| Jules Michelet - 1845 - 770 pagine
...le soir, tout semblant finir pour moi, — j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien, —je frappai de ma main, crevée par le froid, sur ma table de chêne (que j'ai toujours conservée), et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. Qu'est-ce que je... | |
| Jules Michelet - 1846 - 376 pagine
...le soir, tout semblant finir pour moi, — j'eus en moi , sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien, — je frappai de ma main, crevée par le froid, sur ma table de chêne (que j'ai toujours conservée), et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. Qu'est-ce que je... | |
| Gabriel Monod, Lafenestre - 1875 - 148 pagine
...couvrait tout), ne sachant pas si le pain viendrait le soir, tout semblant finir pour moi, j'eus en moi un pur sentiment stoïcien, je frappai de ma main, crevée par le froid, sur ma table de chêne (que j'ai toujours conservée) et je sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. » Cette énergie... | |
| 1876 - 972 pagine
...viendrait le soir, tout semblant finir pour moi; j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien; je frappai de ma main crevée par le froid sur ma table de chêne (que j'ai toujours conservée) et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. » Si je me suis... | |
| Haussonville (comte d') - 1879 - 438 pagine
...viendrait le soir, tout semblant finir pour moi, j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien ; je frappai de ma main crevée par le froid sur ma table de chêne (que j'ai toujours conservée), et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. » Si je me suis... | |
| Jules Michelet - 1884 - 460 pagine
...le soir, tout semblant finir pour moi, — j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien, — je frappai de ma main...je sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. Qui me donna ce mâle élan?... Ceux avec qui je vivais : mes auteurs favoris. J'étais chaque jour... | |
| 1884 - 708 pagine
...d'espérance religieuse, un pur sentiment de stoïcien. — Je frappai de ma main crevée parle froid sur uno table de chêne et je sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. Quelle admirable phrase ! Je tressaille en la transcrivant ; elle est construite en dépit de toutes... | |
| Académie des sciences morales et politiques (France) - 1887 - 982 pagine
...viendrait le soir, tout semblant finir pour moi, j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien ; je frappai de ma main crevée par le froid sur ma table de chêne que j'ai toujours conservée, et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir (2). » II ne savait... | |
| Jules Michelet - 1888 - 238 pagine
...pas si le pain viendrait le soir, j'eus un pur sentiment stoïcien de courage et de mâle énergie. Je frappai de ma main crevée par le froid sur ma...je sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir. » II réussit : au sortir du collège, dont il avait été l'un des plus brillants élèves, il renonça... | |
| Jules Simon - 1890 - 384 pagine
...painviendraitlesoir, tout semblant finir pour moi, j'eus en moi, sans nul mélange d'espérance religieuse, un pur sentiment stoïcien ; je frappai de ma main crevée par le froid sur ma table de chêne que j'ai toujours conservée, et sentis une joie virile de jeunesse et d'avenir '. » . Il ne savait... | |
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