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ment, parut avec éclat au barreau de Toulouse et contribua puissamment à dépouiller l'éloquence judiciaire des formes barbares qui la dégradaient encore en province. Il s'éleva surtout contre la manie des citations grecques et latines dont les plaidoyers étaient alors bizarrement remplis, et les magistrats sentirent enfin que l'on pouvait être savant jurisconsulte sans invoquer à chaque instaut l'autorité d'Homère, de Thucydide ou de Platon. L'amour des lettres commençait à se répandre parmi les avocats de Toulouse Duclos, Chadebec et Costes qui s'étaient placés au premier rang, remportaient des succès académiques, et s'honoraient du titre d'hommes de lettres. Taverne marcha sur leurs traces. En 1730, son ode intitulée l'Amour de la patrie, obtint le prix. L'année suivante, la fleur destinée au genre élégiaque fut décernée à une ode du même auteur, sur la Connaissance de soimême : il présenta en même temps une ode sur les Avantages du commerce; mais conformément aux règlements de l'Académie, cette pièce ne put concourir, parce qu'elle traitait un sujet qui avait été donné par une autre société littéraire. Taverne avait aussi, en 1731, offert un discours intitulé: l'Éloge de la modération suivant le sens de ces paroles d'un ancien: Ne quid nimis; mais le P. Raynal, professeur de rhétorique au collége de l'Esquille, reçut la palme du concours. Plus heureux en 1733, Taverne obtint le prix de prose par un discours sur ces paroles : l'Eloquence ne doit avoir d'autre objet que l'amour de la vérité. En 1743, son ode, intitulée les Éclairs, fut couronnée. Cette même année Marmontel fit le premier essai de son jeune talent dans une ode qui fut distinguée. Il devint l'ami de Taverne, de Boubée, de Dutour, de Revel, de Lespinasse, et des autres membres de l'Académie des Galetas; mais il parut les oublier presque tous dans la suite, et il ne conserva de liaisons qu'avec Boubée et Taverne. Ce dernier fut reçu maître des Jeux-Floraux en 1556. Jouissant de l'estime du parlement, de celle de ses confrères et de tous les hommes instruits, cet avocat soigna lui-même l'éducation de ses enfants, et leur inspira l'amour de l'étude, Ses soins recurent leur récompense, et il fut le témoin de leurs premiers succès. La magistrature municipale lui donna en 1760 le titre de noble. Ses vertus, ses talents, l'avaient depuis longtemps placé au nombre des citoyens les plus distingués de cette ville. (Notice tirée de la Biog, toulousaine.)

TAVERNE (l'abbé), l'un des trois fils du précédent, poëte, naquit à Toulouse, en 17... Il embrassa l'état ecclésiastique, et aurait pu paraître avec éclat dans la chaire évangélique; mais son amour pour la poésie légère le détourna des travaux sérieux auxquels il aurait pu se livrer. Il devint cependant curé de l'une des paroisses du diocèse. Les succès obtenus par son père dans les concours des Jeux-Floraux, l'excitèrent à se présenter dans l'arêne. La révolution vint changer non les goûts, mais l'état de M. Taverne. Il remplit différents emplois, prêcha les vertus républicaines dans les temples dits de la Raison, et prononça, à Toulouse, dans une séance publique du Lycée, un Éloge de Marmontel. Une note placée à la suite de ce discours, nous révèle des particularités inconnues, et en retrace d'autres un peu déguisées dans les Mémoires que l'auteur de « Bélisaire » a laissés (1). Les principaux ouvrages de cet écrivain furent alors analysés avec beaucoup d'art par Taverne. Pendant les dernières années du gouvernement directorial, et sous le consulat de Bonaparte, îl s'était formé dans les principales villes de France des sociétés littéraires qui remplaçaient les académies. Elles proposaient des prix, et M. Taverne en remporta plusieurs mais par une singularité dont lui seul aurait pu dévoiler le motif, il se cacha quelquefois sous le nom de madame VÉTÉRAN; et souvent les secrétaires des sociétés littéraires

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firent l'éloge le plus complet de cette dame aimable, qui, suivant l'un d'entre eux « venait augmenter le nombre des Muses, sans quitter le chœur des Gráces. Taverne fut correspondant du Lycée ou Athénée de Toulouse. En l'an X, la société des belleslettres de Montauban lui décerna un prix pour une pièce intitulée : l'Influence des mœurs sur les talents, épitre d'un père à son fils. Cet ouvrage est écrit avec chaleur, Dans une Lettre d'une grand'tante à sa petite nièce, sur les modes grecques, Ta

verne,

encore caché sous le nom de madame Vétéran, prit le parti de ces modes élégantes alors en usage, qui dessinaient les formes les plus heureuses en les couvrant de voiles légers, et qui contrastaient si bien avec les ridicules ajustements employés sous les règnes de Louis XIV et de Louis XV. Un talent remarquable brille dans cette

(1) Les auteurs de la Biographie toulousaine ont reproduit cette note dans l'article qu'ils ont consacré à Taverne.

épître l'auteur y prouve que les mœurs n'étaient pas plus sévères, que la décence n'était pas plus respectée dans le temps où de larges paniers semblaient destinés à défendre l'approche d'une dame, qu'à l'époque où une simple draperie, habilement jetée, retraçait les plus aimables contours. Dans une Ode sur le couronnement de l'empereur Napoléon, Taverne exprima son admiration pour le vainqueur de Marengo. Le goût, la facilité, caractérisent souvent les poésies de cet auteur, dont les dernières productions sont peut-être préférables à celles qu'il publia dans sa jeunesse.-L'abbé TAVERNE, Son frère, a aussi mérité des palmes académiques, et a composé plusieurs opuscules intéressants. Il était membre résident du Lycée ou Athénée de Toulouse.

TAVERNIER (Jean-Baptiste), escuyer, baron d'AUBONNE, célèbre voyageur, originaire de Tours; né à Paris, en 1605, mort à Moscou, en 1689.

Voyages (ses) en Turquie, en Perse et aux Indes (rédigés par Samuel CHAPUZEAU et LA CHAPELLE). Nouv. édition, revue, corr. et augm. Paris, P. Ribou, 1713;Rouen, Machuel père, 1718, 6 vol. in-12.

La première édition est de Paris, Clousier 1682, 3 vol. in-4. Chapuzeau a traduit les deux premiers volumes et La Chapelle le troisième.

Les mêmes. Édition entièrement refondue et corrigée, accompagnée d'éclaircissements historiques et critiques, augmentée

du récit des révolutions et évènements mémorables dont la Perse et les Indes ont été le théâtre jusqu'à ce jour. Par J.-B.-J. BRETON. Paris, veuve Lepetit, 1810, 7 vol. in-18, y compris un d'atlas, composé de 23 gravures et d'une carte d'Asie gravées par Tardieu, 18 fr.; sur pap. vėlin satiné, atlas avant la lettre, 36 fr.; sur pap. nom de Jésus vélin, atlas avant la lettre, 72 fr., et sur pap. d'Angoulême, nom de Jésus, premières épreuves, 36 fr. Cette édition fait partie d'une «< Bibliothèque portative des voyages ».

TAVERNIER (l'abbé), d'Avignon, anc. grand-vicaire.

* Intérieur (l') de. J.-C. Bruxelles, in-12.

* Vie (la) de Dieu seul, proposée aux personnes qui tendent à la perfection. Avignon, 1810, 2 vol. in-12.

Ces deux ouvrages ont été imprimés à Bruxelles sans nom d'auteur: M. Aubanel ayant acquis le restant des éditions, a fait faire de nouveaux frontispices portant le nom de l'auteur.

L'abbé Tavernier a donné une nouvelle édition, revue, des Avis salutaires d'un serviteur de Dieu, etc.

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Manuel de thérapeutique chirurgicale, on Précis de médecine opératoire, contenant le traitement des maladies chirurgicales, la description des procédés opératoires, des bandages et des appareils, et l'anatomie de quelques-unes des régious sur lesquelles se pratiquent les principales opérations. Ouvrage servant de complément « Manuel de clinique chirurgicale ». Paris, Gabon, 1828, 2 vol. in-18, 7 fr. l'huile de Croton Tiglium. Puris, Gabon, Mémoire sur la propriété purgative de 1825, in-8, 1 fr. 50 c.

au

Supplément au nouveau Dictionnaire de médecine, chirurgie, pharmacie, physique, chimie, histoire naturelle, etc., de MM. Béclard, Chomel, H. Cloquet et Orfila, contenant, outre tous les termes nouvellement adoptés en médecine et dans les autres sciences naturelles, un grand nombre d'autres qui ont été omis dans ce Diction naire, ou qui ont paru comporter plus de développement, avec l'étymologie de chacun d'eux et l'histoire concise des diverses matières qui s'y rapportent. Paris, Lelarge, 1832, in-8, 1 fr. 75 c.

Somnam

TAVERNIER (Louis de). bule (la), opéra en trois actes. Paris, les march. de nouv., 1836, in-8.

TAVIAND (Philippe), né à Lons-leSaunier, en 1797, mort à Paris, en 1825.

Ma femme se marie, vaudeville en un acte. Paris, Quoy; 1824, in-8, 1 fr. 50 c. Avec M. Duvert. Taviand a caché sa coopération sous l'anagramme de VIANADT.

Taviand a fourni des articles au Répertoire de la littérature ancienne et moderne (Paris, 1824 et ani. suiv., 30 vol. in-8).

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TCHELEBI-BEN-SALEH (Aly). Contes (les) et Fables indiennes de Bidpaï et de Lockman, traduits d'Ali TchelebiBen-Saleh, auteur ture; euvre posthume de GALLAND (revue et publiée par GUEULETTE). Paris, Cavelier, 1724, 2 vol. in-12.

TÉALLIER (P.-J.-S. ), docteur en médecine, à Paris, membre de plusieurs sociétés médicales.

- Cancer (du) de la matrice, de ses causes, de son diagnostique et de son traitement. Paris, J.-B. Baillière, 1836, in-8, 5 fr.

Ouvrage qui a remporté le prix proposé par la Société de médecine de Lyon.

Mémoire sur l'emploi du tartre stibié à haute dose dans la pneumonie et de quel ques autres maladies. Paris, de l'impr. de Crapelet, 1830, in-8 de 50 pag.

Tartre (du) stibié et de son emploi dans les maladies. Ouvrage couronné en 1832 par la Société de médecine de Tou louse. Paris, Maze; Béchet jeune, 1832, in-8, 6 fr.

TEDENAT (Pierre), docteur ès-lettres et ès-sciences, membre de la Société philomatique, professeur de mathématiques à l'école centrale du département de l'Aveyron à Rhodez, correspondant de l'Académie des sciences (pour la géométrie ); né le 6 avril 1756, à Saint-Geniez (Aveyron),

où il est mort en décembre 1832.

Leçons de géométrie. In-8.

Leçons élémentaires d'arithmétique et d'algèbre. Rhodez, l'Auteur; et Paris, Duprat, an vII (1799), in-8, avec plan ehes, 4 fr.

Leçons élémentaires de mathématiques, deuxième partie, contenant un Supplément aux éléments d'Algèbre, l'application de l'algèbre à la géométrie, et les principes du calcul différentiel et du calcul intégral. Rhodez, l'Auteur; et Paris, Duprat, 1801, 2 vol. in-8, avec 6 planches, 8 fr.

- Logique élémentaire, contenant les premières règles de l'art de raisonner, pour servir d'introduction à l'étude de la philosophie. Nimes, Gaude fils, 1818, in-12. -*Précis des Leçons de géométrie appliquée à l'arpentage. Rhodez, Carière, an Ix (1801), in-8.

On a encore du même plusieurs Mémoires sur les mathématiques, lus à l'Académie des sciences, el plusieurs autres Mémoires et Observations insérés

dans les journaux scientifiques.

TEECKELENBURG (H. van), imprimeur hollandais. -Vocabulaire français-hollandais des mots les plus usités dans les deux langues; suivi d'un Recueil de phrases singulieres, à l'usage de ceux qui commencent à apprendre la langue française. La Haye, frères van Cleef, 1811, in-8.

TEGNER (Ésaïas ), évêque du diocèse de Wexio, en Suède, poëte distingué, la gloire de son pays.

et

Frithiof's saga, or the Legend of Frithiof. Trauslated from the swedish. Paris, printed by Boudon, 1835, in-8.

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TEILLET, D. M., à Donzenac. -Impôt (de l') sur les vins, et de la nécessité d'établir des halles ou entrepôts de vins dans le département de la Corrèze. Paris, de l'impr. de la veuve Thuau, 1836, in-8 de 24 pag.

TEILLEUX, oculiste au Mans.

Paris, de l'impr. de Setier, 1826, in-8 de Observation sur la pupille artificielle. 16 pag.

TEISSERENG (Étienne), prêtre; né à Lodève, le 12 août 1689; mort le 5 janvier 1768.

Géographie parisienne. Paris, 1954,

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in-12.

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- Voyage pittoresque en Espagne, en Por

guedoc, le Roussillon, le Rouergue, le Quercy et jusqu'à ce jour 95 livraisons de cette province, le Vivarais), 1833 et ann. suivantes. Il a été publie qui complète formera 2 vol.

La Picardie. De cette province il n'a encore été publié que 21 livraisons: complète elle formera un volume.

Le texte des deux dernières provinces est orné d'un entourage d'une grande richesse, et qui varie à chaque page.

On peut se procurer chaque province séparément. A mesure qu'une province est terminée, la livraison est portée de 12 fr. 50 c,, à 18 fr. pour les personnes qui n'ont pas souscrit.

M. Jal, dans un morceau inséré au premier volume du livre des Cent-et-un, intitulé: les Soirées

tugal et sur la côte d'Afrique, de Tanger des artistes, attribue à M. Nodier la rédaction da à Tétouan. Paris, Gide fils, 1826 et ann. suiv., in-4 , avec planches gravées par MM. Barber, Byrne, Cooke, Finden, Goodal, Greatbatch, Hollis, Lekeux, Lewis, J. Pye, Redaway, Skelton, Smith, Wallis, etc., artistes anglais.

Ce voyage qui doit être composé de deux séries, formant ensemble 2 vol. avec iro planches. La première doit avoir 22 livraisons, sur lesquelles 20 ont paru. La seconde série doit avoir 20 livraisons. Chaque planche est accompagnée de sa description, mais la relation du voyage ne paraîtra qu'après la dernière livraison de gravures.

Le dernier voyage de M. le baron Taylor en Es. pagne et en Portugal, consacré à une mission toute artistique, non moins glorieuse pour la France que pour son auteur, en lui fournissant l'occasion d'explorer en tout sens les parties romantiques et monumentales de cette contrée jusqu'ici peu connue, même des Européens, a de beaucoup augmenté la collection deses richesses. Nous croyons, dit l'éditeur, faire un vif plaisir à nos souscripteurs en leur annon. cant que nous agrandirons le cadre de notre publication, afin de leur communiquer les découvertes imprévues dont M. le baron Taylor vient si heureusement enrichir son ouvrage, qui deviendra un musée complet de tout ce que la Péninsule renferme de beau, de pittoresque et de merveilleux.

Chaque livraison a coûté, par souscription: sur papier jésus, format in-8, 12 fr.; sur grand raisin, 20 fr.; grand raisin, format in-4, les plan. ches sur pap. de Chine, 30 fr.; pap. Jésus, grand in-4, avec les planches avant la lettre, 40 fr.

Voyages pittoresques et romantiques dans l'ancienne France. Paris, de l'impr.

Gide

de Didot aîné et de Jules Didot. fils; Engelmann, 1820 et ann. suivantes, gr. in-folio, sur pap. vélin, avec planches lithographiées, culs de lampes et vignettes, tirées sur papier de Chine.

Avec MM. Ch. Nodier et Alph. de Cailleux. Cet ouvrage est l'une des premières et des plus importantes productions françaises de la lithographie. Il doit être porté à dix-huit volumes.

Les provinces publiées jusqu'à ce jour sont: La Haute-Normandie, 1820-25, 39 livraisons forinant ensemble 2 vol., ornés de 290 planches ou vignettes.

La Franche Conté, 1825–29, 28 livraisons for mant ensemble un vol., orné de 180 planches ou vignettes.

L'Auvergne, 1829-33, 55 livraisons formant ensemble 2 vol., ornés de 270 planches ou viguettes. Le Languedoc (comprenant le Haut et le Bas-Lan

texte immense des Voyages de l'ancienne France. M. Nodier, dans une note mise à la fin du tome 11 da même ouvrage, en invoquant sa conscience littéraire, qui est une partie de sa conscience morale, écrit à Ladvocat que « c'est à tort que M. Jal « lui a attribué les Voyages de l'ancienne France, << auxquels il n'a participé que par un faible travail. « Vous savez, lui dit-il, que je suis beaucoup trop « occupé pour une livrer à des investigations de pa «tience dont la seule idee m'effraye, et qui absor << beraient plusieurs vies comme celle qui me reste ». « Cette redaction est depuis très-longtemps, et je n'ai jamais négligé de le dire, l'ouvrage de « M. Taylor, notre ami commun, qui a trouve, dans « sa laborieuse et infatigable activité, le moyen d'y « suffire presque seul. »

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Avant la publication des trois importants ouvra. ges que nous venons de citer, M. le baron Taylor avait déjà prouvé que la littérature et les arts étaient pour lui plus qu'une distraction. Jeune il fit représenter une comédie en un acte et en vers, intitulée Amour et étourderie, au théâtre Molière: cette pièce eut du succès plus tard il se chargea des articles beaux-arts pour divers recueils périodiques.

La pièce de théâtre que nous avons citée n'est pas à ce qu'il parait par ce que nous lisons dans le Sta tisque des gens de lettres de M. Guyot de Fère, la seule qu'on lui doive: il aurait composé plusieurs comédies et drames sans se faire connaître : il a aussi traduit, en société avec M. Ch. Nodier, Bertram, ou le Chateau de Saint-Aldobrand, tragédie en cinq actes, par Ch,-Rob. MATHURIN (1821, in 8). TAYLOR (Isaac ). Dernier avis d'an professeur aux élèves qui sortent da coltinuation des études, les lectures, l'obserlège pour entrer dans le monde: sur la convation, la pensée, le choix d'un état, les devoirs sociaux, etc. Trad. de l'angl. Paris, Boulland, 1825, in-12.

monde souterrain, ou les Mines, les wé- Merveilles (les) et les richesses du taux, les pierres précieuses, la houille, le sel, etc.; trad. de l'anglais de TAYLOR, et suivi de quelques notions de géologie et de géognosie ou counaissance de l'état actuel du globe, par M. PELOUZE père. Paris, Audot, 1835, in-16 avec 8 pl., 1 fr. 50 e. Vrais (les) ornements, ou le Fruit du bon exemple; tead. de l'angl. par P. Dea. GON. Paris, C.-C. Letellier, 1819, in-12, a fr. 50 e.

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TAYLOR (madame).—Élisabeth et Émi

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Mémoire sur l'emploi du tartre stibié à haute dose dans la pneumonie et de quel ques autres maladies. Paris, de l'impr. de Crapelet, 1830, in-8 de 50 pag,

Tartre (du) stibié et de son emploi dans les maladies. Ouvrage couronné en 1832 par la Société de médecine de Tou louse. Paris, Maze; Béchet jeune, 1832, in-8, 6 fr.

TEDENAT (Pierre), docteur ès-lettres et ès-sciences, membre de la Société philomatique, professeur de mathématiques à l'école centrale du département de l'Aveyron à Rhodez, correspondant de l'Académie des sciences (pour la géométrie ); né le 6 avril 1756, à Saint-Geniez (Aveyron), où il est mort en décembre 1832.

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On a encore du même plusieurs Mémoires sur les mathématiques, lus à l'Académie des sciences, et plusieurs autres Mémoires et Observations insérés

dans les journaux scientifiques.

TEECKELENBURG (H. van ), imprimeur hollandais.

-Vocabulaire français-hollandais des mots les plus usités dans les deux langues ; suivį d'un Recueil de phrases singulières, à l'usage de ceux qui commencent à apprendre la langue française. La Haye, frères van Cleef, 1811, in-8.

TEGNER (Ésaïas ), évêque du diocèse de Wexio, en Suède, poëte distingué, et la gloire de son pays.

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Frithiof's saga, or the Legend of Frithiof. Trauslated from the swedish. Paris, printed by Boudon, 1835, in-8.

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TEISSERENG (Étienne), prêtre; né à Lodève, le 12 août 1689; mort le 5 janvier 1768.

Géographie parisienne. Paris, 1954,

in-12.

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