 | Jean Racine - 1796 - 466 pagine
...ennemi: Je le vis, je rougis , je pâlis à sa vue: Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir, et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par... | |
 | Jean Racine - 1805 - 348 pagine
...ennemi : Je le vis . je rougis . je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par... | |
 | Virgil - 1806 - 364 pagine
...Virgile : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus; je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Venus. . . . 264, VERS la. Nunc scio quid sit Amor. Duris in cotibus illum Aut Tmaros... | |
 | Gabriel-Henri Gaillard - 1806 - 422 pagine
...colère..... Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable, Je péris la dernière, et la plus misérable Je reconnus Vénus et ses feux redoutables, D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables... .. Ces dieux qui dans mon flanc Ont allumé le feu fatal à tout mp.n sang , Ces dieux qui se sont... | |
 | C. J. Cunninghame - 1808 - 292 pagine
...: '' ' Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue ; Un troubla s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brâler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitable*.... | |
 | Louis Dubroca - 1810 - 296 pagine
...ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Ve'nus et ses feux redoutables, Du sang qu'elle poursuit, tourmens inévitables. Par des... | |
 | Jean Racine - 1813 - 300 pagine
...ennemi ; Je le vis , je rougis , je pâlis a sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus , et ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourmens inévitables. Par... | |
 | 1824 - 490 pagine
...error. Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue. Peut-on mieux imiter Virgile? (Bue. VIII, 41,) Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Peut-on mieux imiter Sapho? Ces vers, quoique imités, coulent de source; chaque mot trouble les âmes... | |
 | Voltaire - 1824 - 446 pagine
...superbe unucmi ; Je le vis, je rougis, je palis, & sa vue ; Un trouble s'eleva dans moQ ame ^perdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et bruler; Je reconnus Venus et ses traits r£doutables, D'un sang qu'elle ponrsuit tourmens inevitables... | |
 | Jean-François de La Harpe - 1825 - 552 pagine
...ennemi. Je le vis; je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis...ses feux redoutables , D'un sang qu'elle poursuit tourments inévitables. Par des vœux assidus je crus les détourner: Je lui bâtis un temple et pris... | |
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Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. 
