enveloppements et développe-
pres propositions, selon lui-même.
ments que le ministre attribue aux Peres,
ne se trouvent point dans leurs écrits. ib.

XXIV. Que la foi de la Trinité a été infor-

me, selon le ministre, durant plus de trois

siècles entiers, et que ses propres excuses

achèvent de l'abîmer.

ib.

XXV. Que la Trinité est informe en elle-même,

selon le ministre, et ne s'est formée qu'avec

le temps.

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qu'ordinairement la prière et l'adoration LXII. Que le ministre rejelte sa propre Con-
s'adressent au Père.
fession de foi, en accusant d'erreur le con-
cile de Nicée.

289

XLIII. Pourquoi dans les choses divines on se
sert de similitudes tirées des choses hu-
ib.
maines.
XLIV. Comment il faut prendre les compa-
raisons tirées des choses créées : deux excel-
lentes comparaisons des saints Pères sur la
génération da Fils de Dieu.
290
XLV. Qu'en se servant des comparaisons tirées
des choses corporelles, les Pères ont toujours
présupposé que Dieu étoit un pur es-
prit.
XLVI. Que les Pères ont su épurer toutes les
expressions tirées des choses humaines, et
établir l'égalité du Père et du Fils. 292
XLVII. Que le ministre prétend trouver l'iné-
galité du Père et du Fils dans ces paroles
du symbole de Nicée: Dieu de Dieu, lumière
de lumière.

291

293

ib.

LXII. Que le ministre s'emporte sans aucunesi
bornes.

304

LXIV. Qu'en l'état où le ministre représente
la théologie des Pères, la foi de l'Eglise ne
ib.
pouvoit subsister.
LXV. Qu'il y a de la mauvaise for à nous obli-
ger a la discussion de ces passages
305
LXVI. Vraie méthode de la dispute, où l'on ne
doit jamais s'obliger à prouver les vérités
dont on est d'accord.
306
LXVII. Que cette méthode de supposer dans
les disputes les choses dont on convient, est
307
celle de l'apôtre.

LXVIII. Passage de saint Hippolyte, évêque
et martyr, objecté par le ministre; mais qui
sert de dénouement à tous les autres qu'il
produit.

ib.

XLVIII. Combien le ministre abuse de Ter-LXIX. Passage d'Athénagore embrouillé et fal-
tullien, et combien son raisonnement est tiré
par les cheveux.

ib.

sifié par le ministre.

310

LXX. Suite du passage d'Athénagore, qui en
fait tout le dénouement, et que le ministre
supprime.

312

313

LXXI. Dessein d'Athénagore dans ce passage,
qui fait un nouveau dénouement de la doc-
: trine des Peres.
LXXII. Comment le Fils de Dieu est créé selon
quelques Pères: autre dénouement de leur
doctrine.

ib.
LXXIII. Témérité du ministre, qui accuse les
anciens Pères de sortir de la simplicité de
l'Ecriture: quel a été le platonisme de ces
saints docteurs.

XLIX. Le ministre veut trouver dans le con-
cile de Nicée tout le contraire de ce que les
Pères qui y ont assisté y ont compris; pas-
sages de saint Athanase, de saint Hilaire,
295
d'Eusèbe de Césarée.
L. Que la comparaison du soleil et du rayon
vient originairement de saint Paul qui a ex-
pressément établi l'égalité.
296
LI. Anathématisme du concile de Nicée, où le
ministre prétend trouver deux nativités
dans le Verbe.
297
LII. Comment saint Athanase et saint Hilaire
314
ont entendu l'anathématisme du concile de LXXIV. Mauvaise foi du ministre, qui attribue
ib.
Nicée, dont le ministre abuse.
sa double nativité à des auteurs d'où il n'a pu
LIII. Pourquoi on s'attache ici à réfuter des tirer aucun passage: saint Justin, saint Iré-
absurdités qui ne mériteroient que du mé-née, saint Hippolyte.
pris.
298
LIV. Que le ministre fait dire au concile de
Nicée que le Fils de Dieu est muable, et
que le concile dit formellement tout le con-
traire.
299
LV. Que saint Athanase dit aussi très-formelle-
ment que le Fils de Dieu est immuable comme

ib.
son père.
LVI. Suite du raisonnement de saint Athanase,
et combien il est ruineux aux prétentions du
ministre.

300

301

LVII. Que le Fils de Dieu comme Dieu est in-
capable d'être exalté, selon saint Athanase,
tout au contraire du ministre, qui le fait
croftre en perfection:
LVIII. Saint Alexandre d'Alexandrie, autre
Père du concile de Nicée, raisonne sur les
mêmes fondements que saint Athanase. ib.
LIX. Que le concile de Nicée a suivi saint Jean,
et n'a reconnu en Jésus-Christ que deux
naissances suivant ses deux natures. 302
LX. Prophétie de Michée, qui s'accorde avec
saint Jean: que le Fils de Dieu seroit im-
parfait, s'il naissoit deux fois comme
Dieu.
ib.
LXI. Que la doctrine des deux naissances est
formellement rejetée par saint Alexandre
d'Alexandrie.
303

315

LXXV. Mauvaise foi du ministre sur le sujet
ib.
de saint Cyprien.

316

LXXVI. Mauvaise foi du ministre sur le sujet
des autres Pères.
LXXVII. Injustice du ministre, qui veut qu'on
lui montre dans les premiers siècles la réfu-
tation expresse d'une chimère qui n'y fut ja-,

mais.
ib.
LXXVIII. Autre faux raisonnement du ministre
317
sur Tertullien et saint Cyprien.
LXXIX. Avec quelle mauvaise foi le ministre
a rangé parmi les errants saint Clément d'A-
ib.
lexandrie: passage de ce saint prêtre.
LXXX. Mauvaise foi du ministre sur le sujet
de Bullus, protestant anglois, qu'on lui
avoit objecte dans le premier Avertisse-

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323

auteurs qui accusent les Pères d'arianiser, en
ce qu'il met cette doctrine au-dessus de
toute censure; ce que ni catholiques ni pro-
335
testants n'avoient osé faire avant lui.

SECONDE PARTIE.

ib. Que le ministre ne peut se défendre d'approu-
ver la tolérance universelle.

LXXXIV. Que toute la suite du discours des
Pères conduisoit naturellement l'esprit au
ib.
sens figuré et métaphorique.
LXXXV. Démonstration manifeste que tout
ici se devoit entendre par similitude.
LXXXVI. S'il est possible que Tertullien et les
autres Pères aient pensé les extravagances
que le ministre leur impute.
LXXXVII. Que l'explication qu'on a donnée à
Tertullien sert à plus forte raison pour les
autres Pères.
324
LXXXVIII. Aveu du ministre, qu'on ne peut
entendre Tertullien et les autres Pères sans
avoir recours au sens figuré.
ib.
LXXXIX. Que toutes les locutions des Pères
déterminoient l'esprit au sens figuré. ib.
XC. Principe du ministre, qui ne veut pas
qu'on prenne les Pères pour des insensés;
qu'avec sa double génération il les fait
plus insensés que ceux qui les font ariens.

325

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CVI. Trois réponses du ministre pour montrer
que la doctrine, qui étoit tolérable dans les
Pères, ne l'est plus à présent.

337
CVII. Que le ministre se contredit, lorsqu'il
avance que cette matière est maintenant plus
éclaircie que durant les premiers siècles. ib.
CVIII. Qu'en tolérant les erreurs qu'il attri-
buoit aux trois premiers siècles en l'an 1689,
le ministre est contraint de tolérer une partie
très-essentielle de l'arianisme et du socinia-
nisme.

338

XCI. Que l'erreur que le ministre attribue aux
Pères est la folie la plus manifeste qu'on
pût jamais imaginer, et que le socinianisme CIX. Que le ministre, en se corrigeant dans
ou l'arianisine ne sont rien en compa- ses lettres de 1690, laisse les erreurs qu'il
raison.
attribue aux trois premiers siècles également
ib.
intolérables.

326

ib.

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CIV. Que le ministre se distingue de tous les V. L'expérience découvre de plus en plus ce

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