Histoire contemporaine de la France, Volume 3 |
Parole e frasi comuni
accusés août armées armes arrêtés assignats attaque avaient Barère Billaud-Varennes blique camp cent certificats de résidence Charette charge chef ci-devant citoyens club club des Jacobins Collot Collot d'Herbois comité de législation comité de salut comité de sûreté comité révolutionnaire commissaires commission compagnie Marat condamnés conspirateurs Convention nationale crimes d'accusation déclare délivrance demande députés directoires directoires de district dit-il ennemis Espagnols femmes Fouquier-Tinville gouvernement guerre guillotine hommes Jacobins Joseph Lebon jour jugement juillet justice l'armée l'article l'assemblée l'échafaud l'ennemi Lebon Legendre législation liberté lois Louis XVI Marat ment mesures militaire mille Montagnards mort Nantes octobre passé patrie patriotes pétitions Pichegru présent décret prévenus d'émigration prisonniers publique réaction REACTION THERMIDORIENNE représentans représentants du peuple représentation nationale Répu républicains République révolution Robert Lindet Robespierre royalistes s'étaient salut public sang séance sections sera seront seul sociétés populaires soldats sort Stofflet sûreté générale surveillance Tallien terreur thermidor tion tribunal révolutionnaire tribune troupes tyran Vadier Vendéens
Brani popolari
Pagina 427 - Toute assemblée connue sous le nom de club ou de société populaire est dissoute ; en conséquence les salles où lesdites assemblées tiennent leurs séances seront fermées sur-le-champ, et les clefs en seront déposées, ainsi que les registres et papiers, dans le secrétariat des maisons communes.
Pagina 423 - Ils pourront s'en servir sous la surveillance des autorités constituées, tant pour les assemblées ordonnées par la loi que pour l'exercice de leur culte. 2. Ces édifices seront remis à l'usage des...
Pagina 333 - La viande fraîche. La viande salée et le lard. Le beurre. L'huile douce. Le bétail. Le poisson salé. Le vin. L'eau-de-vie. Le vinaigre. Le cidre. La bière. Le bois à brûler. Le charbon de bois. Le charbon de terre. La chandelle. L'huile à brûler. Le sel. La soude. Le savon. La potasse. Le sucre. Le miel. Le papier blanc. Les cuirs. Les fers. La fonte. Le plomb. L'acier. Le cuivre. Le chanvre. Le lin. Les laines. Les étoffes. Les toiles.
Pagina 485 - La nation française déclare qu'en aucun cas elle ne souffrira le retour des Français qui, ayant abandonné leur patrie depuis le...
Pagina 355 - Ceux qui seront convaincus d'avoir, par malveillance, détruit ou dégradé des monuments de sciences et d'arts, subiront la peine de deux années de détention, conformément au décret du 13 avril 1793. 3° Le présent décret sera imprimé dans le bulletin des lois. 4° Il sera affiché dans le local des séances des corps administratifs, dans celui des séances des sociétés populaires, et dans tous les lieux qui renferment des monuments de sciences et d'arts.
Pagina 371 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de ses comités de Salut public et de Sûreté générale, décrète...
Pagina 454 - Cette expression technique a besoin de développement. A l'instant où l'on se propose de sortir un prisonnier de la souricière , et de le rendre à ses nouveaux compagnons, il est fouillé, volé ; on ne lui laisse que son mouchoir. Boucles , couteaux , ciseaux , argent , assignats , or et bijoux , tout est pris; vous vous trouvez nu et dépouillé. Ce brigandage s'appelle rapioter. Les femmes offraient à la brutalité des geôliers tout ce qui pou (i) Est-il croyable qu'un gouvernement ait ordonné...
Pagina 414 - Tout rassemblement de citoyens pour l'exercice d'un culte quelconque est soumis à la surveillance des autorités constituées. Cette surveillance se renferme dans des mesures de police et de sûreté publique.
Pagina 414 - Aucune inscription ne peut désigner le lieu qui lui est affecté. Aucune proclamation ni convocation publique ne peut être faite pour y inviter les citoyens.
Pagina 339 - Le tableau de Paris commence à devenir effrayant ; on ne rencontre dans les marchés, dans les rues, qu'une foule immense de citoyens courant, se précipitant les uns sur les autres, poussant des cris, répandant des larmes, et offrant partout l'image du désespoir.