| Pierre-Henri-Stanislas d' Escayrac de Lauture - 1853 - 762 pagine
...ils mangent de meilleur appétit pendant le jour. J'ai du reste souvent souffert de la privation de sommeil , qui est la plus cruelle de toutes : peu...à mes yeux, la voûte immense d'une salle fermée de tout côté ; les étoiles n'étaient plus que des milliers de lampes et de lustres destinés à... | |
| Société de géographie (France) - 1853 - 1010 pagine
...mes idées : c'est en vain que je parjais avec mes guides, que je chantais, que je descendais ppur marcher un, peu, que je m'aspergeais le visage d'eau fraîche ; il me semblait bieplèj i|ue l'horizon s'élevait autour de moi comme une muraille; le ciel formait, à mes yeux,... | |
| 1854 - 928 pagine
...ils mangent de meilleur appétit pendant le jour. J'ai du reste souvent souffert de la privation de sommeil, qui est la plus cruelle de toutes : peu à...de moi comme une muraille ; le ciel formait, à mes yenx, la voûte immense d'une salle fermée de tout côté ; les étoiles n'étaient plus que les milliers... | |
| 1854 - 984 pagine
...meilleur appétit pendant le jour. J'ai du reste souvent souffert de la privation de sommeil, qui est là plus cruelle de toutes : peu à peu je sentais le...semblait bientôt que l'horizon s'élevait autour d« moi comme une muraille ; le ciel formait, à mes yeux, la voûte immense d'une salle fermée de... | |
| Société de géographie (France) - 1855 - 914 pagine
...avec mes guides, que je chantais, que » je descendais pour marcher un peu, que je m'as| er» geais le visage d'eau fraîche: il me semblait bientôt...» muraille, le ciel formait à mes yeux la voûte im» mense d'une salle fermée de tous côtés, les étoiles u n'étaient plu- que des milliers de... | |
| 1859 - 708 pagine
...parlais a\cc mes guides, que je chantais, que je deseendais pour marcher un peu, que jo m'aspergeais lo visage d'eau fraîche : il me semblait bientôt que...autour de moi comme une muraille, le ciel formait autour de moi la voûte immense d'une salle fermée de tous côtés, les étoiles n'étaient plus que... | |
| duc Etienne-Denis Pasquier - 1855 - 816 pagine
...avec mes guides, que je chantais, que » je descendais pour marcher un peu, que je m'asper» geais le visage d'eau fraîche : il me semblait bientôt » que l'horizon s'élevait autour de rnoi comme une » muraille, le ciel formait à mes yeux la voûte im» mense d'une salle fermée de... | |
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