Bibliothèque Latine-Française, Volume 102C. L. F. Pancoucke, 1833 |
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Pagina 7
... patrie ; mais le mérite de bien dire n'est pas non plus à dédaigner . Dans la paix comme dans la guerre on peut se rendre illustre , et ceux qui font les belles actions , comme ceux qui les écrivent , obtiennent des louanges . Or ...
... patrie ; mais le mérite de bien dire n'est pas non plus à dédaigner . Dans la paix comme dans la guerre on peut se rendre illustre , et ceux qui font les belles actions , comme ceux qui les écrivent , obtiennent des louanges . Or ...
Pagina 13
... patrie , leurs familles sous la protection de leurs armes ; puis , le danger repoussé par le courage , ils volent au secours de leurs alliés , de leurs amis , et c'est en rendant , plutôt qu'en recevant des services , qu'ils se ménagent ...
... patrie , leurs familles sous la protection de leurs armes ; puis , le danger repoussé par le courage , ils volent au secours de leurs alliés , de leurs amis , et c'est en rendant , plutôt qu'en recevant des services , qu'ils se ménagent ...
Pagina 53
... patrie . Cepen- dant l'âme implacable de Catilina n'en poursuit pas moins ses projets , malgré ces préparatifs de défense , bien que lui - même , en vertu de la loi Plautia , eût été interrogé par L. Paulus . Enfin pour mieux dissimuler ...
... patrie . Cepen- dant l'âme implacable de Catilina n'en poursuit pas moins ses projets , malgré ces préparatifs de défense , bien que lui - même , en vertu de la loi Plautia , eût été interrogé par L. Paulus . Enfin pour mieux dissimuler ...
Pagina 55
... patrie que nous avons pris les armes , ni contre la sûreté de nos concitoyens ; nous voulous seulement garantir nos per- sonnes de l'oppression , nous malheureux , indigens , et qui , grâce aux violences et à la cruauté des usuriers ...
... patrie que nous avons pris les armes , ni contre la sûreté de nos concitoyens ; nous voulous seulement garantir nos per- sonnes de l'oppression , nous malheureux , indigens , et qui , grâce aux violences et à la cruauté des usuriers ...
Pagina 63
... patrie , étaient venus refluer sur Rome comme dans une sentine . En second lieu , beaucoup d'autres se rappelant la victoire de Sylla , et , voyant de simples soldats , devenus , les uns sénateurs , les autres si riches qu'ils passaient ...
... patrie , étaient venus refluer sur Rome comme dans une sentine . En second lieu , beaucoup d'autres se rappelant la victoire de Sylla , et , voyant de simples soldats , devenus , les uns sénateurs , les autres si riches qu'ils passaient ...
Parole e frasi comuni
alii Allobroges animus apud armée armes armis ARUSIANUS MESSUS atque bello bellum Brosses Burnouf Catilina Catilinaire Caton Catulus César Cethegus chap Cicéron Cité citoyens conjuration CONJURATION DE CATILINA conjurationis consul consulat Cornelius Cotta Crassus Donat Énéide ennemis eorum erant erat exercitum fortune fragment Gabinius guerre Guerre de Jugurtha hæc haud homines hommes Ibid Igitur illi illis imperium inter Jugurtha l'Énéide Lentulus ligne ligne 12 Lucullus magis magna Mallius Marius maxume Metellus mihi Mithridate modo multa neque nisi Nonius Marcellus omnes omnia patrie paucis paullo pericula peuple Pison Pompée Pompeius postquam postremo præterea préteur PRISCIEN proconsul quæ quam quibus quid quis quisque quod quum rebus reipublicæ rempublicam république Romæ Romains Rome sæpe Salluste sénat sénateurs Sertorius SERVIUS sibi sicuti soldats Spartacus sunt Sylla tamen tibi Tigrane tribun troupes vero victoire virtute καὶ
Brani popolari
Pagina 126 - Ah! ne nous formons point ces indignes obstacles : L'honneur parle, il suffit; ce sont là nos oracles. Les dieux sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais, seigneur, notre gloire est dans nos propres mains.
Pagina 125 - Lorsqu'un époux mortel fut reçu dans son lit : Je puis choisir, dit-on, ou beaucoup d'ans sans gloire, Ou peu de jours suivis d'une longue mémoire. Mais, puisqu'il faut enfin que j'arrive au tombeau...
Pagina 406 - D'autres temps, d'autres soins. L'Orient 'accablé Ne peut plus soutenir leur effort redoublé : II voit plus que jamais ses campagnes couvertes De Romains, que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens des nations ravisseurs altérés, Le bruit de nos trésors les a tous attirés ; Ils y courent en foule, et, jaloux l'un de l'autre, Désertent leur pays pour inonder le nôtre. Moi seul, je leur résiste : ou lassés, ou soumis, Ma funeste amitié pèse à tous mes amis ; Chacun à ce fardeau veut...
Pagina 108 - Non divitiis cum divite, neque factione cum factioso, sed cum strenuo virtute, cum modesto pudore, cum innocente abstinentia certabat ; esse quam videri bonus malebat ; ita quo minus petebat gloriam, eo ilium magis sequebantur.
Pagina 396 - Comment at-il tant de mains pour vous frapper, s'il ne les prend de vous? Les pieds dont il foule vos cités, d'où les at-il, s'ils ne sont des vôtres? Comment at-il aucun pouvoir sur vous, que par vous autres mêmes?
Pagina i - Catilina, observait-il, il devait avoir un objet : ce ne pouvait être celui de gouverner dans Rome, puisqu'on lui reprochait d'avoir voulu y mettre le feu aux quatre coins. » L'Empereur pensait que c'était plutôt quelque nouvelle faction à la façon de Marius et de Sylla, qui, ayant échoué, avait accumulé sur son chef toutes les accusations banales dont on...
Pagina 84 - Omnis homines, patres conscripti, qui de rebus dubiis consultant, ab odio, amicitia, ira atque misericordia vacuos esse decet. Haud facile animus verum providet, ubi illa officiant, neque quisquam omnium lubidini simul et usui paruit.
Pagina 2 - ... memoriam nostri quam maxume longam efficere. Nam divitiarum et formae gloria fluxa atque fragilis est, virtus clara aeternaque habetur. Sed diu magnum inter mortalis certamen fuit vine corporis an virtute animi res militaris magis procederet. Nam et prius quam incipias consulto et, ubi consulueris, mature facto opus est.
Pagina 159 - On dirait, à vous voir assemblés en tumulte, Que Rome des Gaulois craigne encore une insulte, Et qu'un autre Annibal va marcher sur leurs pas. Où sont des conjurés les chefs et les soldats? Les fureurs de...
Pagina 224 - Bibulus se renferma dès lors dans sa maison, déclarant jours fériés tous ceux de son consulat. Mais lui seul les observa. César ne tint compte de son absence. Il apaisa les chevaliers qui lui en voulaient depuis Catilina, en leur remettant un tiers sur le prix exagéré auquel ils avaient acheté la levée des impôts.