Oeuvres complètes de Rollin, Volume 16F. Didot, 1823 |
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Charles Rollin. affaires de l'état . L'une avait pour chef Hannon , à qui sa naissance , son mérite et son zèle pour le bien de l'état donnaient une grande autorité dans les délibéra- tions publiques ; et elle était d'avis , en toute ...
Charles Rollin. affaires de l'état . L'une avait pour chef Hannon , à qui sa naissance , son mérite et son zèle pour le bien de l'état donnaient une grande autorité dans les délibéra- tions publiques ; et elle était d'avis , en toute ...
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... état de lui nuire . Il jugea donc que le plus sûr moyen de se maintenir était d'engager la république dans une guerre importante , où l'on aurait besoin de son ministère et où il devien- drait nécessaire à l'état . C'est la politique ...
... état de lui nuire . Il jugea donc que le plus sûr moyen de se maintenir était d'engager la république dans une guerre importante , où l'on aurait besoin de son ministère et où il devien- drait nécessaire à l'état . C'est la politique ...
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... état . Voilà comme s'en- gagent les guerres . Nous voyons au reste qu'Annibal n'était pas moins habile politique que grand capitaine . Les Sagontins , de leur côté , sentant bien le danger dont ils étaient menacés , firent savoir aux ...
... état . Voilà comme s'en- gagent les guerres . Nous voyons au reste qu'Annibal n'était pas moins habile politique que grand capitaine . Les Sagontins , de leur côté , sentant bien le danger dont ils étaient menacés , firent savoir aux ...
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... état de tenir tête à tous les peuples voisins . Annibal sentit de quelle importance il était pour lui de se rendre maître de cette ville . Il comptait que par là il ôterait toute espérance aux Romains de faire la guerre dans l'Espagne ...
... état de tenir tête à tous les peuples voisins . Annibal sentit de quelle importance il était pour lui de se rendre maître de cette ville . Il comptait que par là il ôterait toute espérance aux Romains de faire la guerre dans l'Espagne ...
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... état d'agir , que la ville fut attaquée tout de nou- veau avec plus de vigueur qu'auparavant , et par diffé- rents côtés tout à la fois . On poussa les mantelets plus avant , et l'on commença à attacher le bélier . Annibal , dont on ...
... état d'agir , que la ville fut attaquée tout de nou- veau avec plus de vigueur qu'auparavant , et par diffé- rents côtés tout à la fois . On poussa les mantelets plus avant , et l'on commença à attacher le bélier . Annibal , dont on ...
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Parole e frasi comuni
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Brani popolari
Pagina 97 - Gaulois souffrirent plus que tous les autres. La plupart des \ bêtes de charge moururent dans la boue. Elles ne laissèrent pas même alors d'être de quelque utilité : hors de l'eau , sur les ballots quelles portaient , on dormait au moins quelque partie de la nuit. Quantité de chevaux y perdirent la corne de leurs pieds.
Pagina 85 - Sempronius, ponr cacher sa honte et sa défuite, envoya à Rome des courriers qui n'y dirent autre chose si ce n'est qu'il s'était livré une bataille, et que sans le mauvais temps l'armée romaine eût remporté la victoire. D'abord on ne pensa point à se défier de cette nouvelle; mais on apprit bientôt tout le détail de l'action : que les Carthaginois occupaient le camp des Romains ; que tous les Gaulois...
Pagina 57 - Ce vallon eût sans doute été le tombeau de toute l'armée, si le général carthaginois, à qui il était resté quelque défiance, et qui s'était précautionné contre la trahison, n'eût mis à la tête les bagages avec la cavalerie, et les pesamment armés à la queue. Cette infanterie soutint l'effort des ennemis, et sans elle la perte eût été beaucoup plus grande. Mais malgré ce secours il périt là grand nombre d'hommes, de chevaux et de bêtes de charge.
Pagina 290 - Carthaginois, nous nous déclarerons ennemis de tous ceux qui le seront du roi Philippe, excepté les rois, les villes, les nations avec qui nous sommes liés par des traités de paix et d'alliance. « Vous entrerez, vous, Macédoniens, dans la guerre que nous avons contre les Romains, jusqu'à ce qu'il plaise aux dieux de donner à nos armes et aux vôtres un heureux succès. Vous nous aiderez de tout ce qui sera nécessaire, selon que nous en serons convenus. Si les dieux ne nous donnent point...
Pagina 96 - On lui dit qu'il y en avait deux, une fort longue et connue des Romains; l'autre à travers certains marais, difficile à tenir, mais courte, et par où Flaminius ne l'attendrait pas : celle-ci se trouva plus conforme à son inclination naturelle, il la préféra. Au bruit qui s'en répandit dans l'armée, chacun fut effrayé; il n'y eut personne qui ne tremblât à la vue des mauvais chemins et des abîmes où l'on allait se précipiter. Annibal, bien informé que les lieux où il devait passer,...
Pagina 502 - ¿lait de leur intérêt d'en agir ainsi, ce serait le sujet d'une longue discussion. Il ya plus de raison de croire qu'ils ont eu et qu'ils ont encore tort de le faire aujourd'hui. Si c'était en dépouillant ainsi les villes qu'ils eussent commencé à illustrer leur patrie, il est clair qu'ils auraient bien fait d'y transporter ce qui en avait augmenté la puissance et la gloire. Mais si c'est par une manière de vie...
Pagina 62 - ... il devait passer n'attendaient que l'occasion de se révolter contre les Romains; enfin, pour n'avoir rien à craindre de la difficulté des chemins, il s'y faisait conduire par des gens du pays, qui s'offraient d'autant plus volontiers pour...
Pagina 83 - Frais, vigoureux , pleins d'ardeur , rien ne les empochait de faire leur devoir. Aussi dès que les soldats armés à la légère se furent retirés par les intervalles , et que l'infanterie pesamment armée en fut venue aux mains, alors la cavalerie carthaginoise, qui surpassait de beaucoup la romaine en nombre et en vigueur, tomba sur celle-ci avec tant de force et d'impétuosité , qu'en un moment elle l'enfonça et la mit en fuite. Les flancs de l'infanterie romaine découverts, les soldats armés...
Pagina 435 - Mais , si tu crois que la guerre , qui a rompu l'al« liance des deux peuples , n'a pas suffisamment aboli « toutes nos liaisons particulières , apprends que Badius « de Capoue renonce solennellement à l'amitié de Titus « Crispinus , Romain. Je prends à témoin de ma décla« ration les soldats des deux armées qui m'entendent.
Pagina 25 - ... et envoya les meubles à Carthage. Le succès répondit à tout ce qu'il avait projeté. Les soldats devinrent plus hardis à s'exposer ; les Carthaginois se rendirent avec plaisir à tout ce qu'il demandait d'eux, et, avec l'argent dont il s'était abondamment fourni, il entreprit beaucoup de choses qui lui réussirent. Sur la nouvelle que...