Histoire du regne de Charles-QuintChez Jean-Edme Dufour, 1775 |
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... Fran- ་ Mais l'Empereur enivré de fes fuc- fe déter- cès , excité par Bourbon qui ne cher- mine à choit que l'occafion de fe venger , & attaquer violemment entraîné par fa propre am- bition , méprifa les avis de Clément , & déclara que ...
... Fran- ་ Mais l'Empereur enivré de fes fuc- fe déter- cès , excité par Bourbon qui ne cher- mine à choit que l'occafion de fe venger , & attaquer violemment entraîné par fa propre am- bition , méprifa les avis de Clément , & déclara que ...
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... Fran- les mefures les plus propres à le faire échouer . Il ravagea le pays adjacent , afin d'ôter aux ennemis les moyens d'y fubfifters il rafa les fauxbourgs , de la ville , ajouta de nouvelles for . tifications aux anciennes , & jetta ...
... Fran- les mefures les plus propres à le faire échouer . Il ravagea le pays adjacent , afin d'ôter aux ennemis les moyens d'y fubfifters il rafa les fauxbourgs , de la ville , ajouta de nouvelles for . tifications aux anciennes , & jetta ...
Pagina 21
... Fran- çoife , une ample récompenfe de tous leurs fervices . Les foldats fentirent qu'en quittant l'armée , ils perdoient les arrérages confidérables qui leur étoient dus ; & empreffés de s'em- 1 Le 3 Fev . toit , ils demanderent la ...
... Fran- çoife , une ample récompenfe de tous leurs fervices . Les foldats fentirent qu'en quittant l'armée , ils perdoient les arrérages confidérables qui leur étoient dus ; & empreffés de s'em- 1 Le 3 Fev . toit , ils demanderent la ...
Pagina 22
... Fran- deur de leurs troupes , & marcherent çois . auffi - tôt vers le camp des François . A la premiere nouvelle de leur ap- proche , François affembla un confeil de guerre pour délibérer fur ce qu'il y avoit à faire . Ses officiers les ...
... Fran- deur de leurs troupes , & marcherent çois . auffi - tôt vers le camp des François . A la premiere nouvelle de leur ap- proche , François affembla un confeil de guerre pour délibérer fur ce qu'il y avoit à faire . Ses officiers les ...
Pagina 25
... Fran- çois avec tant de furie , qu'il la mit en défordre ; Pefcaire tombant en même - temps fur la cavalerie Fran- 1 mée Françoi- fe . • çoife avec fa cavalerie Allemande Tome IV . B DE CHARLES - QUINT . 25.
... Fran- çois avec tant de furie , qu'il la mit en défordre ; Pefcaire tombant en même - temps fur la cavalerie Fran- 1 mée Françoi- fe . • çoife avec fa cavalerie Allemande Tome IV . B DE CHARLES - QUINT . 25.
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Parole e frasi comuni
aban affemblée affez ainfi Allemagne auffi auffi-tôt avoient avoit Barberouffe bataille de Pavie Bellay Bourbon caufe Charles Clément çois concile confidérable deffein devoit Doria Duché de Milan Efpagnols efpérances efprit entrepriſe étoient étoit eût faifoit faint falloit fans feconde fecours fecret fentiments feroit fervice fervir fes Etats fes fujets fes troupes feul fidérable fiecle fiege fociété foit foldats fon armée fon caractere fous fouvent Fran François fuccès fuivi fur le champ fûreté guerre Guich hift Hongrie Impériaux Jéfuites jufqu'à l'armée l'efprit l'Eglife l'Em l'Empe l'Empereur laiffa Lannoy long-temps mée même-temps ment Milanès Monarque n'avoit n'étoit Naples néceffaires néceffité occafion paffer paffions Pape Pays-Bas pereur perfonne Philibert de Châlons plufieurs pofé poffeffion pouvoient pouvoit préfenta prefque prifonnier Prince promeffes Proteftants puiffance puiffant raifons reffentiment réfifter réfolution refte rent reur Royaume Royaume de Naples s'étoient Sandov Sforce Sleid tion treve venoit zele
Brani popolari
Pagina 22 - Ses officiers les plus expérimentés étoient d'avis qu'il fe retirât, & qu'il évitât une bataille contre un «nnemi qui ne la cherchoit que par défefpoir. Ils obfervoient que les Généraux de l'armée impériale feroient dans quelques femaines obligés de licencier des troupes qu'ils ne pouvoient payer', & qu'ils ne contenoient que par l'efpérance prochaine du...
Pagina 361 - ... les historiens les moins prévenus disent que la mort du dauphin fut occasionnée par de l'eau froide qu'il but imprudemment après s'être fort échauffé en jouant à la paume ; et cette cause, qui est des plus simples, est aussi la plus vraisemblable.
Pagina 306 - Muley-Assan, et à qui il fournit des habits et de l'argent » pour les mettre en état de retourner chacun dans leur patrie, » publièrent dans toute l'Europe les éloges de la générosité de >> leur bienfaiteur, et exaltèrent sa puissance et ses talents avec » l'exagération naturelle aux sentiments de la reconnaissance et » de l'admiration. La renommée de Charles éclipsa alors celle