Œuvres ... Histoire romaine, avec la trad, Volume 21877 |
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... voyant que les ennemis fuyaient , laissa ses blessés à Numistron , sous la garde d'un faible dé - par des gens de la maison des Blosius ; aussitôt le tachement , aux ordres de L. Furius Purpuréo , tribun des soldats , et se mit à la ...
... voyant que les ennemis fuyaient , laissa ses blessés à Numistron , sous la garde d'un faible dé - par des gens de la maison des Blosius ; aussitôt le tachement , aux ordres de L. Furius Purpuréo , tribun des soldats , et se mit à la ...
Pagina 10
... voyant leur obstination , saisirent le sénat de l'affaire ; la consternation qui s'empara de tous les cœurs fut si grande , que le plus grand nombre des sénateurs s'écrièrent que « c'en était fait de l'empire ; que les autres colonies ...
... voyant leur obstination , saisirent le sénat de l'affaire ; la consternation qui s'empara de tous les cœurs fut si grande , que le plus grand nombre des sénateurs s'écrièrent que « c'en était fait de l'empire ; que les autres colonies ...
Pagina 13
... voyant repoussé sur tous les points , n'ayant plus d'asile où se réfugier , ne pouvant plus compter sur personne , n'aurait plus de motif de rester en Italie . Fabius envoya aussi un messager au commandant de la garnison que le consul ...
... voyant repoussé sur tous les points , n'ayant plus d'asile où se réfugier , ne pouvant plus compter sur personne , n'aurait plus de motif de rester en Italie . Fabius envoya aussi un messager au commandant de la garnison que le consul ...
Pagina 19
... Voyant que sa avaient aussi recours dans leurs prières aux dieux flotte lui était inutile , puisqu'aucun vaisseau car- vengeurs de la violence et de l'injustice . Ils con- thaginois ne se montrait sur les côtes d'Espagne , juraient ...
... Voyant que sa avaient aussi recours dans leurs prières aux dieux flotte lui était inutile , puisqu'aucun vaisseau car- vengeurs de la violence et de l'injustice . Ils con- thaginois ne se montrait sur les côtes d'Espagne , juraient ...
Pagina 20
... voyant les Romains formés en bataille devant leur camp , plaça la cavalerie numide , les Baléares armés à la légère et les Afri- cains . Scipion parcourut ses lignes et les rangs de ses soldats il leur montrait « cet ennemi qui ...
... voyant les Romains formés en bataille devant leur camp , plaça la cavalerie numide , les Baléares armés à la légère et les Afri- cains . Scipion parcourut ses lignes et les rangs de ses soldats il leur montrait « cet ennemi qui ...
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Parole e frasi comuni
Achéens acie aciem adversus ærarium Ætoli Africam agrum alliés Annibal Antiochus Argos armée Asdrubal atque avaient bello bellum Boïens Bruttium camp Carthage Carthaginois castra cavalerie Chalcis circa classem Claudius consul consulem Cornélius deinde Démétriade ejus elephanti enim ennemis envoya eorum equites erant erat esset etiam Étoliens Eumène exercitum flotte fuit guerre hæc haud Hispania hostem hostes hostium imperium inde inter ipse ipsi Itaque jussit l'ennemi legati légions Livius Macédoine Masinissa milites militum millia modo multa naves navibus neque nihil Numides nunc omnes omnia peditum peuple Philippe Philippus postquam præ præsidio prætor préteur primo profectus prope province quæ quam quibus quid quidem Quinctius quinquérèmes quod quoque quos quum regem Romains Romam Romanos Rome satis Scipion sénat senatus sibi simul soldats sunt Syphax tamen Thessalie tribuns troupes urbe urbem vaisseaux velut
Brani popolari
Pagina 406 - Pampliilide occupait le centre. Eudamus, voyant la flotte ennemie rangée en ordre de bataille, et prête à engager l'action , prit le large et ordonna à ceux qui le suivaient de marcher de front en conservant leur rang. Celte manœuvre produisit d'abord quelque confusion ; car il ne s'était pas assez éloigné pour laisser au reste de ses vaisseaux la liberté de se développer du côté de la terre, et, par un mouvement précipité, il se trouva lui-même avec cinq navires seulement en présence...
Pagina 342 - Voltaire de la contrainte que sa timidité lui imposoit; là il se montre sans aucune retenue; il plaisante indécemment sur tout ce que les hommes ont de plus cher et de plus sacré...
Pagina 114 - TU l'Afrique; puis il ordonna de faire force de voiles et d'aller plus bas chercher un point de débarquement. Le même vent poussait la flotte; mais il s'éleva, à peu près à la même heure que la veille, un brouillard qui déroba la vue de la terre , et fit tomber le vent. La nuit vint ensuite augmenter l'incertitude ; aussi , pour empêcher les vaisseaux de se heurter ou d'échouer , on jeta l'ancre. Au point du jour, le vent souffla de nouveau , dissipa le brouillard et laissa voir toute l'étendue...
Pagina 400 - ... les navires submergés et à déblayer le port plus facilement encore qu'on ne l'aurait comblé. Si au contraire il fallait, malgré tout , rester là, à quoi bon fermer le port? Les ennemis , à l'abri de tout danger, dans une rade sûre et au sein d'une ville opulente, recevant de l'Asie...
Pagina 420 - ... charge soudaine, tandis que la cavalerie, qui poursuivit les fuyards, acheva de répandre le désordre et la terreur parmi les chevaux et les chameaux , également effarouchés par les cris confus qui retentissaient autour d'eux. On fit donc disparaître les chars du milieu de la plaine , et lorsque cette vaine échauffourée fut terminée, les deux armées s'ébranlèrent au signal donné, pour un combat en règle.
Pagina 313 - Anliuchus se fait un titre de gloire de replacer sous son joug des villes que ledroitde la guerreavait données à son bisaïeul, mais que son aïeul et son père n'ont jamais songea revendiquer comme leur propriété, les Romains aussi croient leur constance et leur bonne foi intéressées à ne point abandonner le patronage de la liberté grecque dont ils ont consenti à se charger. De même qu'ils ont affranchi la Grèce des chaînes de Philippe , ils veulent aussi affranchir du joug d'Anliochus...
Pagina 101 - ... compléter les légions des diverses provinces, quelques sénateurs représentèrent qu'il était temps de faire cesser les abus tolérés en quelque sorte dans les temps difficiles, puisque la bonté des dieux avait enfin délivré les Romains de toute crainte.
Pagina 135 - Elle baisait 1» main du roi, et, en lui demandant sa parole qu'il ne 'la livrerait pas à un Romain, son langage ressemblait plus à des caresses qu'à des prières. Aussi l'âme du prince se laissa-t-elle aller à un autre sentiment que la compassion : avec cet emportement de la passion naturel aux Numides, le vainqueur s'éprit d'amour pour sa captive, lui donna sa main comme gage de la promesse qu'elle réclamait de lui et entra dans le palais.
Pagina 316 - C'étaient des étrangers qui avaient obtenu par grâce, pour bâtir une ville, l'espace qu'ils pourraient entourer avec le cuir d'un bœuf coupé en lanières. Tout ce qui était en dehors de l'enceinte de Byrsa , leur demeure primitive, ils l'avaient acquis par la violence et l'injustice. Ce pays même qui était l'objet de leur contestation, ils ne pouvaient prouver qu'ils l'eussent possédé sans interruption depuis qu'ils l'avaient occupé pour la première fois, ni qu'ils l'eussent possédé...
Pagina 328 - Miniou , et , malgré son absence , on entra en pourparlers. Minion avait préparé son discours : « Romains, dit-il, vous faites valoir un noble motif, l'affranchissement des cités de la Grèce, je le sais; mais votre conduite n'est pas d'accord avec vos paroles. Vous avez imposé à Antiochus des conditions différentes de celles que vous observez vous-mêmes.