Œuvres ... Histoire romaine, avec la trad, Volume 1

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Pagina xix - ... Patavinité; c'est-à-dire apparemment quelques termes ou quelques tours qui sentaient la province. Il se peut faire qu'un homme né et élevé à Padoue, eût conservé, s'il est permis de parler ainsi , un goût de terroir, et qu'il n'eût pas toute cette finesse, cette délicatesse de l'urbanité romaine , qui ne se communiquait pas à des étrangers aussi facilement que le droit de bourgeoisie. Mais c'est ce que nous ne pouvons pas apercevoir, ni sentir. Ce reproche de Patavinité n'a pas...
Pagina xvii - Paulin, dit très -heureusement à ce sujet : « C'était sans doute une chose bien extraordinaire, qu'un étranger entrant dans une ville telle que Rome , y cherchât autre chose que Rome même.
Pagina 392 - ... les assiégeants, il nous était seulement possible d'en venir aux mains avec l'ennemi dans une bonne ou mauvaise position , il ne me manquerait rien du caractère de mon père pour donner un conseil. Certes, j'avoue qu'il est beau de mourir pour la patrie; et je suis prêt soit à me dévouer pour le peuple romain et ses légions, soit a me précipiter au milieu des ennemis.
Pagina 249 - ... qu'ils avaient enlevé au peuple romain, et à payer aux troupes leur solde de l'année, on leur accorda une trêve de vingt ans. La même année, le plébéien M. Cédicius déclara aux tribuns que, dans la rue Neuve, à l'endroit où s'élève aujourd'hui une chapelle...
Pagina 24 - ... et un seul le serrer d'assez près. Il se retourne brusquement et fond sur lui avec furie. L'armée Albaine appelle les Curiaces au secours de leur frère ; mais, déjà vainqueur, Horace vole à un second combat. Alors un cri, tel qu'en arrache une joie inespérée, part du milieu de l'armée romaine ; le guerrier s'anime à ce cri, il précipite le combat, et, sans donner au troisième Curiace le temps d'approcher de lui, il achève le second. Ils restaient deux seulement, égaux par les chances...
Pagina 268 - ... toutes les fois que la patrie se représentait à ma pensée , c'était toujours avec le regret de ne plus trouver devant moi ces collines, ce Tibre, ce paysage, ces plaines, auxquels mes yeux étaient si accoutumés, et ce ciel qui avait éclairé mon berceau et les heureux jours de mon enfance. Ah! croyez-moi, puissiez-vous plutôt être retenus aujourd'hui par l'attachement qu'inspirent des objets si doux, que languir quelque jour du regret de les avoir abandonnés! Ce n'est pas sans raison...
Pagina 24 - Curiace soutenait à peine ses armes. Horace lui plonge son épée dans la gorge , le renverse et le dépouille. Les Romains accueillent le vainqueur et l'entourent en triomphe, d'autant plus joyeux qu'ils avaient été plus près de craindre. Chacun des deux peuples s'occupe ensuite d'enterrer ses morts, mais avec des sentiments bien différents. L'un conquérait l'empire, l'autre passait sous la domination étrangère. On voit encore les tombeaux de ces guerriers à la place où chacun d'eux est...
Pagina 280 - ... armées ne se tiraient point toujours du sein des mêmes peuples, quoique ce fût toujours la même nation qui fit la guerre; ou enfin qu'il existait une innombrable multitude de têtes libres dans ces contrées, où maintenant on ne recueille qu'avec peine quelques soldats, et qui sans nos esclaves seraient une solitude. Au reste (et tous les auteurs sont d'accord sur ce point) , malgré les derniers coups portés, sous la conduite et les auspices de Camille, à la puissance des Volsques, leur...
Pagina 233 - Comme on ne trouvait ni remède, ni cause, ni terme à cette mortalité, un sénatus- consulte renvoya aux livres sibyllins. Les duumvirs chargés des cérémonies sacrées firent pour la première fois un lectisterne dans la ville de Rome; et pendant huit jours, pour apaiser Apollon , Latone et Diane, Hercule, Mercure et Neptune , trois lits demeurèrent dressés dans le plus magnifique appareil. Les particuliers célébrèrent aussi ces fêtes religieuses.
Pagina 22 - Le fécial, s'adressant à Tullus, lui dit : Roi, m'ordonnes-tu » de conclure un traité avec le père patrat du peuple albain? — Et » sur la réponse affirmative, il ajouta : Je te demande l'herbe sa* crée (2).

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