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une consonne qu'avant une voyelle ; j'en ai pour preuve ces citations :

Truvad le vesche Hély al entrée, ki assis iert.

(Livre des Rois, p. 3.)

Vos le suirez à l' feste seint Michel.

(Ch. de Roland, I, v. 37.)

Mais il est probable, d'après la dernière citation, qu'on ne prononçait point au devant une consonne, ce qui, à l'ellipse de l'a près, constitua pour la construction de l'article la une règle identique à celle dont nous faisons usage dans le français moderne.

Quant à la préposition à suivie de les, elle se change en as dans l'ancienne langue :

Truvad le vesche Hély al entree, ki asis iert, qu'il as alanz e as venanz parole de salu mustrast.

(Livre des Rois, p. 3.)

As tables juent pur els esbaneier,
Et as eschecs li plus saive et li veill.

(Ch. de Roland, I, v. 111.)

Mais, direz-vous peut-être, cela montre un fait, et n'explique point comment à réuni avec les a pu devenir

аих.

L'explication, la voici au témoignage de Froment d'Ablancourt, auteur du Dialogue des lettres (curieux monument de la prononciation du temps), il paraît que e ne se prononçait point dans des, ni dans les, quand ces mots étaient suivis d'une voyelle; on disait: Elles ont d's imaginations extravagantes.

Or, peut-être n'est-ce là que le vestige d'une règle qui s'appliquait aussi bien devant une consonne que devant une voyelle; et, alors, à les se prononçant alz, ou al, cela faisait nécessairement, et pour les deux cas, le son au suivi du signe du pluriel (aux) comme nous l'avons aujourd'hui.

2o Contraction de DE avec l'article. Lorsque de était suivi de le, ces mots produisaient le son del comme le prouvent d'innombrables exemples:

Cist bers Helchana fud del lignage as ordenez Deu de part père, e de lignage réal de part mère.

(Livre des Rois, p. 1.)

N'i ad paien ki un sul mot respundet,
Fors Blancandrins del castel de Val Funde.
(Ch. de Roland, I, v. 23.)
Turpins de Reins en est levet del renc,
Et dist al rei : « Laisez ester vos Francs ».
(Idem, I, v. 264.)
Chi purreit faire que Rollans i fust mors,
Dunc perdreit Carles le destre braz del cors.
(Idem, 1, v. 595.)

Devant une voyelle, del fut prononcé dèle pour éviter l'hiatus, ce qui est précisément la règle que nous observons aujourd'hui; mais, devant une consonne, del se changea en du, après avoir passé par les formes deu, do, dou, comme le montrent ces exemples:

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Les iiij preudome jurés et serementés sont quite du gueit pour la paine et pour le travail queil ont du mestier le Roy garder. (Livre des Métiers, p. 180.)

De même que à la devint, selon la lettre qui le suivait, à l' ou à la sans contraction, de la devint de l', de la dans des circonstances analogues.

Quant à de suivi de les, la contraction se fit en des, devant les voyelles et les consonnes, à partir des origines de la langue, comme en voici la preuve : Plurent des oiz de doel e de tendrur Por lor parenz par coer e par amor.

(Ch. de Roland, ch. III, v. 9)

Paien d'Arabe des nefs se sunt eissut, Puis sunt muntet es chevals e es muls. (Idem, ch. IV, v. 415.) Mais, pour arriver à expliquer cette contraction, il faut admettre avec les prononcé l's devant une voyelle, que de s'est prononcé deu, ce qui est un fait certain, et que la jonction finale de I's a fait prononcer d's, ce qui est en effet la prononciation signalée par Froment d'Ablancourt; après cela, la forme de la contraction devant une voyelle l'aurait emporté sur la prononciation devant une consonne, et nous aurions eu, à jamais, des, comme aux, pour contraction unique au nombre pluriel de l'article.

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Cette forme contractée ne peut guère s'expliquer, je pense, qu'en admettant que la préposition en n'eut pas d'abord le son nasal.

Aucune contraction ne se faisait pour à et de suivis de la la même règle, d'exception fut aussi adoptée pour en la, qui eut pour forme en l' devant une voyelle, En suivi de les se contracta en ens, puis ensuite en es (fait analogue à en le devenu el) comme on le voit par ces exemples:

Il vient del soverain ciel ens basses parties de la terre. (Serm. de Saint Bernard, p. 5a5.)

Ben serat fait, » li quens Guenes respunt;
Puis se baiserent es

vis et es mentuns.

(Ch. de Roland, ch. I, v. 625.)

La contraction des une fois expliquée, contraction qui est faite avec de et les en ellipsant la consonne qui se trouve au milieu du mot résultant du rapprochement, et en mettant la finale s de l'article, on explique facilement és il résulte de en les, et se trouve composé par un procédé d'élimination identique à celui dont il vient d'être question.

Telle est, sauf erreur, la manière dont se sont formées dans notre langue les diverses contractions de l'article avec les prépositions à, de et en. Toutes celles qui ont été faites avec les deux premières prépositions -existent encore dans la langue actuelle; mais celles qui l'ont été avec la préposition en n'existent plus, à l'exception de ès, resté à l'état d'archaïsme, dans quelques rares expressions.

ÉTRANGER

Première Question.

On trouve dans vos écrivains tantôt UN DE et tantôt L'UN DE. Y a-t-il une différence à faire dans l'emploi de ces deux expressions?

En d'autres termes, vous me demandez si devant un de, il faut mettre ou ne pas mettre l'.

Je vais vous dire mon avis sur cette question, qui a eu le privilége d'émouvoir, il y a environ trente ans, un assez grand débat entre M. Bescherelle et M. Marle. S'il ne s'agit que de deux personnes ou de deux choses, il faut toujours employer l'un de, pour la raison bien simple que c'est le corrélatif de l'autre, qui renferme l'article. On trouve, en effet :

L'un de ces deux bandits, qui se disaient Maures, me prit en affection.

(J. J. Rousseau, cité dans la Gram. nat. p. 259.)

La cruelle perte de l'un des auteurs de mes jours m'a trop appris à craindre d'affliger l'autre.

(Idem.)

Ce berger et ce roi sont sous même planète ; L'un d'eux porte le sceptre, et l'autre la houlette. (La Fontaine, Fabl. VIII, 16.)

Mais, lorsqu'il s'agit d'un nombre supérieur à deux, les auteurs me semblent n'avoir pas fait la moindre différence d'emploi entre un de et l'un de; car voici des phrases, qui sont loin d'épuiser la liste des exemples, où ces expressions figurent alternativement :

C'est Dieu qui vous amène ici pour éclairer votre âme ; vous êtes un de ces hommes de désir et de bonne volonté dont il a besoin.

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Seconde Question.

Je vous demanderai comment s'est formé le mot ADIEU. Son étymologie est bien indiquée dans mon dictionnaire (A DIEU); mais cela n'est pas une explica tion qui me satisfasse, et je pense que vous aurez quelque chose de mieux à me dire sur ce mot-là.

Il était d'usage, chez nos pères, quand deux personnes se quittaient, que celle qui restait commandát (recommandât) l'autre à Dieu. Les exemples de ces souhaits du départ abondent dans nos vieux auteurs : Très dous pere, à Diu vous commant, Mais en la fin vous di-jou tant Que vous metés vos bras sour mi, Si mourrai es bras mon ami.

(Du Chevalier au Barizel, v. 915.)

Dieu proierai où que je soie
Qu'il te lest tenir bone voie :
A Dieu te commant, bele suer.

(De Cortos d'Arras, v. 126.) Va, biaus filz, à Dieu te commant.

(Idem, v. 91.)

Ensuite, on supprima commander, et on n'employa plus que à Dieu (en deux mots), comme le montre ce qui suit :

Hé, Nicholes li carpentiers,
Compains deboinaire et entiers,
A Diu, quar de l'aler m'aprest.

(Li Congié de Jean Bodel d'Arras, v. 193.)

Enfin, la préposition et le substantif ont été réunis en un seul mot, comme on le voit dans cet exemple : Adieu, biaus pere, je m'en vois.

(De Cortois d'Arras, v. 91.) Et c'est ainsi qu'a été formée l'expression adieu, sur l'étymologie de laquelle votre dictionnaire vous renseigne d'une manière vraie, mais incomplète.

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2° Quand il s'agit d'une expression prépositive, géné- | ville nouvelle comprenant les rues Neuve-Saint-George, ralement, on sépare aussi l'un et l'autre par cette expression, comme on le voit ci-après :

Je ne tardai pas à les rejoindre; ils marchaient l'un près de l'autre déjà familiarisés et causant.

(Em. Souvestre, Un philosophe, p. 66.)

Je m'attachai à lui, il s'attacha à moi, de sorte que nous nous trouvions toujours l'un auprès de l'autre.

(Montesquieu, Lett. pers.) Nous nous assîmes au soleil, l'un vis à vis de l'autre, lui sur son monticule, moi sur le mien.

(Lamartine, Lectures, p. 408.)

Mais on peut aussi faire la tmèse, ainsi que le montrent les exemples suivants :

Tous, excepté les enfants, dont les jolies têtes reposaient à côté l'une de l'autre sur le bras de Graziella, sommeil. laient, etc.

(Lamartine, Graziella.)

Tous deux reposaient à côté l'un de l'autre sur le même champ de carnage.

(Pelletan, le Monde marche.)

3o Dans le cas où l'autre est régime d'un adjectif ou d'un substantif qui ne s'emploie pas ordinairement pour former une expression prépositive, et qui est précédé d'une préposition, cet adjectif ou ce substantif se met toujours avant l'un, témoin ces autres exemples:

Quand des contemporains, comme le cardinal de Retz et le duc de La Rochefoucauld, ennemis l'un de l'autre, confirment le même fait dans leurs Mémoires, ce fait est indubitable. (Voltaire, Siècle de Louis XIV, ch. 25.)

D'un geste menaçant, d'un œil brûlant de rage,
Dans le sein l'un de l'autre ils cherchent un passage.

(Racine, Theb. V. 3.)

Ils me fouettaient dans mon enfance, comme à l'envi l'un de l'autre; j'en recevais tous les jours mille coups.

(Lesage, Gil Blas, I, 5.)

Maintenant, je reviens à la phrase sur laquelle vous me consultez. Cette phrase appartient évidemment au second des cas indiqués plus haut, celui où l'on peut, à volonté, mettre l'expression prépositive avant l'un ou entre l'un et l'autre. D'où je tire cette conclusion que ladite phrase est construite d'une manière tout-à-fait irréprochable.

Quatrième Question.

L'expression de DEMI-MONDE, que vous annoncez comme devant être l'objet d'un article dans un de vos prochains numéros, me suggère l'idée de vous demander si vous pourriez me dire à qui l'on doit le nom de LORETTE, mot de même espèce que le précédent.

Ce mot ne date que de l'année 1840. C'est M. Nestor Roqueplan qui a baptisé ainsi les plus ou moins jeunes personnes qui «< aiment pour vivre » dans cette immense agglomération de toutes les vertus et de tous les vices qu'on appelle Paris.

Chassées des quartiers sérieux, ces folles de leurs. corps, pour parler comme nos pères, refluaient vers les constructions fantastiques, moyen âge, renaissance, italiennes, espagnoles qui formaient alors une espèce de

La Bruyère, Bréda, Navarin, et qui prenait son nom de la principale, celle de Notre-Dame-de-Lorette.

L'ensemble de ces rues fut nommé le quartier des lorettes, et ce gracieux euphémisme remplaça bientôt une vilaine expression que son impropriété devait un jour ou l'autre faire bannir de la langue.

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Convenance des noms. << La convenance des noms est en nombre et genre comme: homme prudent, femme prudente. » Suivent un certain nombre d'anomalies; l'emploi de l'adjectif pour le substantif: le chaud pour la chaleur; à la sainct Jean, pour à la fête de...

Convenance des articles. «Larticle est prepose aulx noms communs, aulx pronoms mien, tien, sien, nostre, vostre, quel, mesme; item aulx verbes infinits pour le nom, et aulx adverbes. >>

L'article se met devant le nom propre de fleuve et de pays, comme le Rosne, la France, « combien que sans article nous disions aussi : il coulle au Rosne, tu ten vas en Italie, en France. »

« Les par e long ou bref est indifferamment devant le mot commencant par voielle, comme les hommes, les honneurs, les annales; les par e long est devant le mot commencant par consonne: comme les maris, les femmes. »

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secondement, le superlatif est exprime en mettant devant plus, ou moins, larticle convenant au nom gouverne: Achilles est le plus beau de tous les Grecs. »

De la convenance des pronoms. Ramus ne donne qu'une seule règle, ou plutôt qu'une seule remarque générale relative aux pronoms; c'est qu'ils sont explétifs : « frotte moy bien ce galand; je te le façonneray a plaisir, etc. >>

bouche je dirons, je ferons, ce qui est condampne pa aulcuns grammairiens. » Ramus espère que l'usag <<< renversera le jugement de ces censeurs. >>

Dans le chapitre suivant, Ramus fait quelques remar ques sur l'emploi de l'infinitif, du participe et sur taines formes impersonnelles.

La syntaxe du participe jetait, dès ce temps, le désas cord entre les grammairiens; Ramus prend nettemer

Sans autre explication, l'auteur traite ensuite de cha- parti pour l'usage. Son guide est le poëte, comme o cun des pronoms en particulier.

Il dit en quoi nos, vos, diffèrent de nostre, vostre. Ce doit se placer devant les consonnes : ce loup, et peut être employé seul comme substantif: tout ce que tu vois est a moy; cest, devant les voyelles, et n'est jamais employé sans substantif: cest homme que tu vois est ton frere.

« Ceux est quelquefois prins quasi pour article: comme, ceux de Paris, pour les Parisiens. »

« Luy, avec le nom numeral faict une certaine frase francoyse comme, il est arrive luy troisiesme, quatriesme, cinquiesme, pour estant accompagne de trois, quatre, elc. »

« Icelluy et icelle sont quelquefois usurpez par les practiciens pour le, la, les relatifs : comme, jay achete ung cheval pour icelluy tenvoyer; mais nous disons mieulx pour te lenvoyer. »

Les remarques sur qui, que, quel, quelle, quoy; mon, ton, son; mien, tien, sien; son, sa ses, ne constatent aucun emploi intéressant pour nous.

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De la convenance du nom avec le verbe. « La convenance du nom avec le verbe est en nombre et en personne. » Cela posé, Ramus examine successivement le pronom comme suppost des verbes ou appost.

Au lieu de je, tu, on emploie moy, toy: 1o quand ces deux sujets sont unis par les prépositions et, ou, soit l'un à l'autre, soit à un sujet de la 3e personne: toy et moy irons la, toy et Jean ferez cela; 2o quand ils servent de suppost (sujet) en réponse, comme : qui a faict cela? Moy, toy.

« Quel, avec article peult estre gouverné par le verbe actif, » c'est-à-dire que lequel pouvait alors être complément direct : « je suis celuy lequel vous desirez. »

« Le verbe infiny articule est souvent appost pour le nom: comme, le manger, le boire. »

Les pronoms régimes, me, te, se, nous, vous, luy, leurs précèdent le verbe gouvernant, comme je me recommande, tu te prises, je luy diray.

Ramus parle ensuite de « lanomalie du nombre et de la personne. »

On trouve des anomalies de cette classe: 1° « aulx noms signifians multitude: comme, chascun ont commence a seslever pour a commence; une bien grande partie ont esté navrez pour a esté navree »; 2o quand << pour modestie et reverence, nous usons du plurier de la seconde personne pour le singulier, comme en parlant a ung seul nous disons: vous estes amiable. »

A l'exemple des rois et des magistrats, qui emploient le pluriel pour le singulier, «<le vulgaire, voire les princes et grands seigneurs, ont ordinairement en la

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disait alors, c'est-à-dire Marot.

« Avec le verbe avoir, le participe passif est mis post linfiny, si le substantif precede comme, ce son les graces que Dieu nous a donnees, pour a donn Que si le substantif suit, le verbe infiny sera pra tiqué: comme, Dieu vous a donne ces graces, non pa

a donnees. Quelques grammairiens toutef estiment en ce participe donnees, pour le verbe don une lourde incongruite, mais lusaige les combat. »

Ici une pièce de vers de Clément Marot où les règles fondamentales du participe passé sont expliquées.

De la syntaxe des adverbes. L'auteur cite ies exemples suivants sans dire ce qu'il y trouve de particulier « il a tant peur; il a si faim, il y avoit ung vingt hommes de cheval, ung cent hommes de pied, ou ung vault autant comme quasi. »

Ramus classe dont et y parmi les adverbes.

Des prépositions.« Six prepositions a, au, au de, du, des embrassent toute la gouvernance des no et des verbes. >>

A et de sont souvent sous-entendus, comme dans:* Dieu plaist, pour si plaist à Dieu, la rue Sainct Deng pour la rue de Sainct Denys.

La préposition sur a un emploi tout particulier dans estre sur la maison, sur larmee, sur les finances, pour « estre surentendant de la maison, de larmee, des finances ».

Avec le verbe substantif, aprez le sens d'un verbe actif, comme dans il est aprez pour en sçavoir des nov velles, ce qui veut dire il poursuit, il diligente.

« Par est joinct avec de, pour de la part, comme de par le Roy. »

Ici, Ramus quitte brusquement l'examen des prépe sitions en général, et entre dans l'étude de leurs enplois particuliers devant les pronoms.

De la syntaxe de la conjonction. - Dans ce chapitre. Ramus donne un exemple de l'emploi de chacun de mots suivants, qu'il place parmi les conjonctions : que ou, pourtant que, aussy, doncques, si, combien que, et enfin aultrement, comme lorsqu'on dit payez may, aultrement je vous quitte.

Après avoir parlé de la manière de ponctuer les «formes de l'oraison », qu'il distingue en souspir demipose, pose et periode, Ramus termine sa grammaire, ouvrage qui sera toujours utilement consulté à cause, non des règles qu'il renferme, mais des fails curieux qu'il constate.

FIN.

LE RÉDACTEUR-GÉRANT, E. MARTIN.

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Article defini. Origine de notre - p. 41.

Article défini. Explication des contractions de l' avec A, DE,

EN. p. 186.

en français, quand il n'existe pas

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P. 93.

est-elle bien cons-

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Demi-monde. Si l'expression de-est de M. Dumas fils. p. 146.
Dessous. Signification de Tomber dans le troisième
Dizain et Dizaine. Différence d'emploi entre

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