Oeuvres de M. de Voltaire, Volume 1;Volume 34Cramer et Bardin, 1775 |
Altre edizioni - Visualizza tutto
Parole e frasi comuni
abfurde affez affure aftres aifé ainfi auffi avez ayent Brizel c'eft c'eſt cardinal caufe cent chofe Cinna cœur compofé confeil connaiffance crime déja DIEU difait difcours difpute efprit enfans enfuite eſt éternel eût exifte fage faibleffe faifait fainte falut fang favait favoir feconde fecret fecte femble fens fentiment ferait fervir feul fiécle fociété foient foit fommes font fous fouvent fouverain ftile fubftance fuis fuivant fujet fupérieur fuppofe fuprême furtout fyftême grace Grecs Hamlet hommes idées impoffible jamais jéfuite jufqu'à jufte juftice Juifs l'efprit l'églife l'hiftoire laiffe langue lefquels Locke loix longtems Louis XIV miniftre monde monfieur mort n'eft n'eſt nation néceffaire Ovide paffé paffion parle penfer père perfonne peuple philofophie plaifir Platon plufieurs poëfie poëte préfent prefque prince puiffance puiffe qu'un queftion raifon refpectable refte rien Romains s'eft s'il Samuel Clarke teftament tems théatre tion Titus Oates toûjours tragédie Zoroastre وو
Brani popolari
Pagina 271 - Trente moutons pour un baiser. Le lendemain, nouvelle affaire : Pour le berger le troc fut bon ; Car il obtint de la bergère Trente baisers pour un mouton. Le lendemain, Philis, plus tendre, Craignant de déplaire au berger, Fut trop heureuse de lui rendre Trente moutons pour un baiser.
Pagina 121 - Que la nature force à se venger eux-mêmes, Et dont les troncs pourris exhalent dans les vents De quoi faire la guerre au reste des vivants, Sont les titres affreux dont le droit de l'épée, Justifiant César, a condamné Pompée.
Pagina 122 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Pagina 3 - Dieu d'avoir fait naître dans votre royaume ceux qui ont servi ainsi l'univers entier. Il faut que les autres peuples achètent l''Encyclopédie, ou qu'ils la contrefassent. Prenez tout mon bien si vous voulez ; mais rendez-moi mon Encyclopédie. On dit pourtant, repartit le roi, qu'il ya bien des fautes dans cet ouvrage si nécessaire et si admirable. Sire, reprit le comte de...
Pagina 225 - ... comment, tant de bien à la terre. Remerciez bien Dieu de n'avoir rien de commun , ni avec leur conduite, ni avec leurs écrits. Vos saintes idées sur le gouvernement politique sont une suite de votre sagesse. On voit que vous connoissez les royaumes de la terre tout comme le royaume des cieux.
Pagina 103 - D'ailleurs il ne faut pas prendre au pied de la lettre tout ce qu'il dit. On lui reproche d'avoir eu beaucoup de penchant pour le jansénisme.
Pagina 3 - Nivernois, que c'est parce qu'il est fort bon ? On ne se déchaîne contre le médiocre et le plat en aucun genre. Si les femmes cherchent à donner du ridicule à une nouvelle venue, il est sûr qu'elle est plus jolie qu'elles.