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mal de la réforme : preuve par M. Jurieu :
état de la religion prétendue réformée en
France.

350
VI. Combien les prétendus réformés de France
élevoient mal leur jeunesse.

351

363

Jonne à la prévention et à l'autorité.
XXV. Troisième principe des indifférents,
qu'il faut tourner l'Ecriture au sens le plus
plausible selon la raison que la réforme ne
peut éviter ce piége.
364

VII. Témoignage de M. Jurieu sur l'état de la XXVI. Que par la croyance du calviniste sur
religion en Hollande.
la présence réelle, le socinien lui prouve
qu'il élude la règle qu'il lui propose. ib.
XXVII. Que les réponses du ministre sur
cette objection sont insoutenables dans la
bouche d'un calviniste.

352
VIII. Le ministre contraint de reconnoître le
mal qu'il tâchoit de déguiser.
ib.
IX. Progrès de l'indifférence dans les Etats
protestants, selon M. Jurieu, et première-
ment en Angleterre.

355

353

X. Progrès de ce même mal dans les Pro-

vinces-Unies, selon le même ministre. 354

XI. Liaison de la tolérance civile avec l'ecclé-
siastique et avec l'indifférence des religions,
selon M. Jurieu.
ib.
XII. Nombre immense des défenseurs de la
tolérance civile, selon M. Jurieu.
XIII. Preuve de la même chose par une
lettre des réfugiés de France en Angleterre
au synode d'Amsterdam de l'année der-
nière.
ib.
XIV. Preuve de la même chose par le décret
du synode, et par ce que M. Jurieu a écrit
depuis.
XV. Rapport du socinianisme avec l'indif-
férence des religions, selon M. Jurieu : le
socinianisme, selon lui, est une religion de
plain-pied.

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357

XVI. Qué la constitution de l'Eglise catho-
lique s'oppose à toutes ces nouveautés :
vaine réponse du ministre, qui tâche de
faire croire qu'elle est attaquée du même
mal que la réforme.
358

XVII. Que l'indifférence des religions doit

l'emporter, selon les principes de la ré-

forme trois règles des indifférents. 359

XVIII. Première règle des indifférents, tirée
de l'autorité de l'Ecriture que la réforme
ne peut la nier, et qu'elle les met à couvert
de ce que les trente-quatre réfugiés pro-
posent contre eux.

360

51*

374

375

XLIII. Preuve de l'inévidence des articles fon-
damentaux selon les principes des calvi-
nistes.
376

XLIV. Toutes les preuves du ministre sur les
articles fondamentaux tombent d'elles-mêmes
au seul exemple de la doctrine de la grâce
et de celle de la présence réelle.
ib.
XLV. Suite de la même matière; chicane du
ministre.
377

XLVI. Suite de l'insuffisance de la preuve des
points fondamentaux; et la réforme forcée
encore une fois de recourir à l'autorité et à
la pluralité des voix.
378
XLVII. Le ministre encore une fois sensible-
ment forcé à demeurer court sur les points
fondamentaux.
379
XLVIII. Vaine tentative du ministre pour
prouver par l'Ecriture les articles fonda-
mentaux.
381
XLIX. Si le ministre a mieux établi les articles
fondamentaux dans le traité de l'Unité où il
nous renvoie qu'il y met la nécessité de la
grâce au rang des conséquences non fonda-
mentales.
ib.

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384

cles fondamentaux l'opinion qui a réduit
Dieu à n'avoir qu'un seul moyen de sauver
les hommes.
LIV. Autre preuve de l'absurdité manifeste du
prétendu sentiment de M. Jurieu. ib.
LV. Que le ministre détruit en termes for-
mels sa prétendue évidence des articles fon-
damentaux dans celle de nos besoins. 385
LVI. Le goût et le sentiment où le ministre
réduit la réforme est un, aveu de son im-
puissance à établir les points fondamentaux
par la parole de Dieu.
ib.
LVII. Autre moyen de reconnoftre les articles
fondamentaux, proposé par le ministre, et
la réforme rappelée enfin à l'autorité de l'E-
glise.
386
LVIII. Le ministre donne pour loi le consente-
ment des chrétiens, et suppose l'Eglise in-
faillible.
ib.
LIX. Le ministre dit clairement que le consen-
tement actuel des chrétiens est dans chaque
temps la marque certaine d'une vérité fon-
damentale.
ib.
LX. Que cet aveu du ministre démontre que
l'accusation qu'il nous fait sur l'idolâtrie est
une manifeste calomnie: aveu formel du
ministre sur l'universalité du culte qu'il
prétend idolâtre.

387

LXI. Le ministre, contraint de se dédire de

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LXXII. M. Basnage autorise le grand principe
des sociniens.
LXXIII. De tous les ministres protestants celui
qui tient le plus du socinianisme, c'est M.Ju-
rieu.

400

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$98
LXXIV. Que les excuses de ce ministre, sur
ce qu'il a dit contre l'immutabilité de Dieu,
achèvent de le convaincre.
ib.
LXXV. La tolérance effroyable qu'on a pour
M. Jurieu.
LXXVI. On tolère à ce ministre de dire qu'on
se peut sauver dans une communion soci-
nienne aveu du même ministre. ib.
LXXVII. La tolérance expressément accordée
aux ariens passage de M. Jurieu, qu'il a
laissé sans réplique.
LXXVIII. Les nestoriens et les eutychieps lo-
lérés par ce ministre.
jb.
LXXIX. La réforme est obligée de passer à
M. Jurieu ses erreurs sur le goût et le sen-
timent.
403
LXXX. Erreur de M. Jurieu et de toute la ré-
forme sur le mariage exception à la loi
évangélique reconnue par ce ministre. ib.
LXXXI. Raisons qu'on a dans la réforme de
tolérer tous les excès de M. Jurieu. 405
LXXXII. Que le ministre qui a besoin d'auto-
rité n'espère plus qu'en celle des princes, et

:

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408

409

410

412

ib.

qu'il est contraint de leur rendre le droit de
persécuter dont il les avoit privés.
LXXXIII. Bornes chimèriques que le ministre
veut donner au pouvoir des princes.
LXXXIV. Le ministre ôte lui-même les bornes
qu'il vouloit donner à la puissance publi-
que.
LXXXV. Le ministre produit un passage de
l'Apocalypse qui fait contre lui
LXXXVI. Les réformés tolérants et intolérants
se poussent de part et d'autre à l'absurdité :
les tolérants commencent et tournent contre
le ministre toutes les raisons dont il se sert
contre les catholiques.
411
LXXXVII. Suite des contradictions du mi-
nistre exemple des sadducéens..
LXXXVIII. Irrévérence du ministre contre
Jésus-Christ.
LXXXIX. Les tolérants objectent au ministre
Jurieu un passage exprès du ministre
Claude.
ib.
XC. Les tolérants prouvent au ministre qu'il
ne doit pas plus épargner les sociétés entières
que les particulières.
413
XCI. Le ministre détruit lui-même le vain ar-
gument que la réforme tiroit de ses persé-
cutions.
XCII. Le ministre, de son côté, pousse à bout
les tolérants, et leur demontre qu'ils sont
obligés à tolérer les mahométans et les
païens, aussi bien que les hérétiques de la
religion chrétienne.
XCIII. Le ministre force les tolérants à l'in-
différence des religions.
414
XCIV. Démonstration du ministre que la tolé-
rance civile entraîne l'autre.
XCV. Les deux partis de la réforme se con-
vainquent mutuellement.

ib.

413

ib.

415

XCVI. Que, selon M. Jurieu, le magistrat de
la réforme ne peut punir les hérétiques. ib.
XCVII. L'exemple des empereurs catholiques
allégué par le ministre Jurieu, ne prouve
rien dans la réforme, dont la constitution est
contraire à celle de l'ancienne Eglise. 416
XCVIII. Le ministre démontre aux tolérants
qu'ôter à la religion la force employée par le
magistrat, c'est anéantir la réforme qui n'a
été établie que par ce moyen.
417
XCIX. La rébellion et la force nécessaires aux
protestants de France, selon le ministre. 419
C. Le ministre démontre aux tolérants que les
princes de la réforme décident des matières
de foi: décret des états-généraux. ib.
CI. Les tolérants et les intolérants se poussent
à bout mutuellement les uns en prouvant
que les princes ne doivent pas être les arbi-
tres de la foi, et les autres en démontrant
que, dans le fait, ils le sont parmi les ré-
formés.
CII. Les tolérants sont en droit de nier que les
magistrats soient les chefs de la religion, et
M. Jurieu les autorise dans cette pensée. 422
CITI. Le même ministre leur ferme la bouche
par des actes authentiques de la réforme. ib.
CIV. Conclusion que les deux partis op-
posés triomphent mutuellement dans la ré-
forme.

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423

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LETTRES RELATIVES A L'EXPOSITION.

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LETTRE du P. Johnston, sur d'autres dif-
ficultés des protestants.

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DOCTRINE DE L'ÉGLISE CATHOLIQUE Réponse à la lettre précédente.

SUR LES MATIÈRES DE CONTROVERSE.
I. Dessein de ce Traité.

ib.
II. Ceux de la religion prétendue réformée
avouent que l'Eglise catholique reçoit tous
les articles fondamentaux de la religion

chrétienne.

486

III. Le culte religieux se termine à Dieu

seul.

IV. L'invocation des saints.

V. Les images et les reliques.

VI. La justification.

VII. Le mérite des œuvres.

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495

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Autres espèces d'idolâtres à qui les prétendus
réformés comparent les catholiques : mani-
chéens, ariens, et ceux qui servoient les
anges.

VIII. Les satisfactions, le purgatoire, et les Origine du faux culte des anges, condamné

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XVIII. La parole écrite et la parole non
écrite.

XIX. L'autorité de l'Eglise.

XX. Sentiments de MM. de la religion
tendue réformée sur l'autorité de
glise.

549

554

ib.
par l'apôtre saint Paul, par les anciens doe-
teurs et par le concile de Laodicée.
Dans la doctrine catholique, selon laquelle on
croit tout ce qu'il faut croire sur la nature
divine et la création, il ne peut y avoir
aucun sentiment qui ressente l'idolâtrie. 553
Fausses imputations du ministre Daillé, sur
les honneurs que les catholiques rendent
aux saints.
Examen des actes intérieurs et extérieurs,
par lesquels on rend hommage à Dieu. In-
justice des prétendus réformés dans les re
proches qu'ils font aux catholiques.
Raisons particulières qui mettent les catho-
liques à couvert des objections des prétendus
réformés, prises du sacrifice, qui n'est
offert qu'à Dieu seul.
Nouvelles chicanes des prétendus réformés
sur le terme de culte religieux. Les auteurs
protestants ne sont pas eux-mêmes d'accord
sur l'usage de ce terme. Passages de Dre-
lincourt et de Vossius.

555

559

562

La petite diversité qui se trouve dans les au-
teurs protestants, sur l'usage du terme de
religion, se rencontre aussi dans les auteurs
catholiques. Mais ceux-ci ont un principe
commun, qui accorde cette diversité. 564
l'E-Conséquences de la discussion précédente.
Vaines chicanes des prétendus réformés. 566

522
ib.

pré-

524

XXI. Sur l'autorité du saint Siége et de l'é- Si on retranchoit des controverses les chicanes
piscopat.

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Récapitulation des principes établis ci-dessus.
Application de ces principes à trois actes par-
ticuliers, que les prétendus réformés con-
damnent comme superstitieux et idolâtres :
1° l'invocation des saints; 2o la vénération
des reliques; 3o celle des images.
579
SECOND FRAGMENT. - DU CULTE DES IMA-
GES.
581

Le sentiment de l'Eglise et l'état de la ques-
tion.

582

On ne peut dire que les calvinistes et les luthé-
riens conviennent du fondement dans le point
de l'eucharistie.

632

Autre vérité que les prétendus réformés tâ-
chent vainement de concilier avec leur doc-
trine savoir, que nous devons recevoir dans
l'eucharistie le corps de Jésus-Christ d'une
façon qui ne convienne qu'à ce sacrement.
Raisonnements absurdes de l'Anonyme à ce
sujet.

635

Objections que tirent nos adversaires du Déca-Troisième vérité que les prétendus réformés
logue, où les images et leur culte semblent
absolument défendus.

590

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623

La doctrine de l'Eglise catholique sur l'eucha-
ristie, plus intelligible et plus simple que la
doctrine des prétendus réformés. Celle-ci
s'accorde avec la raison et les sens, celle-là
avec l'Ecriture sainte et les grands principes
de la religion. Embarras des hérétiques. 621
Les prétendus réformés n'osent nier certaines
vérités; mais en voulant les concilier avec
leur doctrine, ils se jettent dans des embarras
inexplicables.
Quoique l'union avec Jésus-Christ se trouve
et dans la prédication et dans le baptême,
et que la vertu de son corps et de son sang
nous vivifie dans l'un et dans l'autre, les pré-
tendus réformés n'ont jamais osé dire que
ces actions communiquassent la propre sub-
stance du corps et du sang de Jésus-Christ,
comme ils le disent de l'eucharistie. Répon-
ses absurdes de l'Anonyme à cette diffi-
culté.

626

La force de la vérité a poussé les prétendus ré-
formés, contre leur dessein, à se servir d'ex-
pressions qui favorisent la présence réelle.
Quel a été leur véritable motif en conservant
ces expressions.

confessent, et qu'ils ne peuvent expliquer
selon leurs principes: savoir, que l'eucha-
ristie est instituée pour nous assurer que nous
avons part au sacrifice de notre rédemption.
Vaines réponses de l'Anonyme.

640

Double acte de foi que les prétendus réformés
imaginent dans la participation à l'eucha-
ristie. Distinction chimérique et insoutena-
ble.

644

La présence réelle de Jésus-Christ dans l'eu-
charistie étant éclaircie, le reste de la doc-
trine sur cette matière n'a plus de difficulté.
Transsubstantiation. Aveux et contradictions
des prétendus réformés.
Chicanes de l'Anonyme sur l'Exposition : des-
sein de l'auteur dans ce traité.

646

651

Réponses aux objections des prétendus réfor-
més, qui accusent les catholiques de détruire
le témoignage des sens, et de faire Dieu
trompeur.

653

Comparaison entre la présence de Jésus-Christ
dans l'eucharistie, et ses apparitions après la
résurrection. Raisons de la différence de sa
conduite dans l'un et dans l'autre mys-
tère.
655

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630

III.
Foiblesse des réponses que l'Anonyme prétend
faire aux preuves des catholiques. 683

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