| 1828 - 688 pagine
...j'y pense encore!.... Nous deux presque sons armes , contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...dogues hurlant comme des loups.... En quelle peine je mu trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure , qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Paul-Louis Courier - 1828 - 514 pagine
...j'y pense encore!.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...A En quelle peine je me trouvais, imaginez-le si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui... | |
| Paul-Louis Courier - 1830 - 478 pagine
...j'y pense encore !.... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler,...dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je rne trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. \u bout d'un quart d'heure qui fut long, j'entends sur l'escalier... | |
| Guyet de Fernex - 1843 - 576 pagine
...j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne te pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups...... | |
| Ghewond Hovnanean - 1844 - 472 pagine
...j'y pense encore! ... Nous deux, presque sans armes, contre eux dou/.e ou quinze qui en avaient tant! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue! L'appeler,...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| Edouard Salvador - 1845 - 320 pagine
...en» core!.... Nous deux presque sans armes, » contre eux douze ou quinze qui en avaient » tant! et mon camarade mort de sommeil et » de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'o» sais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la » fenêtre n'était guère haute , mais en bas... | |
| Casimir Ladreyt - 1846 - 378 pagine
...j'y pense encore !... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant. Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...l'escalier quelqu'un, et par les fentes de la porte, jo vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme... | |
| Écrivains français - 1848 - 364 pagine
...j'y pense encore ! Nous deux presque sans armes, contre eux, douze ou quinze, qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux.... | |
| Saucié - 1850 - 272 pagine
...j'y pense encore ! Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze, qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...pouvez. Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entendis sur l'escalier quelqu'un, et, par la fente de la porte, je vis le père, sa lampe dans une... | |
| André Sears - 1850 - 426 pagine
...j'y pense encore ! ... Nous deux presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! Et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler,...fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros 26 dogues hurlant comme des loups. En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au... | |
| |