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SERVIER (Félicité ). Bienfaisance (de la), mémoire par mademoiselle Félicité SERVIER, de La Ferté-Loupière (Yonne); suivi de la Bienfaisauce, mémoire de Louis VERROLLOT, cultivateur, et de l'analyse et extrait des deux Mémoires qui ont mé rité une mention honorable. Auxerre, de l'impr. de Gallot-Fournier, 1832, in-4 de 48 pag.

SERVIÈRE. Causes (des) de ma ruine, ou Historique de mes rapports avec M. E. Gaussart, mon associé, négociant à Oges, canton d'Avize, arrondissement d'Epernay. Paris, de l'impr. de Bellemain, 1829, in-4 de 60 pag.

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intitulé:

Mémoires pour servir à l'histoire de M. de Voltaire; dans lesquels on trouvera divers écrits de lui, peu

connus, sur ses différends avec J.-J. Rousseau et d'autres gens de lettres; un grand nombre d'anec dotes et une Notice critique de ses pièces de théà. tre. Amsterdam, 1785, 2 parties in-12.

Barbier qui, sous le n° 11,746 de ses anonymes, nous fait connaître Chaudon comme réviseur de cet ouvrage, n'en nomme pas l'auteur.

SERVIÈRES (Joseph), auteur dramatique, d'abord attaché à Lucien Bonaparte, en Italie, ensuite employé au trésor public, enfin conseiller-référendaire à la Cour des comptes, depuis le 8 septembre 1818; né à Figeac, le 20 juillet 1781, mort à Paris, le 2 février 1826.

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- Charbonniers (les) de la forêt Noire, comédie en 3 actes, mêlée de vaudevilles. in-8, 75 c. Paris, madame Cavanagh, an XII (1804),

Avec MM. Sewrin et Lafortelle.

Dansomane (le) de la rue Quincampoix, ou le Bal interrompu, folie-vaudeville en un acte, en prose. Paris, mad. Masson, 1804, in-8, 1 fr.

Avec (M. Moreau).

Dienx (les) à Tivoli, ou l'Ascension de l'Olympe, folie non fastuense, arlequinade, impromptu, en un acte et en vaudevilles. Paris, Chollet, an VIII (1800), in-8, I fr. 50 c.

Avec MM. Étienne, Morel et Francis (d'Allarde). -Drelindindin, ou le Carillonneur de la Sa maritaine, parade en un acte, mêlée de vaudevilles. Paris, Barba, an x1 ( 1802), ou an xri (1804), in-8,

Avec C. Henrion.

Fanchon la vielleuse de retour dans ses montagnes, comédie en 3 actes, mêlée de vaudevilles. Paris, Roux, an x1 (1803), in-8.

Avec J. Aude.

- Fontenelle, comédie-anecdote en un acte

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in-8.

Avec MM. Désaugiers et C. Henrion.

- Martingale (la), ou le Secret de gagner au jeu, arlequinade-vaudeville, en un acte et en prose. Paris, Roux, an 1x (1801), in-8.

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Servières est encore l'un des neuf auteurs de Mon

sieur Girafe, ou la Mort de l'ours blane, vaudeville en un acte, impr. sous le nom de M. Bernard, de la rue aux Ours (1807, in-8).

On attribue aussi fà Servières : l'Amant comédien, et les Trois n'en font qu'un nous ignorons, dit M. Mahul, dans son Annuaire nécrologique, ann. 1827, si ce sont là des seconds titres des pièces déjà indiquées, ou plutôt de pièces représentées et non imprimées. On lui attribue encore un écrit intitulé: Revue des théâtres. Plusieurs chansons, tirées de ses vaudevilles, se trouvent dispersées dans les chan sonniers les plus répandus, tels que le Chansonnier français, celui des Demoiselles.

SERVIEZ (Jacques ROERGAS DE), historien, chevalier des ordres de S. Lazare et du Mont-Carmel; né en 1679, à SaintGervais, diocèse de Castries. Ses premières études furent dirigées par le célèbre Percin de Montgaillard, son parent, évêque de Avec MM. Francis (Allarde) et Belurgey. Saint-Pons, et c'est à la Faculté de MontMonsieur Botte, ou le Négociant anpellier qu'il fit ses cours de droit; après glais, comédie en 3 actes et les avoir terminés, il visita l'Italie, et deen prose, imitée du roman de Pigault-Lebrun. Paris, dans le sacré college la cause d'une relimeura quelque temps à Rome, où il plaida Barba, 1803, in-8, 1 fr.

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mad.

Père (le) malgré lui, vaudeville en un acte et en prose. Paris, Roux, an ix (1801), in-8.

Avec R. Philidor (Rochelle ).

- Pièce (la) qui n'en est pas une, dialogue analogue aux prologue et épilogue. Paris, Roux, an ix (1801), in-8, 1 fr.

Avec MM. George Duval et Bonel. — Rembrandt, ou la Vente après décès, vaudeville anecdotique en un acte. Paris, au mag. de pièces de théâtre (Chollet), an ix (1801), in-8, 1 fr. 20 c.

Avec MM. Étienne, Morel et Moras.

gieuse qui réclamait la rupture de ses vœux: le plaidoyer du jeune docteur fut couronné par le succès. De retour en France, Jacques de Serviez se livra tout entier à la culture des lettres. Il est mort à Paris, le 18 janvier 1727.

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Caprice (le), ou les Effets de la fortune. Genève, 1724, in-12.

Hommes (les) illustres du Languedoc. Tom. Ier. Béziers, 1723, in-12.

Ce volume est le seul qui ait parn.

- Impératrices (les) romaines, on Histoire des douze Césars, de celles des empereurs rode la vie et des intrigues secrètes des femmes mains et des princesses de leur sang. Paris, Delaunay, 1718; Paris, S. Ravenel, 1728; Paris, Legras, 1744; et Paris, Prault, 1758, 3 vol. in-12.

La première édition porte pour titre : Les Femmes des douze Césars.

Le régent honorait Jacq. de Serviez de sa bienveillance; il accepta la dédicace de son livre « qui, << suivant Lenglet-Dufresnoy, est curieux, bien écrit,

« et dont les faits sont puisés aux sources les plus respectables. >>

L'édition de 1728 paraît être la troisième : elle fut faite d'après les matériaux que l'auteur, mort l'année précédente, avait laissés.

Indépendamment des quatre éditions de ce livre que nous citons, il en a été fait une autre à Ams. terdam qui porte pour titre : Vies et intrigues secrètes des impératrices et des femmes des douze Césars, 1722, 3 vol. in-12, et 2 vol. in-8; et plus tard une autre qui est présentée comme la quatrième édition.

Jacq. de Serviez paraît avoir composé une Histoire du brave Crillon qu'une note manuscrite nous présente comme ayant été imprimée à Béziers, dans le format in-12; mais la Biographie universelle dit qu'elle est restée inédite; il en est vraisemblablement ainsi d'une Vie de Battori, roi de Pologne, que la note dont nous venons de parler, dit avoir été également imprimée à Beziers, in-12.

Pauliny attribue, par erreur, à Jacq. de Serviez « l'Histoire secrète des femmes galantes de l'antiquité.» Ce livre qui a pour auteur F.-N. Dubois, avocat à Rouen, donna lieu à uue épigramme de l'abbé Yart, que nous avons rapportée à l'article de Dubois.

On peut consulter, pour plus de détails, la Notice sur Serviez, dans les Siècles littéraires de Desessarts, tom. VI, 113-116, et la Lettre uax rédacteurs de la Décade, no du 20 ventôse an Ix, et encore le Ma. gasin encyclopédique, vi année, tom. V, 390-93.

SERVIEZ (Emmanuel-Gervais ROERGAS DE), petit-fils du précédent, né à SaintGervais, le 27 février 1755, entra au service en 1772 dans le régiment de RoyalRoussillon, comme sous-lieutenant, et non point comme soldat, ainsi que le dit par erreur la Biographie du général Beauvais. Lieutenant-colonel au même corps lors

militaire; projet de constitution pour le rétablir. 1789.

--

Lettre contre le système allemand qu'on veut introduire dans les troupes françaises. 1788.

Contre un système du comte de Saint-Germain, alors ministre de la guerre.

—Mémoire pour l'armée,présenté aux États-
Généraux. 1789.

—Mémoire sur l'agriculture, et spécialement
sur le défrichement projeté de la lande
dite Poutlong, dans le département des
Basses-Pyrénées, pour servir de réponse aux
articles du conseil général de ce département
qui le combattent. Pau, 1803, in-8.

Les habitants de la ville de Pau, en reconnaissance d'une administration aussi éclairée que paternelle qui avait assuré de grands avantages au département et procuré au chef-lieu en particulier des embellissements remarquables, ont donné à une rue et à un pont de leur cité le nom du général Serviez. - Mémoire sur les hôpitaux. 1793, in-8. Observations sur la nouvelle formation.

--

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Observations sur le projet de prendre les adjudants parmi les officiers. 1799.

Observations sur les causes des mouvements arrivés dans plusieurs régiments et moyens de les prévenir. 1790.

*

Ouvrage que, sous le n°14,576 de ses anonymes, Barbier attribue au général Serviez; mais il est fort douteux que ce général en soit l'auteur.

-* Prémices (les) d'Annette. Paris, 1791, 1792, in-12; 1796, in-18.

Précis historique du blocus de Landau, avec les détails de tous les événements dont que la révolution éclata, Serviez ne quitta moin oculaire. Gertruydemberg, 1802, in-8. cette commune a été le théâtre, par un tépoint le service; il fut élevé par la suite au grade de colonel, et plus tard à celui de général de brigade. Il fit avec honneur les campagnes d'Italie et fut gouverneur de Crémone. Des infirmités, conséquences inévitables de la carrière des armes, l'obligèrent, après le traité de Campo-Formio, à accepter des fouctions civiles, celles de préfet des Basses-Pyrénées, qu'il remplit jusqu'en 1802; il fut appelé alors à faire partie du Corps législatif, où il prononça dans la session de l'an XI (1803),un discours remarquable et propre à faire sentir les bienfaits de l'institution de l'ordre de la Légion d'hondont la création rencontrait une vive

neur,

opposition de la part des exaltés du parti démocratique. Le général Serviez est mort à Paris, le 18 octobre 1804. Il a laissé plusieurs écrits qui font honneur à sa plume, à ses talents administratifs et à son caraċtère. En voici la nomenclature :

Adresse aux soldats français, pour les exhorter à la discipline militaire. 1790. Causes de la décadence du bon esprit

La troisième édition de ce roman porte le nom de

son auteur.

- Statistique du département des BassesPyrénées. Pau, 1802, in-8.

SERVIEZ (Alfred-Emmanuel ROERGAS DE), petit-fils du précédent, littérateur; né à Paris, en 1807.

*Aide de camp (l'), ou l'Auteur inconnu. Souvenirs des deux mondes. Paris, Dufey et Vézard, 1832, in-8, 7 fr. 50 c.

Publié sons le pseudonyme de Maurice de VIARZ. Ce livre renferine sous forme de Mémoires, la relation des divers faits du règne de Napoléon, mais plus particulièrement pendant la guerre d'Espagne, en 808; et l'Histoire de la guerre de l'indépendance colombienne, à partir de l'insurrection de Caracas, en 1810, jusqu'à l'affranchissement du Pérou, en 1823.

Peu d'ouvrages offrent, sur les mœurs et la sta

tistique de la Colombie, des détails aussi curieux et aussi variés.

Démon (le) du Midi, chronique espagnole. Paris, Lachapelle, 1836, a vol. in-8, 15 fr.

Sombre tableau des troubles de Flandre, et de la fin tragique de don Carlos, infant d'Espagne.

*Neuf jours d'hymen, ou la Cour en 1610. Par l'auteur de «l'Aide-de-camp.» Paris, Lachapelle, 1834, 2 vol. in-8, 15 fr.

Roman dont les faits historiques se rapportent aux derniers jours du règne d'Henri IV.

SERVILLE (J.-G. Audinet), l'un des auteurs de la Faune française (1821). Voy. ce titre aux Ouvrages anonymes.

SERVIN (Antoine-Nicolas ), avocat au parlement de Rouen; né à Dieppe, le 14 août 1746, mort à Rouen, le 30 mai 1811. -*Histoire de la ville de Rouen, suivie d'un Essai sur la Normandie littéraire, par M. S***. Rouen, Leboucher, 1775, 2 vol. in-12.

Servin avait un esprit plus propre aux matières de jurisprudence qu'au genre historique. Son Histoire de Normandie est une production estimable et qu'on lit avec intérêt mais ce n'est pas la meilleure de l'auteur.

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.* Législation (de la) criminelle, par SERVIN; Mémoire fini en 1778 avec des Considérations générales sur les lois et sur les tribunaux de judicature, par IssELin. Bále, 1782, in-8.

L'impression de cet ouvrage ne fut point permise en France. Ayant été défendue en 1778, elle le fut de nouveau en novembre 1783. Cet ouvrage abonde en idées neuves sur la législation criminelle. Le jurisconsulte y combat l'usage trop fréquent de la peine capitale; il y plaide la cause de l'humanité et marche partout précédé du flambeau d'une sage philosophie. Les articles où il traite de l'inceste, des délits contre nature, de désertion, etc., suffisent seuls pour instruire des motifs qui firent interdire l'impression de cet ouvrage aussi bien que son introduction en France, après qu'il eut été imprimé chez l'étranger.

Le livre de Servin peut se lire avec intérêt, même après ceux de Beccaria et de Filangieri.

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Calendrier (nouv.) perpétuel. SaintQuentin, et Paris, Bance, 1814, in-plano, 50 cent.

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· Dissertation sur le lieu où s'est opérée la transfiguration de notre Seigneur, lue à la Société d'émulation de Cambrai, qui en a ordonné l'impression dans ses Mémoires, le 8 août 1829. Cambrai, de l'impr. d'Hurez, 1830, in-8 de 16 pag.

L'abbé Servois prétend que c'est sur le Liban et non sur le Thabor.

-Notice sur la vie et les ouvrages du docteur Samuel Johnson. Cambrai, Hurez, 1823, in-8 de 126 pag.

- Observations sur le soleil d'or offert par Fénélon à l'église métropolitaine de Cambrai; lues à la Société d'émulation de cette ville, le 5 décembre 1816 (et autres pièces). Cambrai, de l'impr. de Hurez, 1817, in-8 de 48 pag.

Extr. des Mém, de la Société de Cambrai.

Un anonyme (l'abbé Gosselin ) a refuté cet écrit, sous le titre suivant :

Dissertation sur l'ostensoir d'or offert par Fénélon à son église métropolitaine, pour servir de supplément aux différentes histoires de Fénelon. Paris, Ferra jeune; Adr. Leclère, 1827, in-8 de 40 pag., avec une pl., 1 fr. 25.

L'auteur de cette réfutation établit, contre l'opinion de M. de Beausset et celle de M. Servois, que d'Alembert a eu raison de dire que, dans l'ostensoir donné par Fénelon, parmi les livres foulés aux pieds on lisait sur l'un d'eux : « Maximes des Saints,"

M. Henrion, dans son Annuaire biographique, dit que l'abbé Servois coopéra à la rédaction des Annales de la Religion, ou Mémoires pour servir à l'Histoire du XVIIIe siècle, par une société d'amis de la religion et de la paix, recueil publié par les prêtres constitutionnels, et qui parut de 1795 à 1803. Selon le biographe que nous venons de citer, l'abbé Servois anrait été mêine chargé de la rédaction de ce recueil après l'abbé Saint-Marc, et avant Pelat.

L'abbé Servois a fourni aux Mémoires de la Société d'émulation de Cambrai plusieurs morceaux, dont nous donnons ici l'indication : Des Spartiates anciens et modernes (extrait en grande partie du Voyage en Turquie, par GALT). (1821). Observations de M. ANTÈS sur la peste en Égypte, trad. de l'angl. (1822). Rapport sur les deux concours d'éloquence (1823).. De l'empire de Maroc, et des princes qui l'ont gouverné jusqu'aujourd'hui ; extrait d'un Voyage fait dans cette contrée par le docteur J. Burra, médecin des troupes de S. M. B.; trad. de l'angl. (1825).

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Cet ecclésiastique a laissé une traduction du Code de Manou, qu'il se disposait à publier au moment où la mort est venue le frapper.

Grégoire, ancien évêque de Blois, cite l'abbé Servois dans son compte rendu au concile national de 1797, comme ayant préparé une traduction de l'Apologie de la Bible, par Watson, évêque de Landaff, contre les objections de Payne; mais il est douteux que cette traduction ait vu le jour.

SESLER (le docteur Léon). Voy. V. Do

NATI.

SESMAISONS (le comte Claude-LouisGabriel-Donatien de ), né le 23 décembre 1781, d'une famille noble et ancienne de Bretagne (1). Le comte de Sesmaisons fut fait à la Restauration, colonel chef d'état-major de la première division de la garde royale, officier de la Légion d'honneur, commandeur de l'ordre S.-Ferdinand, 2 classe, et gentilhomme de la chambre da roi. Par ordonnance de Louis XVIII, il fut substitué, en 1823, à la pairie du chancelier Dambray, dont il avait épousé la fille en 1805.

* Crise (la) de l'Espagne, trad. de l'angl. (1823). Voy. MURRAY.

-Discours prononcé à la chambre des pairs dans la séance du 24 décembre 1831. Paris, de l'impr. de Plassan, 1832, in-8 de 32 p. * Mémoire sur la nécessité de rendre

l'existence à un commerce de sel, nommé commerce de la troque. Paris, de l'imp. de Porthmann, 1814, in-4 de 24 pag.

Ce Mémoire n'a pas été destiné au commerce. - Réflexions contre la compétence de la chambre des pairs, dans l'affaire d'avril 1834: 1° Point de droit politique; 2o Justice et convenance. Impossibilité. Conclusion. Supplément. Paris, de l'imp. de Béthune, 1835, in-8 de 56 pag.

Cet écrit ne fut distribué qu'à messieurs les pairs.

- Réflexions sur la nécessité de protéger l'existence des salines de mer. Paris, de l'imp. de Le Normant fils, 1825, in-8 de 40 pag. Note supplémentaire, etc. Paris, de l'imp. de Tastu, 1825, in-8 de 16 p.

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Réflexions sur l'esprit du projet de loi des élections, soumises à la chambre des pairs de France. Paris, de l'imp. de Le Normant, 1817, in-8 de 96 pag. Imprimé à 50 exempl. seulement pour MM. les pairs.

(1) Le père du comte de Sesmaisons, mort en 1804, en émigration, avait été promu, le 10 décembre 1797, au grade de maréchal des camps et armées du roi, à prendre rang du 1er mars 1793. Mort avant la Restauration, les Bourbons rejetèrent sur le fils les faveurs que le père s'était acquises dans l'armée des princes et dans celle de Condé.

Тэме ІХ.

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- Réflexions sur le recrutement de l'armée. Paris, de l'imp. de Le Normant, 1818, in-8 de 44 pag.

Serment (du) au souverain dans le royaume constitutionnel,et particulièrement dans cette occasion à Mgr. le duc d'Or léans, comme roi des Français. Paris, de l'imp. de Tastu, 1830, in 8 de 18 pag.

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Une révolution doit avoir un terme. Paris, Le Normant, 1816, in-8 de 100 p. Réimpr. dans la même année.

«Rapporteur du conseil de guerre assemblé au mois de mai 1816, pour juger le contre-amiral Linois et l'adjudant commandant Boyer, il laissa à la discrétion du conseil l'application des lois penales contre les crimes dont les accusés étaient prévenus. »

SESMAISONS (le comte Louis-Humbert de), cousin du précédent, inconnu avant la Restauration, en 1814, suivit le roi à Gand en 1815, rentra en France, et fut élu député de la Loire Inférieure au mois de septembre de la même année, mais ne fut point réélu à la chambre de 1816. M. de Courcelles, dans son " Histoire généal. et hérald. des pairs de France », nous apprend que le comte Humbert de Sesmaisons fut, peu de temps après; promu an grade de lieutenant-colonel de cavalerie, et fait chevalier de S-.Louis; il a été aussi renvoyé à la chambre des députés par le département de la Loire-Inférieure, vers 1820, et encore plus tard; il est mort en 1837 (2).

*Champ (le) des martyrs. Par M. le comte H. de S. (En prose.) Paris, Goujon, 1826, in-12, 3 fr.

Ce petit ouvrage s'est vendu au profit du mo nument de Quiberon.

Opinion (son) sur le projet de loi relatif aux salines de Vic. Paris, de l'impr. d'Égron, 1825, in-8 de 16 pag.

Opinion de M. le comte H. de Sesmaisons, député du département de la Loire-Inférieure,

dans la discussion générale sur la loi de la presse. Paris, de l'impr.de Pihan-Delaforest, 1827, in-8 de 20 pag.

Opinion (son) sur la loi départementale (séance du 1 er avril 1829). Paris, de l'impr. de Tastu, 1829, in-8 de 16 pag.

- Opinion (son) dans la discussion sur la dotation de la chambre des pairs, à l'article relatif à la transmission (séance du 23 avril

(2) Le comte L.-H. de Sesmaisons était fils du vic. L.-H.-Ch.-Donatien de Sesmaisons, qui, en 1792, avait suivi les princes dans l'émigration, et qui, à la Restauration, fut fait lieutenant-général, et, en août 1823, gentilhomme de MONSIEUR, dẹ. puis Charles X.

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