Oeuvres anatomiques, physiologiques et médicales, Volume 2

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J.-B. Baillière, 1856 - 786 pagine
 

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Pagina 687 - ... de l'abcès rompu du poumon , et ce pus tomber de là dans l'aorte, d'où il passe dans les reins pour descendre à la vessie. Mais ce n'est pas ainsi que les choses se passent le plus souvent, le transport du pus s'opérant ordinairement par la trachée-artère. On a donc indiqué la cause en vertu de laquelle le pus, dansles suppurations du poumon, peut, bien que cela arrive rarement, être purgé par les urines. Une autre cause plus rare du passage à travers les intestins est révélée par...
Pagina 501 - Je conjecturai, dit-il, qu'à l'endroit où le nerf sort, après la septième vertèbre cervicale, quelque partie enflammée, par suite du coup, avait contracté une diathèse squirrheuse. Telle fut ma réflexion, car je savais de science certaine, par l'anatomie, que les cordons nerveux paraissent avoir, quand ils s'échappent du cerveau [ou de la moelle], une circonscription propre.
Pagina 174 - ... non pas une fois ou deux, mais six fois : la première dans le cou, un peu au-dessus du larynx (ganglion cervical supérieur) ; la deuxième, quand ces nerfs entrent dans le thorax (ganglion cervical inférieur), pour aller aux racines des côtes; en troisième lieu, au moment où ils sortent du thorax (ganglion semi-lunaire}. Puisqu'un corps semblable se que Galien regarde évidemment comme une dépendance de sa sixième paire.
Pagina 36 - ... sur les ischions ou sur les épaules (et alors il mourra encore, mais il ne mourra pas aussi promptement); d'autre part, la vertèbre ne sera guère chassée en avant, à moins de la chute d'un corps très-pesant, car chacun des os proéminents en arrière (apophyses épineuses) est tel , qu'il se fracturera plutôt que de se déplacer beaucoup vers la partie antérieure , en surmontant la résistance des ligaments et des articulations engrenées. De plus, la moelle épinière souffrirait , ayant...
Pagina 571 - Tous sont en proie à la crainte , à la tristesse , accusent la vie et haïssent les hommes, mais tous ne désirent pas mourir. Il en est, au contraire, chez qui l'essence même de la mélancolie est la crainte de la mort. D'autres vous paraîtront bizarres; ils redoutent la mort et en même temps la désirent.
Pagina 583 - ... la sensibilité des doigts avait augmenté. J'ordonnai que les médicaments qu'on lui posait aux doigts lui fussent appliqués sur la partie frappée , et de cette façon il guérit rapidement. — Les médecins ne savent même pas qu'il ya pour les nerfs des racines spéciales, qui se distribuent au derme du bras entier, et auxquelles il doit la sensibilité , et d'autres qui donnent naissance aux rameaux qui meuvent les muscles.
Pagina 367 - Je sais bien , disait-il , que j'ai un reste de fièvre, mais c'est très-peu de chose, et l'on ne peut craindre qu'un bain me fasse du mal. Car toute cette fièvre vient de mon voyage. » — Se tournant alors vers son esclave : — « Ne te rappelles-tu pas quel mal nous avons eu hier en venant de Mégare à Athènes.
Pagina 36 - ... car chacun des os proéminents en arrière, apophyses épineuses, est tel qu'il se fracturera, plutôt que de se déplacer beaucoup vers la partie antérieure, en surmontant la résistance des ligaments et des articulations engrenées. De plus, la moelle épinière souffrirait, ayant .subi une inflexion à brusque courbure, par l'effet d'un tel déplacement de la vertèbre ; la vertèbre sortie comprimerait la moelle, si même elle ne la rompait. La moelle, comprimée et étranglée, produirait...
Pagina 598 - Siaçpavfia ) qui est de chaque côté de la luette ( voile du palais ) ; de plus , la mâchoire inférieure était dérivée en proportion, mais la paraplégie ne s'étendait pas , comme ordinairement, à tout le corps ; celle-ci dépendant de l'angine ne dépassait pas le bras. Ces malades expectoraient des matières cuites et s'essoufflaient promptement ; ceux chez qui la vertèbre faisait saillie en avant expectoraient aussi. Les malades qui avaient en même temps la fièvre, avaient plus de...
Pagina 229 - ... dont les unes attirent et assimilent les substances propres , et dont les autres éliminent les substances contraires. C'est elle qui donne à tous les corps , en les créant, une conformation artistique, qui pourvoit au sort des êtres engendrés par certaines autres facultés , facultés d'amour et de prévoyance pour la progéniture, d'association et d'affection entre les êtres de même espèce. Dans l'opinion de leurs adversaires rien de ceci n'existe dans les natures; l'âme ne possède...

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