naissance), toujours prêts à réclamer et à solliciter, ont obtenu par protection ou importunité des arrêts favorables. » Il est démontré dans ladite brochure que les dîmes, volontaires d'abord, obligatoires ensuite, ont été établies pour subvenir aux , besoins des prêtres des campagnes, et que c'est ensuite le haut clergé qui s'en est emparé, ne laissant pas même aux premiers de quoi vivre; de sorte que ceux-ci, comme on le dit ci-dessus, étaient souvent l'objet de la commisération des plus pauvres de leur paroisse. L'auteur dit, en terminant son introduction : « Pour éviter de multiplier les citations, nous avertissons que c'est la lecture de l'Histoire ecclésiastique, par M. Fleury, qui nous a fourni les principaux faits et les autorités des conciles que nous rapportons. » FIN DES PIÈCES JUSTIFICATIVES. TABLE DES MATIÈRES Pages, LE CLERGÉ, LA BOURGEOISIE, etc.... CURIOSITÉS BEAUCERONNES ET PERCHERONNES. Situation physique et géographique... Les sources du Loir. Le puits de Saint-Denis-des-Puits. Jean-Baptiste Thiers.. Lettre de M. Fontaine, curé de Saint-Pierre de Bélème.... 89 91 92 93 94 LÉGENDES Le Flamba, follet ou feu follet. La dame de Montigny-le-Gannelon.... traduction..... Pages, 97 122 123 LE JEU DE LA GOT.. 148 PROVERBES PERCHERONS. 151 160 165 SOCIÉTÉ LITTÉRAIRE.. établissement d'utilité publique. en 1829. en 1859. des évêques de Clermont.... décimateurs) avant la révolution...... B, 171 196 |