De l'influence attribuée aux philosophes, aux francmaçons et aux illuminés, sur la révolution de la FrancePonthieu, 1822 - 234 pagine |
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De l'influence attribuée aux philosophes, aux Francs-Maçons et aux illuminés ... Jean Joseph Mounier Visualizzazione completa - 1828 |
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Brani popolari
Pagina lii - Recherches sur les causes qui ont empêché les Français de devenir libres , et sur les moyens qui leur restent pour acquérir la. liberté, Paris, 1792, 2 vol.
Pagina 93 - Je l'ai vu passer des comités nocturnes, tenus par les amis du duc d'Orléans , à ceux des républicains enthousiastes , et de ces conférences secrètes aux cabinets des ministres du roi : mais si, dès les premiers mois , les ministres eussent consenti à traiter avec lui , il aurait préféré de soutenir l'autorité royale plutôt que de s'unir à des hommes qu'il méprisait.
Pagina lii - Appel au tribunal de l'opinion publique, du rapport de M. Chabroud et du décret rendu par l'Assemblée nationale, le 2 octobre 1790.
Pagina xlvii - Je pense qu'il faut se battre. Le Dauphiné a appelé les Français à établir la liberté. Il faut qu'il les appelle aujourd'hui à défendre la royauté.
Pagina 4 - On a substitué à des causes très-compliquées , des causes simples et à la portée des esprits les plus paresseux et les plus superficiels. Chacun s'est cru capable de pro;noncer sur des questions qui exigent de longues et nombreuses recherches.
Pagina 20 - Le parlement irrité rendit , le 4 juillet i770 , un décret qui déclarait le duc d'Aiguillon prévenu de faits qui entachaient son honneur, et suspendu des fonctions de la pairie jusqu'à son jugement. Le roi, voulant humilier cette Cour, tint un lit de justice à Versailles , où le duc siégea comme pair.
Pagina 67 - ... ou soumis ; jamais la fureur des généalogies ne fut plus active ; jamais on n'acheta plus de fausses preuves de noblesse. Ce n'était plus le roi qui dispensait les honneurs ; mais tous ceux qui avaient la prétention d'être...
Pagina 44 - ... mais les écrits qui renfermaient de pareils principes n'avaient pas eu la moindre influence avant la Révolution. La multitude ne les lisait ou ne les comprenait pas; le discours de J.-J. Rousseau sur l'inégalité et la dissertation de Mably sur l'ordre naturel des sociétés n'étaient aux yeux de la plupart des lecteurs que des déclamations brillantes et des jeux d'esprit, qui ne comportaient pas un examen sérieux, qui n'excitaient pas plus d'intérêt que l'utopie de Th. Morus...
Pagina 80 - ... r/éforme d'un grand nombre d'abus. On crut que la réunion des ordres préviendrait ces inconvéniens ; que les justes réclamations des communes seraient soutenues par les nobles et les ecclésiastiques les plus éclairés ; que' les exagérations seraient combattues par les hommes modérés des trois différentes classes , et qu'ainsi la majorité serait constamment en faveur de la prudence et de la justice. Pour empêcher que les intérêts du peuple ne fussent trop subordonnés à ceux des...
Pagina xxxi - Assemblée légitime des représentans de la majeure partie de la nation , agissant en l'absence de la mineure partie, ( Cour, de Provence , 2