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PARKER (Henri, lord MORLEY) l'un des promoteurs du divorce de Henri VIII d'Angleterre, fut aussi l'un des barons qui signèrent la lettre adressée à Clément VII, pour lui enjoindre de confirmer le divorce du roi, sous peine de perdre la suprématie en Angleterre.

PARKER (George), comte de Macclesfied, m. en 1766, mathématicien et niembre de la société royale. Ce fut lui qui insista pour qu'on admiît le nouveau style en Angleterre, et qui en a dressé le bill. Il y a joint un Discours.

PARKER (sir Hyde), amiral anglais, employé contre la France, se distingua le 14 février 1797, à la bataille que gagna lord Saint Vincent sur la flotte espagnole. Au mois de novembre 1801, mis en jugement pour avoir expédié les bâtimens l'Américat et la Cléopatre aux Indes occidentales, il fut acquitté, et mourut en 1802.

PARKER (William), capitaine de vaisseau anglais, se distingua le 28 mai 1794, jour où il soutint, avec l'Audacieux de 4, un combat contre le vaisseau français la Bretagne, de 112 canons. Le lendemain, il eut un nouvel engagement avec une frégate et deux corvettes ennemies; il se trouva encore à la bataille que livra l'amiral Howe le 1er juin. Blessé en sept. 1801, devant Boulogne, il m peu de jours après.

PARKER (Samuel D. D.), évêque de Peglise épiscopale des états de Massachussets, né à Portsmouth dans le NewHampshire, en 1745, et m. à Boston en 1804, a publié en 1797 un choix de Sermons, et quelques Discours.

dans les autres auteurs, en anglais, Londres, 1740, in-fol.

PARKMAN (Ebenezer), 1er ministre de l'eglise de Westborough, au pays de Massachussetts, m. en 1782. On a de lui une courte Histoire de Westborough. II a aussi écrit sur les réformateurs en 1752, et publia en 1761 le Discours qu'il composa pour l'assemblée des états.

PARMENIDES DELEE, philosophe grec qui vivait vers l'an 436 avant J. C., fut disciple de Xénophane dont il adopta toutes les idées. Parménides n'admettait que deux élémens, le feu et la terre, et soutenait que la première génération des hommes est venue du soleil. Il disait aussi qu'il y a deux sortes de philosophie; l'une fondée sur la raison, et l'autre sur l'opinion. Il avait mis son système en vers. Il ne nous reste que des fragmens de cet ouvrage.

PARMENTIER (Jehan), marchand de la ville de Dieppe, né en 1494, se fit un nom par son goût pour les sciences et par ses voyages, m. en 1530, dans l'île de Sumatra. On a de lui: Moralité trèsexcellente à l'honneur de la glorieuse assumption de Nostre-Dame, jouée à Dieppe le jour du puy de ladite assumption, l'an de grace 1527, etc., à dix personaiges, Paris, 1531, in-4°; Description nouvelle des merveilles de ce monde et de la dignité de l'homme Paris, 1536, in-4°.

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PARMENTIER (Jacques), peintre français d'histoire et de portaits, né en 1658, m. en 1730, s'établit au comté d'York, où l'on trouve beaucoup de ses ouvrages.

PARKHURST (Jean), ministre de PARMENTIER (Antoine-Augustin), l'église anglicane, né en 1728 à Catesby-membre de l'institut et de la légion d'honHouse, comté de Northampton, m. en 1797 à Epsan en Surrey, donna, en 1762, son Dictionnaire hébreu, sans points, précédé d'une Grammaire hébraïque et chaldaïque, Londres, 1802, gros in-8°; un Lexique grec et anglais du nouveau Testament, avec une Grammaire grecq., 1764, in-4°; la Divinité et la préexistence de J. C.

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neur, premier pharmacien des armées né à Mont-Didier en 1737, m. vers la fin de décembre 1813, a puissamment contribué aux progrès de l'agriculture et de l'économie publique, par un grand nombre d'ouvr. sur la Meûnerie et la Boulangerie, sur la Châtaigne, sur la culture des Pommes de terre, de la Patate et du Topinambour, etc. Il a travaillé aux 10, 11 et 12 vol. du Dictionnaire d'Agriculture de Rozier, et fait tous les articles d'économie du Dictionnaire d'Histoire naturelle, Paris, 1800.

PARNASSUS (mythol.), fils de Neptune et de Cléodore, habitait les environs du mont Parnasse, auquel il donna son

nom

PARNELL (Thomas), poète anglais, né à Dublin en 1679, fut nommé vicaire de Finglass. Il est aut. de quelques pièces

de poésie, dont la plus remarquable est Hesiode où la Naissance de la femme, et l'Ermite. Hennequin eu a donné une version franç, à Riom et Clermont, 1801, in-12; Vie de Zoïle, et cinqvisions dans le Spectateur ou dans le Gardien. Feutri et Berquin ont imité dans deux romances son conte de l'Ermite. Ses ouvrages poétiques ont été impr. à Paris, 2 vol. in-12. Ilm. à Chester en 1717.

PAROY (Jacques de), l'un des meilleurs peintres sur verre, naquit à SaintPourcain-sur-l'Allier vers la fin du 16o s., dessina pour me chapelle de l'église de St.-Méry à Paris le jugement de Suzanne, ainsi que les vitraux du chœur. Il m. à Moulins, à 102 ans.

PARQUES (mythol. ), filles de l'Enfer et de la Nuit, étaient trois Clothon, Lachesis et Atropos. La vie des hommes, dont ces trois soeurs filaient la trame, était entre leurs mains: Clothon garnissait et tenait la quenouille, Lachésis tournait le fuseau, et Atropos coupait le fil avec des ciseaux.

PARR (Catherine), 6e femme de Henri VIII, roi d'Angleterre, vers l'an 1542, était veuve du baron Latimer, et sœur du comte de Northampton; elle faillit devenir la victime de ce monarque qui, la soupçonnant d'hérésie, voulait la faire périr: elle sut adroitement faire revenir ce prince de ses soupçons. Après la mort de Henri, arrivée en 1546, elle éponsa Thomas de Seymour, amiral d'Angleterre, et mourut en 1547.

PARRENNIN (Dominique), jésuite, né dans le Lyonnais, envoyé à la Chine en 1698, fut accueilli par l'emp. CamHi. Il traduisit pour ce prince, en langue tartare, ce qu'il y avait de plus nouveau en géométrie, astronomie et anatomie, etc. C'est à lui qu'on est redevable des cartes de l'empire de la Chine, où il m. en 1741.

PARRHASIUS ou PARRASIUS (mythol.), fils de Mars et de Philonomie, nymphe de Diane.

PARRHASIUS, peintre, natif d'Ephèse, contemporain et rival de Zeuxis, vivait vers l'an 420 av. J. C. Cet artiste réussissait particulièrement dans la partre qu'on appelle le dessin. Ce fut le premier qui peignit bien les cheveux. On sait qu'après avoir peint un rideau, il trompa Zeuxis lui-même. Son tableau de Méléagre et Atalante fut acheté par Tibère la valeur de 150,000 liv. de notre monnoie.

PARRHASIUS (Janus), grammairien italien,, né à Cosenza dans le royaume

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PARROCEL (Joseph), peintre et grav., né à Brignoles en 1648, m. à Paris en 1704, a peint avec succès le portrait, des sujets d'histoire et de caprice; mais il a excellé à représenter des batailles. It a gravé une suite de la Vie de J. C., et quelques autres morceaux.. - Parrocel Charles), son fils et son élève, né en 1689, m. en 1752, fut choisi pour peind. les Conquêtes de Louis XV.

PARROCEL (Pierre), d'Avignon peintre d'hist., m. en 1739, à 74 ans. Son ouvr. le plus considérable se voyait à Saint-Germain-en-Laye, dans une galerie de l'hôtel de Noailles, l'Histoire de Tobie, en 16 tableaux. Son chef-d'œuvre était à Marseille dans l'église des religieuses de Ste.-Marie; l'Enfant Jésus assis sur un trône est représenté conronnant la Vierge, humblement inclinée devant lui.

PARRY (Richard), curé de Wichampton, dans le comté de Dorset, m. en 1780. Ses ouvrages, en angl., sont : Le Sabbat des chrétiens aussi ancien que le monde, 1753, in-4; Dissertation sur la prophétie de Daniel, des 70 semaines, 1762, in-8°; l'Harmonie des quatre évangélistes, sur la résurrection de N.-S., 1765, in-4o, etc.

PARS (Adrien), né à la Haye, ministre à Catric (Ratwich), sur le Rhin a publié, dans sa langue maternelle : Catti aborigines Batavorum, Leyde 1797, in-8°, et 1715; Index Batavicus, ou Liste nominative de tous les auteurs à consulter pour toutes les différentes parties de l'histoire de Hollande, depuis Jules César jusqu'à nos jours Leyde, 1701, in-4o.

PARSONS ou PERSONS (Robert), jés. angl., né en 1546 à Netherstowey dans le comté de Somerset, obtint, étant à Rome, en 1579, de sa Sainteté, la permission d'ériger en college ou en seminaire, pour les Anglais, sous le nom de Collegium de Urbe, l'hôpital fondé pour la même nation sous le règne de la reine Marie. Cet établissement avait pour objet des missions en Angleterre. Parsons, revêtu du titre de supérieur de la mission, parut dans les campagnes, tantôt déguisé en soldat, tantôt en laïque, en ministre,

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en huissier; et ses succès répondirent à son zèle. Le pays de Galles offrit une abondante moisson, et tout était disposé pour une insurrection générale. La vigilance de lord Burleigh rompit toutes ces mesures. Parsons traversa la mer et

vint à Rouen, d'où il retourna à Rome, où il obtint, en 1587, la place de directeur du séminaire anglais. Il provoqua sans cesse l'établissement de seminaires toujours prêts à fournir de nouveaux sujets pour recruter les missions d'Angl. Parsons voulait parvenir à détrôner la reine Elizabeth, et s'en était ouvert au duc de Guise. Il chercha aussi à exciter en Angleterre un soulèvement, à la tête duquel il voulait placer le comte de Derby. Après avoir vainement tenté d'obtenir la pourpre romaine, et m. en 1610. Il laissa de nombreux écrits, parmi lesquels on distingue: Christian directory guiding their salvation, dont la dernière édition est de 1782,

né à

PARSONS (Jacques), méd. Barnstaple, dans le comté de Devon, en 1705, s'établit à Londres en 1736, où il se donna plus particulièrement à la pratique des accouchemens. Il m. en 1770, laissant plusieurs ouvrages m.ss.

PARSONS (Jonathan), ministre à Newbury-Port, pays de Massachussetts, m. en 1776. Ses ouvr. sont : Les bonnes Nouvelles d'un pays éloigné, 1756 La Manne recueillie le matin, 1761; Liberté civile et tyrannie ecclésiastique, 1774; 60 Sermons sur différens sujets, 1780, 2 vol. in-8°.

PARSONS (Moïse), ministre de Byfield, pays de Massachussetts, né en 1716, m. en 1783, excellait dans la prédication. Il a publ. un Choix de sermons.

PARTÉNIO (Barthélemi), de Brescia, vivait vers l'an 1484. Il a traduit du grec l'Hist. de Thucydide et les amours de Leucippe et de Cléophonte.

PARTÉNIUS (Bernard), né à Spilimberg dans le Frioul, devint prof. de b.-lett. à Ancône, emploi qu'il remplit jusqu'en 1555, époque où il alla à Vicence, et de là à Venise, où il professa l'éloquence jusqu'à sa mort, arrivée en 1589. On a de lui un Discours en faveur de la langue latine; un Traité de l'imitution poétique, en italien, Venise, 1560, et qu'il traduisit lui-même en latin en 1565; trois livres de Poésies latines, Venise, 1579; Commentaires sur les Odes d'Horace.

PARTHENAY (Emmanuel de ), ወዘmônier de la duchesse de Berry, m. en 1761, à 9 ans. On a de lui une Tra

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duction latine, 1718, in-12, du Discours sur l'Histoire universelle de Bossuet, sous ce titre Commentarii universam complectentes historiam, ab orbe condito ad Carolum Magnum, etc.

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PARTHENAY (l'abbé Jean-Baptiste des Roches de ), né à la Rochelle, et m, au milieu du 18e s. a publié: Histoire de Danemarck, 1733, 6 vol. in-12; Pensées morales, par Holberg, traduites du danois, Copenhague, 1754, 2 v. in-12; Voyage d'Egypte et de Nubie, trad. de Norden, ibid., 1755, 2 vol. in-fol. ; Histoire du Groenland, trad. du Danois Eggède, ibid., 1753, in-8°; Histoire de la Pologne sous Auguste II, 1794, 2 vol. in-8°.

PARTHENIUS, de Nicée, qui flor. sous l'empire d'Auguste, est auteur d'un traité De amatoriis affectionibus, gree et latin, Basileæ, 1531, in-8°.

PARTHENOPE (mythol.), l'une des Syrènes qui tentèrent en vain de charmer Ulysse par leur chant; elle se tua de désespoir.

PARUTA (Paul), noble vénitien, né en 1540, m. en 1598, fut d'abord historiographe de la république, gouvern. de Brescia, et enfin procurateur de St.Marc. On a de lui de bonnes Notes sur

Tacite ; des Discours politiques, Venise, 1599, in-4°; Traité de la perfection de la Vie politique, ibid., 1582, in-4°; qu'en 1551, in-4° Histoire de Venise, depuis 1513 jus1605 et 1703, avec une Relation de la guerre de Chypre.

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PARUTA (Philippe), donna la première édition de sa Collection des mé

dailles de Sicile à Palerme, 1612, in-f., Rome, 1649, Lyon, 1697. Havercamp en publia une édit. lat. en 3 v. in-f.

PARUTA - TOMMASINI (Monsig.. Tommaso), de l'ordre des prêcheurs, né à Venise vers 1380, où il m. en 1446. Ses princ. ouvr. sont: Historia concilii Constantiensis ; Sermones; Carmen de divinissimo Corporis Christi Sacramento, etc., etc.

PARY (Etienne-Olivier), de Paris m. en 1782, est auteur du Guide des de marchands et des communau-. corps tés des arts et métiers, Paris, 1766, I vol. in-12.

PAS (Manassès de ), marquis de Feuquières, né à Saumur en 1590, lieut.gén. et général d'armée. Ce fut lui qui, pendant le siége de la Rochelle, dirigea toutes les mesures pour surprendre cette ville. Après la mort de Gustave-Adolphe, il fut envoyé en Allemagne pour y

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PAS (Antoine de), marquis de Feuquières, fils aîné du précéd., commenca à se signaler en Allemagne en 1688. Cette campagne lui valut le grade de maréchal de

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camp. D'allemagne il passa en Italie, et se signala à la bataille Stafarde, à la prise de Suse et de quelques autres villes du Piémont et dans les vallées de Luserne contre les Barbets. Nommé lieut.gén. en 1693, il servit en cette qualité jusqu'à la paix, et m. en 1711, à 63 ans, Ona de lui des Mémoires in-40, et 4 vol. in-12. C'est la liste des généraux français sous Louis XIV.

I. PASCAL (Blaise), né à Clermont en Auvergne en 1623, d'un président à la cour des aides, vint de bonne heure à Paris, où, à l'étude des langues, il joignit celle des mathématiques, et publia, à l'âge de 16 ans, un Traité des sections coniques. A 19 ans, il inventa la roulette, machine d'arithmétique, par laquelle on fait toutes sortes de supputations sans plumes et sans jetons. Toricelli avait fait des expériences sur le vide; Pascal les exécuta à l'âge de 23 ans, et découvrit la solution de plusieurs problèmes; il inventa encore la brouette et le haquet, deux machines d'un_usage journalier. S'étant retiré à Port-Royaldes-Champs, il se consacra dans cette retraite à l'étude de l'Ecriture - Sainte, et fit paraître bientôt contre les jésuites, en 1656, ses Lettres provinciales, qui sont un mélange de plaisanterie fine, d'éloquence forte, du sel de Molière et de la dialectique de Bossuet. Il m. à Paris en 1662. Outre les ouvrages dont nous avons parlé, on a de Pascal des Pensées sur la Religion, Paris, 1715, in-12;

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Londres, 1776, in-8°, avec des notes de Voltaire et de Condorcet; un Traité de l'équilibre des liqueurs, in-12; quelques autres Ecrits pour les curés de Paris, contre l'Apologie des casuistes du P. Pirot. Les OEuvres de Blaise Pascal forment 5 vol. in-8°, Paris, 1779.

juriscons. du 17 s. PASCAL (Philippe ), de Consenza, a écrit un ouvrage intitulé: De viribus patriæ potestatis, Naples, 1618, in fol.; Cologne, 1619, in-4°; Naples, 1627.

PASCAL (Valentin), d'Udine, qui vivait sous le pontificat de Paul V, a écrit: De rebus Moschicis; de Italia fluminibus, etc.

PASCAL (Jean-Benoît ), né à Paris en 1725, et m. au commenc. de ce siècle, a publié les Textes latins des passages de la Bible et de l'Imitation, cités dans l'Année spirituelle, 1767, in-12; Officia divina pro variis anni temporibus, 1773, in-12, Officia S. Pietatis exercitia ex variis scripturæ locis desumpta, 1776, in-12.

PASCHAL Ier (St.), Paschasius né à Rome, succéda dans la chaire de St. Pierre à Etienne IV, en 817. Sous ce pontife faible, Rome fut déchirée par les factions.

PASCHAL II, Toscan, religieux de Cluny, succéda au Pape Urbain II le 12 août 1099. Il excommunia l'antipape Guibert, tint plusieurs conciles, et s'attira de grandes affaires au sujet des investitures de la part de Henri Ier, roi d'Angleterre, et de l'emp. Henri IV. II s'éleva une autre révolte contre le pontife, qui fit des efforts inutiles pour réduire les rebelles. Il voulut abdiquer le pontificat, et n'y put réussir, et m. I-118. On a de lui un grand nombre de Lettres. Il ne faut pas le confondre avec deux antipapes du nom de Paschal; l'un du tems de Sergius Ier, l'autre qui s'opposa au pape Alexandre III.

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PASCHAL (St. Pierre), religieux de la Mercy, fut précept. de l'infant Don Sanche, puis év. de Jaën en 1295. Il fut pris par les Maures de Grenade en 1297, qui le firent mourir. Sa Vie a été impr. in-12, Paris, 1674.

PASCHAL (Charles), vicomte de Quente, avocat-gén. au parl. de Rouen, né en 1547 à Coni en Piémont, fut chargé des négociations les plus importantes. Il m. à sa terre de Quente, près Abbeville, en 1625. On a de lui: un traité intitulé Legatus, Elzévir, 1643, in-12; Legatio Rhætica; la Vie de Gui du Faur de

donne di corte innamorati, ovvero il

Pibrac, 1584, in-12, en latin, trad. en franç., 1617, in-12; un ouvrage De Co-cortigiano disperato, Venise, 1592, et ronis, Leyde, 1671 ou 1681, in-8°; Censura animi ingrati, in-8°.

PASCHAL (Françoise), née à Lyon vers 1530, a beaucoup écrit ; on distingue parmi ses ouvrages, plus. tragé dies et comédies, et des noëls français et bourguignons, Dijon, 1723, in-12.

PASCHAL DE SESSA (Jean), né en Campanie, qui flor. au 16e s., a publ. De morbo composito, qui vulgò apud nos Gallicus appellatur, liber, Neapoli, 1534, in-4°.

PASCHAL (Michel-Jean), né à Valence en Espagne, médecin au 16 s., a donné un traité De morbo gallico; une traduction, en catalan, de l'ouvrage de Jean de Vigo, Practica in chirurgid, Valence, 1537; Praxis medica, sive methodus medendi, Valentiæ, 1555, in 8°. PASCHASE-RATBERT, bénéd,, né à Soissons, comp., vers 831, un Traité du Corps et du sang du Seigneur, qui lui suscita des tracasseries. Il m. en 865. Ses onvr. sont des Commentaires sur St. Matthieu, sur les Lamentations de Jérémie; une Epitre à Frodegard, sur le même sujet ; la Vie de St. Adelard, ct d'autres ouvrages.

PASCHETTI (Barthélemi), de Vérone, méd. qui flor. dans le 16 s., a publié: De destillatione, Catharro vulgò dicta, libri tres, etc., Venetiis, 1615, in-40; Dialogo delle Bellezze di Genova etc. Il a traduit du latin de Bonfadio, en italien, 5 livres des Annales de Gênes, depuis 1528 jusqu'en 1550.

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PASCHIUS (George), né à Dantzick en 1661, prof. de morale et de théol. à Kiel, où il m. en 1707. On a de lui : Tractatus de novis inventis, quorum accuratiori cultui facem prætulit antiquitas, 4 édit., Leipsick, 1700, in-40; De fictis rebuspublicis, 1705, in-4°; De variis modis moralia tractandi, 1707, in 4°.

PASCOLI (Léon), littérat., né à Pérouse vers 1670, publia: Testamento politico, in cui si fanno diversi progetti per istabilire un regolato commercio nello stato della chiesa, Cologne, 1733, in-4° Il Tevere navigato e navigabile, etc., Rome, 1740, in-4° ; Vite de' pittori, scultori ed architetti moderni, Rome, 1736, 2 vol. in-4°.

PASCOLI (Gabriel), de Ravenne, chan. régulier de St.-Jean-de-Latran, m. au commenc. du 17 s. On a de lui: La Pazzesca pazzia degli uomini, e

Bologne, 1602; Judicium Paridis per singula capita mystice variis conclusionibus firmatum, publicoque certamini expositum, Placentiæ, 1603.

PASCOLI (Alexand.), méd., né à Pérouse, m. vers le milieu du dern. siècle, a publié : Il corpo umano, o breve storia, dove con nuovo metodo si descrivono tutti gli organi suoi, Perouse, 1700 in-4; Venise, 1712, in-40, et 1727, 3 vol. in-8°; Delli febri teorica e practica secondo il nuovo sistema, Venise 1701, in-40; Del moto, Rome, 1723, in-4°.

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PASI (François), né à Rome en 1551, jés., envoyé en mission dans les Indes en 1578. Après avoir appris les langues japonnaise et chinoise il s'embarqua pour le Japon, où il fit beaucoup de conversions et mourut à Macao en 1612. On a de lui Annuæ litteræ de Sinis, 1583; Annuæ litteræ ex Japonid, 1598, Romæ, 1601; Annuæ litteræ anni 1601, et sequentium usque ad annum 1606, Romæ, 1608, et Lugduni, 1609.

PASINI (Louis), prof. de méd, en l'univ. de Padoue, sa patrie, m. en 1557, à 80 ans, a donné: De pestilentid Pataviná anni 1555, Patavii, 1556, vinis ac quibusdam aliis Italiæ balneis in-8°; Liber, in quo de thermis Pata

tractatur.

PASINI (Antoine), de Verone, médec. du 16 s., a donné: Adnotationes et emendationes in versionem Dioscoridis à Mattiolo propositam, Bergame, 1591, et un poëme sur la fontaine de fer, intitulé Ferronia.

PASINI (Joseph), de Turin, bibliothéc. de l'univ. de Turin, où il m. vers Vocabolario italiano-latino per uso del'an 1765. Ses princip, ouvrages sont : gli studiosi di belle-lettere nelle regie scuole di Torino, etc., Turin, 1747, 2 vol. in-4°; Storia del nuovo Testamento con alcune riflessioni morali, etc., Turin, 1749, et Venise, 1751; Codices manuscripti bibliothecæ regii Taurinensis athænei per linguas digesti, et binas in partes distributi, etc., Taurini, 1749 et 1750, 2 vol. in fol.; Grammatica linguæ sanctæ institutio cum vocum anomalarum explicatione, Patavii, 1739.

PASIPHAE (mythol.), fille d'Apollon ou du Soleil, et de la nymphe Perseide, conçut de la passion pour un et en eut le minotaure (monstre moitié homme et moitié taureau.)

taureau

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