Ce jour-là, l'heureux, le maître, le savant, le riche s'est senti le frère de celui qui ignore et qui souffre. Il a compris que le premier acte de la piété envers le ciel était d'éclairer et de féconder les intelligences et de venir en aide à la liberté en facilitant le travail. Déjà les haines nationales ne sont plus qu'un préjugé vieilli; il n'y a plus de castes, l'intolérance ressemble désormais à de la folie; l'esprit de paix remplace partout les héroïques fureurs de la guerre; l'oisiveté n'est plus qu'une faute et un malheur; et tous ceux qui savent aimer et penser, se liguent dans une sainte croisade contre l'ignorance. Votre religion, ô mon Dieu, est amour, espérance, raison, paix, liberté ! FIN. DEUXIÈME PARTIE. LA PROVIDENCE. Pages. TROISIEME PARTIE. L'IMMORTALITÉ. |