 | Legrand (cit.) - 1781 - 480 pagine
...fon *•> cochon », A ces mots Travers fait ua cri, « Je l'avais annoncé qu'on me le vole» rait , dit-il ; adieu , le voilà parti , je « ne le verrai plus ». Cependant comme les voleurs ne pouvaient pas être encore bien loin , il eipéra pouvoir les ratraper & courut après eux. Ils avaient... | |
 | Legrand (cit.) - 1781 - 484 pagine
...» cochoû .«.^Aaa.-ittipts Travers fait un cri. « Je l'avais annoncé qu'on me le vole» rait , dit-il ; adieu , le voilà parti , je » ne le verrai plus », Cependant comme les voleurs ne pouvaient pas être encore bien loin , il efpéra pouvoir les ratraper & courut après eux. Ils avaient... | |
 | Legrand (cit.) - 1829 - 452 pagine
...que j'ai là un mari qui a une pauvre « tête; il oublie depuis tantôt ce qu'il a fait de « son cochon. » A ces mots Travers fait un cri. « Je l'avois...voleurs ne pouvoient pas être encore bien loin , il espéra pouvoir les rattraper et courut après eux. Ils avoient pris, à travers champs, un petit sentier... | |
 | Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1848 - 414 pagine
..., devinant ce qui vient de se passer, fait un cri. — Je l'avais annoncé , qu'on me le volerait , dit-il; adieu, le voilà parti, je ne le verrai plus. Cependant, comme les voleurs ne pouvaient pas être encore bien loin , il espéra pouvoir les rattraper et courut après eux. Ils avaient... | |
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Après avoir fait sa ronde et bien visité ses portes. Travers rentra. " II faut avouer, dit la femme, que j'ai là un mari qui a une pauvre tête ; il oublie depuis tantôt ce qu'il a fait de son cochon. 