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BIOGRAPHIQUE ET BIBLIOGRAPHIQUE,

PORTATIF.

མལ་་

NAAM

NABO

NAAMAN, général de l'armée de bourgeois, et contribua à la prise de

Benadad, roi de Syrie, étant devenu lépreux, il vint à Samarie présenter, de la part de son maître, des lettres de recommandation pour sa guérison à Joram, qui, prenant cette ambassade pour une embûche, lui fit mauvais accueil, en demandant avec hauteur «< S'il était un dieu, pour pouvoir guérir les lépreux? Mais Elysée fit dire au roi d'Israël de lui envoyer Naaman. Ce genéral étant arrivé à la porte d'Elysée, le prophète lui fit dire d'aller se laver sept fois dans le Jourdain, et qu'il serait guéri. Naaman, regardant cette réponse comme une marque de mépris, se retirait en colère; toutefois, à la prière de ses serviteurs, il obéit, et la lèpre disparut. Alors il revint vers Elysée pour lui témoigner sa reconnaissance, et rendit hommage au Dieu qui avait opéré sa guérison, dit l'Ecriture.

NAAS, roi des Ammonites, alla, un mois après l'élection de Saül, mettre le siége devant Jabes, capitale de la prov. de Galaad. La ville étant réduite à l'extrémité, il offrit aux habitans de leur sauver la vie, à condition de se laisser arracher l'oeil droit. Cette réponse consterna les Jabéens à un tel point, qu'ayant obtenu un délai de sept jours, ils envoyèrent des courriers par toute la Judée pour demander du secours. Saül marcha avec promptitude contre leurs ennemis, tailla en pièces toute l'armée de Naas, qui fut enveloppé parmi les morts, vers Pan 1095 av. J. ̊C.

Wyl, ainsi qu'à la conquête des hailliages d'Uznachet de Gaster. Après la paix d'Arau, il fut premier landamman de la Turgovie, membre du grand-conseil et du sénat de Zurich. Il a écrit la Relation des troubles de Toggenbourg, in-fol., qui est restée m.ss. Haller en fait un grand éloge.

NABIS, tyran de Lacédémone, à qui Philippe, roi de Macédoine, remit la ville d'Argos comme en dépôt. Il y exerça les plus grandes cruautés, et inventa une machine en forme de statue, qui ressemblait à sa femme; il la fit revêtir d'habits magnifiques, qui cachaient des pointes de fer dont elle avait les bras, les mains et le sein hérissés. Quand quelqu'un lui refusait de l'argent, aussitôt la statue paraissait, et le tyran, la prenant par la main, la conduisait à son homme, qu'elle embrassait, et à qui elle faisait jeter les hauts cris. Nabis ayant pris le parti de Philippe contre les Romains, Flaminius vint l'assiéger dans Sparte, l'obligea de demander la paix, et la lui accorda. A peine le général romain fut-il parti de la Grèce, que Nabis alla assiéger Gythium, ville des Achéens, qui avaient pour général le céJebre Philopoemen, qui poursuit le perfide Nabis, le surprend, et le bat près de Sparte. Le tyran fut tué en trahison dans le tems qu'il prenait la fuite, vers l'an 194 avant J. C.

NABONASSAR, roi des Chaldéens ou Babyloniens, cél. par la fameuse ère NABHOLZ (Jean-Ulric), né à Zu- qui porte son nom, et qui commença rich en 1667, m. en 1740, exerça d'abord Fan 747 av. J. C. On croit qu'il est le le métier de savetier, et s'éleva par son même que Belesis ou Baladan, dont il mérite à des charges importantes. En- est parle dans l'Ecriture-Sainte, et qui veloppé malgré lui dans la guerre civile fut père de Mérodac, lequel envoya des de 1712, il se mit à la tête des Toggen-ambassadeurs au roi Ezechias. Tom. III.

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I

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NABOTH, cél. juif de Jezraël, avait une vigne auprès du palais d'Achab. N'ayant point voulu la vendre à ce prince, il fut mis à m. par ordre de Jezabel, femme d'Achab, 889 ans av. J. C. Mais Dieu vengea la m. de Naboth d'une manière éclatante.;

NABUCHODONOSOR Ier, roi de Ninive et de Babylone, dont il est parlé dans le livre de Judith, défit et tua Phraortes, roi de Médie, appelé aussi Arphaxad. Vainqueur des Mèdes, il envoya contre les Israelites Holoferne, général de ses armées, qui fut tué par Judith. On croit que ce Nabuchodonosor est le même que Nabopolassar.

de sexe. Ensuite ayant subjugué presque tout l'Orient, il se fit élever une statue d'or, et ordonna de l'adorer.

NABUNAL (Elie), cordelier théol., nommé Nabunal du lieu de sa naissance, dans le Périgord, devint archev. de Nicosie et patriarche de Jérusalem, et fut nommé card. en 1342, par le pape Clément VI. Il m. à Avignon l'an 1367. On a de lui, en latin, des Commentaires sur les Sentences et sur l'Apocalypse; un Traité de la Vie contemplative; des Sermons sur les Evangiles.

NADAB, roi d'Israël, succéda l'an 954 av. J. C. à son père Jéroboam, et ne fut pas plus religieux que lui. Baasa, l'un de ses généraux, le tua en trahison l'an 953, fit périr toute sa race, et s'empara du trône.

NADAL (Augustin), né à Poitiers en 1659, vint de bonne heure à Paris. Il s'attacha à la maison d'Aumont, dont le crédit lui fit obtenir, en 1706, une place dans l'acad. des inscriptions et des b.-lett. Il accompagna en 1712, en qualité de secrét., le duc d'Aumont, plénipotentiaire auprès de la reine Anne

la paix d'Utrecht. Il fut nommé à fabb. d'Oudeauville en 1716, et m. à Poitiers en 1741. Ses ouv. ont été rec. en 1738, à Paris, en 3 vol. in-12.

NADASTI (Thomas, comte de), d'une des plus anc. fam. de Hongrie, défendit avec valeur, en 1531, la ville de Bade, contre Soliman II, empereur des Turcs; mais la garnison le trahit, et le livra, pieds et mains liés, au grand-seigneur, avec la ville et le château. Ce prince, indigné d'une si lâche trahison, punit sévèrement les traîtres en présence de Nadasti, et après l'avoir comblé d'éloges, le renvoya, sous bonne escorte, à Ferdinand, roi de Hongrie. Il enseigna l'art militaire au fameux Ferdinand de Tolède, duc d'Albe, âgé de 23 ans et prédit ce qu'il serait un jour.

NABUCHODONOSOR II, roi des Assyriens et des Babyloniens, surn. le Grand, succéda à son père Nabopolassar, et se rendit maître de presque toute l'Asie. Il prit Jérusalem sur Joachim, roi de Juda, qui s'était révolté contre lui, et l'amena captif à Babylone, l'an 600 av. J. C. Il lui rendit ensuite la liberté et ses états, moyennant un tribut; mais ce roi s'étant révolté de nouveau trois ans après, il fut pris et mis à mort. Jechonias, son fils, lui succéda; s'étant aussi soustrait au joug du roi de Babylone, ce prince vint l'assiéger, le mena captif à Babylone, avec sa mère, sa femme, et dix mille homme de Jérusalem. Nabuchodonosor enleva tous les trésors du temple, et mit à la place de Jéchonias l'oncle paternel de ce prince, auquel il donna le nom de Sédécias. Ce nouveau roi marcha sur les traces de ses prédécesseurs; il fit une ligue avec les princes voisins, contre celui à qui il était redevable de la couronne. Le monarque babylonien vint encore en Judée avec une armée formidable. Après avoir réduit les principales places du pays, il fit le siége de Jérusalem. Sédécias fut 'pris et mené à Nabuchodonosor, qui était alors à Reblatha en Syrie. Ce prince fit égorger ses enfans en sa présence, lui fit crever les yeux, le chargea de chaînes, et le fit conduire à Babylone, L'armée des Chaldéens entra dans Jéru-quitter le nom et les armes de leur fasalem, et y exerça des cruautés inouïes; mille, et prirent celui de Cruzemberg. on égorgea tout sans distinction d'âge ni Il a laissé un livre in-fol., en lat., intit.

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NADASTI (François, comte de), président du conseil souverain de Hongrie, de la même famille que le précéd.; n'ayant pu obtenir de l'emp. Léopold la dignité de palatin, conspira contre lui, en 1665, avec le comte de Serin, Frangipani et Tattembach. Après avoir tenté plus. fois, mais sans succès, d'empoisonner l'empereur, sa conspiration fut découverte, et il eut la tête tranchée le 30 avril 1671, dans l'hôtel de ville de Vienne. Ses enfans furent condamnés à

Mausolée du royaume apostolique des rois et des ducs de Hongrie.

NADASTI (François, comte de), chev. de l'ordre milit. de Marie-Thérèse, conseill. intime et feld - maréchal, né en 1708, se distingua par ses talens milit. et sa bravoure; mais ce fut principalement sous Marie-Thérèse et Joseph II, après la m. de Charles VI, qu'il se couvrit de gloire dans la guerre contre le roi de Prusse. Il m. en 1787. NADAULT (Jean), né à Montbard en Bourgogne en 1701, a trad. en lat., avec Daubenton: Acta academiæ naturæ curiosorum, pour la collection académique, tom. II, 1771. Il a aussi donné quelques Mémoires dans le Recueil de l'acad. de Dijon.

:

NAELDWYCK (Pierre Van ), méd. hollandais, florissait au 17 s. Il a composé Libri duo philippicorum, sive, de equorum natura, electione, educatione, disciplina et curatione, Leyde, 1631, in-4°.

NAEVIUS (Cneïus), poète lat., porta les armes dans la ire guerre punique.Il s'attacha ensuite au théâtre, et sa ire comédie fut représ. à Rome l'an 229 av. J. C. Son humeur satirique déplut à Métellus, qui

le fit chasser de Rome. Il se retira Utique, où il m. l'an 230 av. J. C. II ne reste que des fragmens de ses ouv. dans le Corpus Poëtarum de Maittaire. Le principal était une Hist. de la guerre punique.

NAEVIUS (Jean), né à Chemnitz en Misnie l'an 1499, méd. des électeurs Maurice et Auguste, m. en 1574, a laissé des Consultations très-estimées, sur-tout celle intit. : Medicamenta contra pestem pro republicá Dresdensi. Nævius (Gaspard), son frère, né à Chemnitz en 1514, m. en 1579, prof. de méd. dans l'univ. de Leipsick laissé quelques ouv. estimés.

a

NAHUM, l'un des douze petits prophètes, vivait depuis la ruine des dix tribus par Salmanazar, et avant l'expédition de Sennacherib contre la tribu de Juda. Ses prophéties sont en hébreu, et contiennent trois chap.; elles ne regardent que la ruine de Ninive.

NAIGEON (Jacques-André), membre de l'institut de France, né à Beaune en Bourgogne, en 1738, où il m. en 1810, a rédigé dans l'Encyclopédie méthodique les articles de la Philosophie ancienne et mod. Il a donné une édit. des OEuvres de Diderot, 15 vol. in-8°. Ses ouv. sont : Collection des moraralistes anciens; Manuel d'Epictete, traduit du grec; Morale de Sénèque, trad. du lat., Paris, 4 vol. petit format. La collect. entière est comp. de 16 vol. Traduction de la Tolérance dans la religion par Crellius; l'original lat. de cet ouv. parát en 1637, sous ce titre : Junü Bruti, Poloni, vindicia pro religionis libertate; OEuvres de Sénèque-le-Philosophe, trad. en franç. par La Grange, avec des Notes de critique, d'histoire et de littérature, par Naigeon; Essai sur la vie de Sénéque-le-Philosophe > par Diderot, avec des Notes, Paris, 1778 et 1779, 7 vol. in-12. Naigeon a coopéré à l'Histoire philosophique, de Raynal. Adresse à l'assemblée nationale, sur la liberté des opinions, sur celle de la presse, etc. On lui doit encore une nouvelle édition des Essais de Montagne Paris, 1802.

en

NAILLAC (Philibert de), élu, 1383, grand-maître de l'ordre de SaintJean-de-Jérusalem, qui résidait pour lors à Rhodes, était gr.-prieur d'Aquitaine. Il mena du secours à Sigismond, roi de Hongrie, contre Bajazet, et s'acquit une grande réputation par sa valeur et par sa prudence. En 1409, il assista au conc. de Pise, et m. en 1421, à Rhodes. Il ne faut pas le confondre avec Guillaume DE NAILLAC, qui se trouvait sur le pont de Montereau, lors de l'assas

NAGEL (Paul), rect. de l'école de Torgan, espèce d'enthousiaste ou de fanatique, qui publ. plus. ouv. remplis de visions et d'extravagances, parmi les-sinat du duc de Bourgogne. quels on remarque: Prodromus astronomia apocalyptica, Dantzig, 1620, in-40; De quatuor mundi temporibus, ibid., 1621, in-4°; Prognosticon astrologicum, Halle, 1630, in -4°, et autres écrits en allem. : m. en 1621.

NAGEREL (Jean), chan. et archid. de Rouen, publ., l'an 1578, une Des-, cription du pays et du duché de Normandie, qui se trouve à la suite de la Chronique de cette province, Rouen, 1580 et 1610, in-8°.

NAILOR (Jacques), fameux imposteur, né dans le diocèse d'York. Après avoir servi quelque tems en qualité de maréchal des logis dans le régiment du colonel Lambert, embrassa la secte des quakers ou trembleurs. Le parlement le condamna, le 25 janv. 1557, comme un séducteur, à avoir la langue percée avec un fer chaud, et le front marqué de la lettre B, pour signifier blasphémateur. Il fut ensuite reconduit à Bristol. On le confina dans une étroite prison; on l'é

largit comme un fou qu'on ne pouvait corriger, et il ne cessa de prêcher parmi les quakers jusqu'à sa mort, arrivée en 1660.

NAIN DE TILLEMONT (Louis-Sebastien le), né en 1637, à Paris, d'un maître des requêtes. Il m. en 1698. On a de lui: Memoires pour servir à l'Histoire ecclésiastique des six premiers siècles, Paris, 1693, 1712, 16 vol. in-4°; 'Histoire des empereurs et des autres princes qui ont régné durant les six premiers siècles de l'Eglise, etc.; une Lettre contre l'opinion du P. Lami « que J. C. n'avait point fait la pâque 1 veille de sa mort. Quelques ouv. m.ss., dont le plus considérable est l'Histoire des rois de Sicile de la maison d'Anjou. L'abbé Tronchai, chan. de Laval, a écrit sa Vie, 1711, in-12.

NAIN (dom Pierre le), frère du précéd., né à Paris en 1640, sous-prieur de la Trappe, où il m. en 1713. On a de lui: Essai de l'Hist. de l'ordre de Citeaux, en vol, in-12; Homélies sur Jérémie, 2 1705, 2 v. in-8°; Vie de Rancé, abbé et reformateur de la Trappe, 2 vol. in-12; Relation de la vie et de la mort de plusieurs religieux de la Trappe, 6 vol.

an-12, etc.

NAIRON (Fauste), sav. maronite, et prof. en langue syriaque au college de Ja Sapience à Rome, né au mont Liban, m. à Rome, l'an 1711, âgé de So ans. Il a composé: Euoplia fidei catholicæ ex Syrorum monumentis adversùs ævi nostri novatores, 1694; Dissertatio de origine, nomine ac religione maronitarum, Rome, 1679, etc.

NALDINI (Jean-Baptiste), peintre florentin, né en 1537, vivait encore en 1590, brilla dans le dessin et le coloris. On connaît de lui 44 Tableaux dispersés dans les églises de Rome, de Flo rence, de Pistoie et de Palerme.

NALDIUS ou NALDI (Matthias), med. du pape Alexandre VII, né à Sienne, m. à Rome en 1682, célèbre, tant par les vastes connaissances qu'il s'était acquises dans son art, que par celles qu'il avait des langues lat., grecq., bébr., cald. et arabe, contribua beaucoup à faire fleurir les écoles de l'université de cette ville. Il a publ. Sa pientis vitale filum, quod philosophice ac medicæ facultatis ambages publicè ingressurus, heroicis numeris sibi conglomeravit, Senis, 1623, in-4°, etc.

NALIAN (Jacques), sav. patriarche arménien à Constant., né à Zimara, village dans la petite Arménic, près de

l'Euphrate, m. en 1764. Ses principales productions sont : Le Tresor des notices,vol. in 4°, Constant., 1758; l'Arme spirituelle; Le fondement de foi, Constant., vol. in-40; Commentaire sur Nareg, livre très-renommé chez les Arméniens; la Doctrine chrétienne à l'usage des Arméniens, 1737, in-12; Recueil d'un grand nombre de lettres familières et instructives, un Recueil de chansons et d'anecdotes écrites en turc et en arménien; differ. Livres de prières, etc.

NANA, archid. syrien, viv. dans le ges. En 835 il vint en Arménie, parvint à la place de conseill. auprès du patriarc. En 855, il fut fait prisonnier par les Sarrasins et conduit à Babylone. Les Mahométans exercèrent sur lui toutes sortes de cruautés; ils lui rendirent la liberté en 862, et il retourna en Arménie, où il m. peu de tems après. Ses ouvr. sont : L'Histoire des martyrs faits par les Sarrasins lors de sa captivité; La Vie d'Alexandre-le-Grand, trad. du syriaque en arménien, etc.

NANCEL (Nic. de), cél. méd., à Nancel, entre Noyon et Soissons, en 1539. Médecin de l'abbaye de Fonterault en 1587, et y m. en 1610. On a de lui: Stichologia græca latinaque informanda et reformanda, in-8°; De Deo; De immortalitate animæ contra Galenum, et de sede animæ in corpore, in-8°; Discours de la peste, in-8°'; Declamationes, in-8°.

NANCEL (Pierre de), aut. dramat. du 16 s. et du commenc. du suiv., a publié: Dina, ou le Ravissement; Josué, ou le Sac de Jéricho; Débora, ou la Délivrance. Ces 3 tragéd. en 5actes, impr. dans le vol. qui a pour titre: Theátre sacré de Pierre de Nancel, Paris, 1607, in-8°.

NANESCURIEZ, ex-jés. polonais, hist. et poète, m. en Pologne en 1797, est aut. d'une Histoire de la nation polonaise, écrite en polonais, en 9 vol. II a laissé jusqu'à 360 vol. m.ss., qu'il avait composés ou fait composer sur divers sujets, par ordre du feu roi.

NANI (Jean-Bapt.), procurateur do St.-Marc, né en 1616, ambassad. en Fr., où il obtint des secours pour la guerre de Candie contre le Turc; à son retour à Venise, il fut surintend. des affaires de la guerre et des finances; ambassad. à la cour de l'empire en 1654; il m. en 1678. Le sénat l'avait chargé d'écrire l'Histoire de la république. Cette Histoire, qui s'étend depuis l'an 1613 jusqu'en 1671, fut impr. à Venise en 1676,

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