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vriers, dessiné et gravé par Thierry fils. Paris, Audot, 1823, in-16 avec 32 pl., 4 fr. Sec. édit., entièrement refondue, corr. et augm. de plusieurs figures, et notamment d'un Dictionnaire complet d'architecture civile, par Urbain VITRY. Paris, Audot, 1827, in-16, avec pl., 5 fr.

THIERRY (Jacques-Nicolas-Augustin), historien, élu membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, le 7 mai 1830, en remplacement du comte Boissy d'Anglas; né à Blois (Loir-et-Cher), le 10 mai 1795.

Dix ans d'études historiques. Paris, Just Tessier, 1834, in-8, 7 fr. 50 c.

C'est un recueil d'articles publiés déjà dans divers journaux, et notamment dans la Revue des Deux-Mondes.

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Histoire de la conquête de l'Angleterre par les Normands, de ses causes et de ses suites jusqu'à nos jours, en Angleterre, en Écosse, en Irlande et sur le continent. Paris, F. Didot, 1825, 3 vol. in-8, 21 fr. — IVe édition (entièrement revue et augm.). Paris, Just Rouvier, 1835-36, 4 vol. in-8, 30 fr.

La seconde édition, de r826, est déjà en 4 vol.. avec 4 cartes; la troisième, entièrement revue et augi., est de Paris, Mesnier, 1830, 4 vol.

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On annonce, en 1838, une cinquième édition qui formera 4 vol. in-8 et un Atlas in-4, et qui sera pr.bliée en 60 livraisons hebdomadaires à 50 c.

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revue et augmentée.

Rapport sur les travaux de la collection des monuments inédits de l'histoire du tiers-état, adressé à M. Guizot, ministre de l'instruction publique, le 10 mars 1837. Paris, Tessier, 1837, in-8 de 32 p.

M. Thierry a fourni des articles à la Revue ency clopédique (1819 et ann. suiv.), au Journal général de législation et de jurisprudence (1820 et ann. suiv.).

Il est aussi l'auteur de l'Introduction du Résumé de l'histoire d'Écosse, d'Arm. Carel (1825, in-18). THIERRY (mad.), épouse du précédent. Scènes de moeurs et de caractères au XIXe siècle et au xvi. Paris, Just Tessier, 1835, in-8, 7 fr. 50 c.

La Revue des Deux-Mondes renferme deux fragiments d'un ouvrage de inadame Thierry, intitulé: Philippe de Morvelle.

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Torsion (de la) des artères. Paris, Baillière, 1829, in-8 de 22 pag., et une planche, 1 fr. 25 c.

THIERRY (Ferdinand), fils du général de division de ce nom; né à Sedan ( Ardennes), le 6 août 1799, commença ses études au prytanée militaire de la Flèche, en 1806, et les termina à l'école militaire de Saint-Cyr, où il était encore en 1815, lors de la suppression de cette école. A la Restauration, il entra dans le premier régiment de la garde en qualité de sousofficier. Nommé, en 1818, sous-lieutenant dans la légion de Lot-et-Garonne, il passa successivement au 50° régiment de ligne et au 53; il quitta le service en 1826 pour se livrer à la culture des lettres.

— Histoire (l') de France, mise à la portée du peuple; suivie de Georges, petite anecdote.Paris, Audin, 1833, in-12, 2 fr. 25 c, >> Ce livre est le résumé exact des grands événements dont se composent nos annales; écrit pour le peuple, il est digne de lui être offert. L'auteur l'a terminé par cette pensée que la monarchie est le tombeau des libertés publiques et de la félicité des peuples. M. Thierry s'est arrêté à la mort de Louis XVI; mais si, comme on nous l'assura, il s'occupe en ce moment de rédiger un suite à cette histoire nous l'engageons à bâter sa publication. Nous sommes dans un temps où l'instruction populaire a besoin d'écrivains de conscience et de talent »,

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- Lettres (nouv.) persannes, trad. par un Turc de Smyrne, et publ. par Thierry. Paris, les march. de nouv., 1832, in-18, » Il y a de la verve dans la peinture que l'auteur fait des mœurs de nos bourgeois grands seigneurs, qui, ayant remplacé l'agiot du perron par celui de la Bourse, la débauche des petites-maisons par celle des bals de théâtres, le jargon des salons par le langage des tabagies, n'ont d'énergie que pour toutes les bassesses qui les recommandent aux libéralités provenant des fonds secrets. M. Thierry a le trait nerveux et l'observation ingénieuse «.

(Biogr. des hommes du jour).

Notices sur la Corse et la Grèce, suivies d'un Coup-d'œil rapide sur l'expédition d'Afrique, et détail exact des marchandises que contenaient les magasins de la Casbah, résidence du dey d'Alger. Paris, les march. de nouv., 1832, in-18.

M. Thierry a, en outre, fourni des articles au

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« Paris pittoresque », publié par M. B. Saint-Edme THIERRY (Edouard ).- Enfants (les) des anges. Paris, A. Belin; Delaunay, 1833, in-16, avec une grav.

Sous les rideaux. Contes du soir. Paris, Belin; Lachapelle, 1834, in-8, avec une gravure, 7 fr. 50 c.

Avec M. H. Trianon.

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Manuel (nouv) du chasseur, ou Traite complet de la chasse à tire et à courre, etc. Paris, rue du Battoir, n° 3, 1838, in-18, 1 fr. 50 c.

Recueil d'es

THIERRY, dessinateur. caliers en pierre, charpente, menuiserie et en fonte; dessiné par Thierry et gravé par Guignet. Paris, veuve Jean, 1838, in-4 de 8 pag. et 21 planches, 6 fr.

THIERRY DE MENONVILLE (), colon, ancien avocat au Parlement, et alors botaniste de S. M.

Traité de la culture du nopal, et de l'éducation de la cochenille dans les colonies françaises de l'Amérique; précédé d'un Voyage à Guaxaca, etc., etc. Au cap Français, veuve Herbault; Paris, Delalain, et Bordeaux, veuve Bergeret 1787, 2 vol. in-8, avec 4 planches color., 6 fr.

THIERRY DE VILLE-D'AVRAY, alors commissaire général de la maison du roi,

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Apologie de M. l'abbé de la Trappe 1694, in-12. (Armand Le Boutilier de Rancé). Grenoble,

Le plus rare des ouvrages de l'auteur, dit l'abbé Goujet, parce qu'il fut supprimé; on y trouve beaucoup d'anecdotes.

l'obligation qu'ont les bénéficiers de faire
· Avocat (l') des pauvres, qui fait voir
un bon usage des biens de l'Église, et
d'en assister les pauvres. Paris, Dupuis,
1676,
in-12.

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* Considérations sur la déclaration du roi pour l'établissement des séminaires dans les diocèses où il n'y en a point, donnée

Versailles le 15 décembre 1698. In-12. * Consultation faite par un avocat du diocèse de Saintes à son curé, sur la dimi. nution du nombre des fêtes. Paris, 1670, in-12; ou La Rochelle, Blanchet, 1670, in-4.

· Critique de l'Histoire des flagellants, et justification de l'usage des disciplines volontaires. Paris, J. de Nully, 1703, in-12.

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dicem ad Dissertationem de auctoritate ne-
Defensio adversus Jo. Launoii Appen-
in-8.
gantis argumenti. Parisiis, Leonard, 1664,

souvent la plus négligée de toutes les dé-
De la plus solide, la plus nécessaire, et
votions (qui sont les commandements de
Dieu et de l'Église ). Paris, J. de Nully,
1702, 2 vol. in-12.

- Dissertation sur l'inscription du grand portail de l'église des cordeliers de Reims : Deo homini et beato Francisco, utrique crucifixo. 1670, 1673, in-12.

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THIERS (Louis-Adolphe), anc. ministre secrétaire d'État, né à Marseille, le 15 avril 1797: après avoir été élevé au lycée de Marseille, il commença ses études en droit, en 1815, à Aix, où il exerça pendant quelque temps la profession d'avocat près la cour roy. de cette ville; mais, ayant abandonné la judicature, il vint à Paris, et s'adonna au journalisme, La révolution de 1830 le mit en évidence sur la scène politique, et il devint successivement conseiller d'État, député de la ville d'Aix, eufin ministre secrétaire d'État, d'abord au département de l'intérieur, ensuite à celui du commerce et des travaux publics (1), fonctions dans laquelle il déploya de l'habilité, enfin président du conseil des ministres, et membre de l'Académie française. Depuis sa retraite du ministère, M. Thiers est député des Bouches-du-Rhône.

Discours prononcés par M. Thiers et M. Guizot dans la séance du 20 septembre 1831, sur les interpellations adressées au gouvernement par M. Mauguin, relativement aux affaires étrangères. Paris, de l'impr. de Pihan Delaforest Morinval, 1831, in-8 de 32 pag.

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( séance du 17 mars 1834). Paris, de l'impr. d'Éverat, 1834, in-8 de 16 pag.

Discours prononcé à la chambre des députés par M. Thiers, ministre de l'intérieur, dans la discussion sur les troubles de Lyon et de Paris ( séance du 12 mai). Clermont-Ferrand, de l'impr. de Vaissière, 1834, in-8 de 16 pag.

Discours prononcé dans la séance publique tenue par l'Académie française pour la réception de M. Thiers, le 13 décembre 1834. Paris, de l'impr. de F. Didot, 1835, in-4 de 40 pag., 2 fr.

Ce Discours a été imprimé aussi dans le tom.XV du Livre des Cent-et-un. »

Discours prononcé par M. Thiers, député des Bouches-du-Rhône, dans la séance du 6 mai 1837. Pariș, de l'impr. de F. Didot, 1837, in-8 de 24 pag.

M. Thiers a prononcé à la tribune, soit comme député, soit comnme ministre, un plus grand nombre de Discours que ceux que nous citons; mais tous n'ont pas été imprimés à part: les autres sont consignés dans le Moniteur et autres journaux.

·Histoire de la révolution française (depuis 1789 jusqu'au 18 brumaire). Paris, Lecointe et Durey, 1823-27, 10 vol. in-8, 65 fr.

Les deux premiers volumes de cette Histoire avaiet été composés en commun avec M. Bodin; mais M. Thiers ayant plus tard retouché ces deux volumes, dans les éditions postérieures le nom de M. Bodin a disparu de dessus le titre.

Nous tenons d'une personne bien informée que cette Histoire a été composée primitivement sur une moins grande échelle: elle ne forma d'abord que 4 vol. in-18, qui devaient faire partie de la collection des résumés historiques publiés par les li. braires Lecointe et Durey; mais ces derniers ayant reconnu qu'on pouvait tirer un meilleur parti de ce livre, mirent les quatre volumes in-18 au pilon, et l'Histoire de la révolution reçut de longues amplifications.

Autres éditions :

Sec. édit. Paris, Lecointe, 1828-29, 10 vol. in-8, 70 fr.

11 édit. Paris, Lecointe et Pougin, 1832, 10 vol. in-8, 55 fr.

Ive édition, ornée de 100 gravures en tailledouce. Paris, les mêmes, 1833-34, 10 vol. in-8. Ve-VII* édit. Paris, Furne, 1835-36, 1837, 1838, 10 vol. in-8, ornés de 50 gravures, 50 fr. VIII édition. Paris, rue de la Harpe, no 58, 1838, 4 vol. gr. in-8.

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- Salon de 1822, ou Collection des articles insérés au Constitutionnel, sur l'exposition de cette année. Paris, Maradan, 1822, in-8, orné de 5 fig. lithogr.

«Reçu avocat en 1819, ainsi que nous l'avons dit plus haut, M. Thiers obtint quelque succès au bar. reau, et se fit remarquer par un éloquent mémoire qu'il publia comme défenseur de la partie civile dans une accusation d'enlèvement de mineure. Mais les lettres réclamaient impérieusement M. Thiers: dejà, à vingt-deux ans, un système de philosophie était tout entier dans sa tête. La Société académ, d'Aix avait proposé pour sujet de prix l'Éloge de Vauvenargues. M. Thiers concourut; mais la grave assemblée, qui ne sympathisait pas avec les principes du jeune auteur, ne voulut point lui décerner le prix, et ajourna le jugement du concours à l'année suivante. M. Thiers ne se rebuta il soumit pas, de nouveau à ses juges l'éloge malencontreux, et, par un tour de force qui donne une idée de la souplesse de son talent, il y joignit un autre éloge entièrement neuf, qu'il se garda bien d'avouer, et que l'Académie s'empressa de couronner, en accordant une mention honorable à celui qu'elle savait être de M. Thiers. Cette mystification ne mit pas les rieurs du côté de l'Académie, et accrut la réputation du jeune littérateur. Un théâtre plus vaste lui devenait nécessaire; il se rendit à Paris, où son talent devait bientôt le mener à la gloire sans détour. Attaché à la rédaction du Constitutionnel, il y insera divers articles littéraires extrêmement remarquables, et montra, dans le compte qu'il rendit de l'exposition de 1822, toute la variété de ses études. La collection de ces derniers articles, imprimés en un volume, sous le titre de Salon de 1822, restera comune modèle de ce genre de cri tique. Les Tablettes historiques, recueil périodique qui parut en 1823, durent au talent de M. Thiers un succès de vogue qui effraya l'administration Villèle, au point qu'elle ne crut pas payer trop cher le silence d'un tel adversaire, en achetant le journal 100,000 écus. Les articles que l'on doit à la plume de M. Thiers portent le titre de Bulletin politique, et dans un cadre qui a quelque rapport avec celui des Lettres sur Paris, de M. Etienne, offrent tout ce que l'ironie a de plus caustique, uni à une urbanité toute française. Aussi, un homme de beaucoup d'esprit, M. de Lameth, parlant un jour de ces pages si pleines de sel et de mesure, les plaçait, sans hésiter, au-dessus de tout ce que la presse politique avait mis au jour depuis long-temps, et assurait qu'on y reconnaissait le cachet d'un homme de l'ancienne cour. Qu'on juge de son étonnement, quand on lui apprit que c'était l'œuvre d'un jeune homme de vingt-cinq ans, et de son embarras, quand on lui nomma M. Thiers, historien un peu

sévère pour les trente voix de l'assemblée constituante. Dans cette même année (1822), M. Thiers fit un voyage aux Pyrénées, et il en donna au public une relation animée et pittoresque. Mais son plus grand titre de gloire, celui qui le range incontestablement au nombre de nos premiers écrivains, c'est son Histoire de la révolution française, véri. table monument national, qui a appris aux contemporains à comprendre une époque si diversement appréciée par eux, et qui fait merveilleusement connaître à ceux qui n'y ont point assisté ce drame terrible, dont les fils étaient si embrouillés, et les acteurs si légèrement jugés. Pour se tirer avec succès d'une pareille entreprise, il fallait peut être, comme M. Thiers, être assez jeune pour n'avoir aucun engagement avec les hommes et les ouvres de la révolution, et pourtant venir à temps pour voir encore debout quelques-uns des héros de cette grande époque; mais il fallait surtout unir à une bonne foi inébranlable, à un ardent amour de la vérité, cette sagacité, cette hanteur de vues qui le distinguent, et qui sont aussi du génie. Ne nous étonnons donc pas si le jeune écrivain montre une sympathie marquée pour les supériorités intellec. tuelles, s'il adore le génie dans Danton comme, dans Mirabeau. Son culte n'est pas exclusif, et la vertu du malheureux Louis XVI n'a trouvé nulle part de plus nobles éloges et une plus sincère admiration. L'ouvrage de M. Thiers se termine au 18 brumaire, et l'on regrette qu'il ne l'ait pas continué personne plus que lui n'était en état de retracer la vie du maître que la révolution avait donné à la France ». Peu avant la révolution de 1830, M. Thiers fonda, en société avec MM. Arm. Carrel et Mignet, le National, et devint l'un des rudes adversaires des dernières années de la Restauration. Chacun de ces trois écrivains devait être à son tour rédacteur en chef; M. Thiers commença. Lorsque peu de mois après la création de ce journal, furent lancées ces imprudentes ordonnances qui décrétaient le changement de la constitution, la résistance fut aussitôt organisée dans les bureaux du << National», et de là partit cette protestation des journalistes, qui, rédigée par M. Thiers, devint le signal d'un soulèvement général.

THIERSCH (D.-Frédéric), professeur au lycée de Munich, et chef du séminaire philologique de la même ville.

État (de l') actuel de la Grèce, et des moyens d'arriver à sa restauration. Leipzig, F.-A. Brockhaus, 1833, 2 vol. in-8, 16 fr. - Examen du système perfectionné de conjugaison grecque, ou Indication de quelques rapports du grec avec le sanscrit, par J.-L. BURNOUF; suivi des analyses et extraits du Dévimahatmya, fragment du Mar-Kandéya Pourana, trad. du sanscrit, par E. BURNOUF fils. Paris, Dondey-Dupré, 1824, in-8, 1 fr. 50 c.

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THIERY (Luc-Vincent), anc, avocat, membre de plusieurs anciennes académies, du Lycée des arts et de la Société libre des sciences et arts, à Paris, séant au Louvre; né à Paris, en 1734.

Almanach du voyageur à Paris, contenant une description de tous les monuments, chefs-d'oeuvre des arts, établissements utiles, et autres objets de curiosité. Années 1783, 1784, 1785. Paris, Hardouin, 1783-85, 3 vol. in-12.

Guide (le) des amateurs et des étrangers voyageurs à Paris, ou Description raisonnée de cette ville. 1786, 2 vol. in-12.

Guide des amateurs, des étrangers et voyageurs aux environs de Paris. 1788, 2 vol. in-12.

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Voyageur (le) à Paris. Paris, Gatey, 1790, in-8.

L.-V. Thiéry a été l'éditeur des Comptes rendus de l'administration des finances pendant les onze dernières années du règne de Henri IV, sous le règne de Louis XII, avec des recherches sur l'origine des impôts, sur les revenus et dépenses des rois de France, depuis Philippe-le-Bel jusqu'à Louis XIV; ouvrage posthume de M. MALLET, premier cominis de M. Desmaretz; et différents Mémoires sur le numéraire et sa valeur, sous les trois règnes ci-dessus désignés par l'éditeur). Paris, Buisson, 1789, in-4.

THIERY, ou THIERRY ( ) écuyer,

médecin.

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Discours sur cette question: Est-il des moyens de rendre les Juifs plus heureux et plus utiles en France. 1788, in-8.

On a du même des Mémoires dans le journal de Nanci.

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