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Le peintre Galimard (XIII, 70). L'inscription dont il s'agit était': Galimard, tinette mystique. Če sobriquet lui avait été décerné par quelques facétieux rapins de l'école Margue, après l'exposition, dans son atelier de la rue HonoréChevalier, des cartons dont il était l'auteur, et d'après lesquels ont été exécutés les remarquables vitraux de l'église SaintLaurent, de Paris. L'Illustration avait reproduit, en les accompagnant d'une notice très élogieuse, plusieurs de ces compositions. Je me rappelle avoir vu aussi, sur le socle de la statue de la Vellėda, de Maindron, dans le jardin du Luxembourg, le nom de cette druidesse mutilé par la suppression des trois premières lettres. Restait: LEDA, et, à la suite de ces deux syllabes, le profanateur avait ajouté, au crayon noir: DE GALIMARD. L'artiste persécuté prenait d'ailleurs cette « scie » en bonne part. C'était une réclame bruyante, et ceux qui l'ont connu savent qu'il était assez friand de cette sorte de denrée. JOC'H D'INDRET.

La Léda de Galimard, dont j'ai une photographie, achetée à l'époque, présente ce détail ingénieux, mais érotique, que la main, du côté du spectateur, tient, entre deux doigts écartés et repliés, un gland de chêne. Elle est dans la position couchée et classique, avec le cygne devant elle. Somme toute c'est une assez jolie peinture de boudoir, mais déplacée dans un lieu public.

Quant à l'inscription, la première, la plus connue, celle qui, dit-on, s'étala jusque sur les Pyramides d'Egypte, c'était : « Galimard, pou mystique, » détestable scie d'atelier. Plus tard il y en eut d'autres : « Galimard se touche. » « Galimard, idiot. » Etc. DOCT. BY.

- La forme ambiguë et la position risquée du bec du cygne ont fait, en effet, jaser. Mais ne soulignons pas, par des descriptions aggravantes, les détails équivoques d'une peinture. A. C. peut se faire, à cet égard, une opinion par lui-même, car de très nombreuses photographies de la Léda de Galimard (des gravures aussi, je crois ?) ont été mises dans le commerce.

Quant aux inscriptions, voici celles que j'ai vues se succéder sur les murs : Galimard et Léda au blanc de zinc. Galimard se touche. Galimarmelade. Galimartinet. Pas mal d'années plus tard, un rapin obstinément vindicatif reprenait le fusain, pour écrire sur les murailles de la rue de l'Ouest : Galimard bœuf. ASMODÉE.

La scie, ou plutôt les scies ont consisté en ces deux inscriptions qu'on a pu lire longtemps sur les murs de tous les quartiers de Paris : « Galimard, pou mystique. » et « Galimard se touche. » DL.

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Salon

Garbet peintre (XIII, 70). de 1831 Garbet, 104, rue du faubourg Poissonnière. 853. Départ pour la pêche. Salon de 1833, Supplément : Garbet, 223, place du Palais-Royal. 3044. Vue d'un parc. Salon de 1834: Garbet, 8, rue de Navarin. 798. Une plaine; fin d'orage. 799. Des enfants construisent une maisonnette.-Salon de 1835 (Item). 863. Paysage. 864. La musique, scène familière. 865. Jeunes dames dans un jardin public (les deux derniers tableaux appart. à Mme Perrin). Salon de 1836. Garbet, 6, rue Olivier St-Georges. 791. Le déjeuner des enfants. Salon de 1837 (Item). 784. Fête d'une commune près Paris. 785. Visite à l'atelier d'un peintre. Je ne retrouve ce nom qu'en 1846, Félix-Emile Garbet (j'ignore si c'est le même), 21, г. Bayard, Champs-Elysées. 721. Le carnaval. J'ai poursuivi jusqu'en 1864 sans que le nom de Garbet reparaisse. E.-G. P.

-

Défense de priser (XIII, 70). Le pape qui défendit, sous peine de péché et même d'excommunication, de prendre du tabac dans les églises, est Urbain VIII. La Bulle visait les Espagnols, dont les prêtres prisaient jusque sur l'autel; elle fut provoquée par le doyen du chapitre de la cathédrale de Séville. Ce curieux document figure dans le grand Bullaire des Séraphins. Me permettra-t-on de renvoyer, pour plus amples détails, sur cette rage du tabac, qui envahit toutes les classes au XVIIe siècle, à mes Cours galantes (Paris, Dentu), t. III, p. 221 à 225.

GUST. DESNOIRESTERRES.

J'ai lu cette histoire dans un Ana quelconque; j'ai oublié le nom du pape, mais retenu le motif de sa défense. Les premiers priseurs portaient sur eux une petite râpe, dont ils se servaient pour réduire en poudre, au fur et à mesure, leur petit rouleau de tabac. Tout le monde opérait alors de cette manière, à l'église comme ailleurs: d'où un vacarme incompatible avec le recueillement et le respect exigibles en pareil lieu.

E. B.

- Je

Le marquis de Cavoye (XIII, 71). ne connais pas le fait rapporté par M. Eug. Pelletan au sujet de Cavoye; mais St-Simon raconte que le comte de Charnacé, n'ayant pu engager un paysan à lui vendre une chaumière qui masquait la belle avenue de son château, s'avisa de le mander chez lui pour faire sa livrée (le bonhomme était tailleur), l'y retint jusqu'à ce que le travail fût terminé, et profita de ce temps pour faire démolir et reporter ailleurs la maison qui l'offusquait. M. Pelletan n'aurait-il pas, en citant de mémoire confondu Ca

N° 283.]

L'INTERMÉDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX. [25 févr. 1880.

127 voye et Charnacé? (V. St-Simon, édition Chéruel, in-12; I, 377.) E.-G. P.

- Une historiette de ce genre est racontée, ce me semble, dans les ouvrages suivants : « La Chaumière de Clichy: « Nouvelle historique, dédiée aux person<< nes qui ont souscrit pour son rétablisse«ment» (par J.-B. Gouriet). Paris, 1820, in-12; Les Plaisirs de Clichy le même). Paris, 1820, in-12.

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LA MAISON FORTE.

(par

Triple anonyme (XIII, 72). L'auteur est l'abbé Meneval, d'après M. Olivier Barbier (Dict. des ouvrages anonymes, IV, 943, e). LA MAISON FORTE.

Existe-t-il un lexique étymologique des noms dits de baptême? (XIII, 72.) Je n'en connais pas. Mais voici venir un «<< DICTIONNAIRE DES NOMS, contenant la recherche étymologique de 22,100 noms relevés dans les Annuaires de Paris » par Lorédan Larchey, bibliothécaire à l'Arsenal (Paris, in-12, de 511 p., aux frais de l'auteur, 1880). Cet excellent volume, dont la spirituelle préface s'adresse « Aux Chercheurs >>> et, par conséquent aux Intermédiairistes, et dont la post-face est dédiée « Aux Erudits, »>< et par conséquent,....... vient fort à propos combler une lacune et aussi les voeux de tous les travailleurs qui attendaient avec impatience le précieux travail de M. L. Larchey. C. R.

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Pleurs, par qui l'on sent mieux la vie, en étouf-
[fant!...

La source en est ouverte en ton sein, jeune
Et tu ne l'auras pas de sitôt épuisée : [enfant,
Il faut aux fleurs d'amour cette amère rosée!

Miette rêve, assise, et pleure doucement.

Le volume paraît, cette semaine, chez Charpentier. Que de charmantes surprises, et de plus d'une sorte, attendent ceux qui vont l'ouvrir ! C. R.

Le Calendrier des Vieillards.- Chacun connaît le conte du Fabuliste qui porte ce titre, mais ce qu'on sait moins, c'est que ce n'était pas un pur jeu d'imagination. En effet, dans le livre si curieux et singulier de Laurent Joubert : des Erreurs populaires, on trouve, page 84, au chapitre intitulé: «S'il est vray qu'homme « vieux ne peut engendrer des fils », le passage suivant :

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Au reste le Calendrier est observé « de poinct en poinct : C'est de non conjuguer ès jours Caniculiers, aux mois « qui n'ont point de R; en temps sec et quand il gèle; aux quatre quartiers de la « lune; tout le caresme, et autres jours de jeûne; les festes de grande dévotion, «< comme des festes Naux (?) et celles de << N. - Dame et des autres Vierges, des « Apostres, des saints Martyrs; item, les « vendredis et samedis, qu'on ne mange « pas de la chair. Tellement, qu'il n'y a « guères de bons jours pour luy (ou pour << sa femme, à mieux dire) que la veille « des Roys, le Jeudy et le Mardi gras, << trois ou quatre jours après Pasques, et << la St-Martin, etc., etc............. »

Le livre de Laurent Joubert étant un livre de science, les renseignements qui y sont contenus peuvent être admis, sans soupçon aucun de conte facétieux. Et cela prouve qu'il faut remercier le collabo H. Gausseron, d'Ayr (Ecosse), de mettre en lumière un auteur aussi intéressant. Dr By.

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No 284.

Cherchez et vous trouverez.

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LEGENDO

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La Cassandra, de Licophron (Question posée dans un Intermédiaire de 1670). «Un homme de province, qui croit avoir « démêlé les obscurités de la Cassandre « de Licophron, mais qui ne se fie pas " assez à son jugement, pour hazarder d'en << donner son travail au public, sans « avoir l'avis des sçavans de Paris, prie « tous ceux qui auront quelques belles con«jectures sur cet autheur d'avoir la bonté « de les donner au Bureau, et s'ils veulent « bien ajouter leur nom, il ne manquera pas, en publiant l'ouvrage, d'y marquer « la reconnaissance qu'il leur devra de ce

« secours. >>>

Cette question fut publiée dans la Liste des Avis du Bureau d'Adresses, pour servir depuis le 1er jour de l'an 1670, que M. Ed. Fournier a ajoutée dans l'Appendice de sa réimpression du Livre commode des adresses de Paris, de Hilaire de Pradel (t. II).

M. Ed. Fournier se demande, en note, si la traduction qui a fait l'objet de cette demande a jamais paru? Il n'est point question d'édition française de Cassandra ou Alexandra publiée à la fin du XVIIe siècle, dans l'article que la Biographie Didot consacre à Licophron. ALF, D.

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ERIODICAL

S

l'art du même nom? Pourquoi, avec un appareil de photographie, ne ferait-on pas des photogrammes, comme avec un appareil de télégraphie on fait des télégrammes ?

Quelle raison y a-t-il de parler en français dans un cas, et point dans l'autre ? Soyez juges! BELLATOR.

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Jingo. Jingoism. Quel est, au juste; le sens de ces deux mots anglais, dont nos journaux commencent à se servir, quand ils s'occupent des affaires intérieures de nos voisins d'outre-Manche? Je vois bien que le jingo soutient la politique du ministère actuel, c'est-à-dire qu'il appartient au parti tory; mais tout tory n'est pas, je crois, un jingo. Il me semble aussi qu'il y a, dans le jingoism une nuance de chauvinisme; mais tout cela n'est pas très clair pour moi. Un peu de lumière, s. v. p. DICASTÈS.

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Que signifie alors ce vers du dernier sonnet du poète:

Le crespe chiome d'or puro lucente, sinon que ses cheveux étaient blonds et bouclés ? E. B.

Le Montagnard émigré. En quelle année, sous quels noms d'auteur et d'éditeur a paru pour la première fois (avec ou sans musique) la romance

Combien j'ai douce souvenance
Du joli lieu de ma naissance!

que Chateaubriand, en l'intercalant dans les Aventures du dernier Abencérage (1826), donne comme étant « déjà connue du public »; que divers recueils ultérieurs intitulent les Souvenirs; et qui, selon le Grand Dictionnaire Larousse (art. Combien j'ai, etc.), aurait vu le jour « au commencement de ce siècle, sous le titre du Montagnard émigré? » Quel est le nombre des couplets dans l'original ?

NOEL MELLIW.

Un buste de M. de Vallière. Je suis bien heureux de savoir où a paru pour la première fois le quatrain de Fontenelle sur M. de Vallière, cité dans « Ouvrages composés par des auteurs fort avancés en âge » (XII, 112), et de quel titre il est accompagné. Voici pourquoi: Le musée de la ville de Tours possède un buste d'homme en terre cuite, du XVIIIe siècle, avec piédouche en marbre, sur lequel sont gravés les quatre vers de Fontenelle. Le livret, que je suis en train de refaire avec M. Félix Laurent, le conservateur du musée- et il en avait bon besoin,- portait: «Buste de M. le duc de la Vallière », ce qui était inadmissible. Sans parler de la différence des traits, ni de la cuirasse, qui ne serait pas à elle seule un obstacle, M. de la Vallière était un très grand seigneur, qui avait les grands ordres du roi, tandis que notre buste n'a que la croix militaire de St-Louis. De plus, l'idée du quatrain ne pouvant se rapporter qu'à un officier d'artillerie, cela m'avait amené à y reconnaître un des deux Florent de Vallière, tous deux lieutenantsgénéraux d'artillerie; Jean, le père et le plus célèbre, né en 1667 et mort en 1736, a été membre de l'Académie des Sciences, et, par conséquent, le confrère de Fontenelle; le second, né en 1717, est mort en 1776. Quoique le buste soit plutôt du milieu du XVIIIe siècle, je l'avais attribué au père, plus célèbre que le fils. Le titre de la première impression du quatrain de Fontenelle permettrait de changer cette attribution en certitude; car, dans le peu qu'en dit l'abbé Trublet, dans ses Mémoires sur la vie de Fontenelle (1759, p. 56), il n'est parlé que de M. de Vallière. La façon

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dont il insiste sur l'amitié de Fontenelle pour lui, et l'indication, à la table: « Membre de l'Académie des Sciences », sont plus que des présomptions; mais le premier titre du quatrain déciderait absolu

ment.

Il serait aussi intéressant de savoir sur la famille Florent de Vallière l'origine et la raison d'être du second nom. Ils passent pour être tous deux nés à Paris; mais il y à un Vallière dans le Loir-et-Cher, trois Vallière dans l'Indre-et-Loire, et il est bien probable qu'ils touchaient à la Touraine; le buste, n'étant pas une acquisition, doit avoir été recueilli dans le pays, et il ne serait pas inutile de se rendre compte de sa provenance probable. A. DE M.

Noël Gassotin, peintre. Dans un fragment de copie du testament de M. de Croismare, il est question d'une « perspective peinte par Noël Gassotin, étant dans sa bordure de bois doré », que le marquis léguait à Grimm. J'ai fait de vaines recherches pour savoir quel était ce peintre, dont le nom semble celui d'un Italien qu'on aurait francisé. L'Intermédiaire n'est jamais resté muet quand il s'est agi des artistes les plus obscurs ou les plus oubliés; j'espère qu'il en sera de même une fois de plus. M. Tx.

Le Régent, peintre d'histoire. Il paraît qu'on voyait encore à Paris, à la fin du dernier siècle, un tableau peint par Philippe d'Orléans, Régent de France. Voici, en effet, ce qu'on lit dans le tome VII de l'édit de 1783 du Tableau de Paris, de Mercier, chap. DLXVI, pag. 85:

« Philippe, duc d'Orléans, régent du royaume, s'amusoit à peindre; mais la main de S. A., habile à mouvoir l'Europe, ne surpassoit pas, en peinture, celle du plus misérable barbouilleur. Qu'est-il arrivé? Son principal tableau, quoique décoré de son nom, successivement chassé de tous les Cabinets, se trouve actuellement exposé dans un passage public des Tuileries, sollicitant en vain un acquéreur qui lui donne un asyle. On le regarde, on lit le nom auguste, on sourit, et personne veut en donner 36 livres. Ce qui prouve que, dans les arts qui tiennent au génie, on ne paie point le public avec des titres. >>

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Je ferai remarquer, incidemment, que c'est dans ce livre, trop peu consulté de nos jours, malgré une très bonne monographie de M. Desnoiresterres, qu'il faut aller chercher les causes immédiates de la Révolution, dévoilées par un témoin impartial, qui ne la prévoyait certainement pas, bien qu'il parle, en certains endroits, de catastrophe imminente.

Il serait intéressant de savoir ce qu'est

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Jusqu'où ont pu aller des Jésuites. Le journaliste et fécond compilateur Prudhomme raconte, dans un de ses écrits fort peu lus aujourd'hui (le Tableau de Paris), que des Jésuites s'entendirent avec un chambellan d'un roi d'Espagne, lequel leur livrait, chaque jour, le contenu de la chaise percée de Sa Majesté. L'examen des fragments de papiers déchirés qu'on trouvait dans ce meuble mit parfois sur la piste d'importants secrets d'Etat. Ce trait se retrouve-t-il dans quelques-uns des nombreux ouvrages dirigés contre la célèbre Société Ajoutons que la chaise percée joue dans l'histoire intime du XVIIe siècle un rôle qui n'est pas à dédaigner; M. Léon de Laborde l'a signalé dans le très curieux volume de notes, qui accompagne la 4o de ses Lettres sur le Palais Mazarin.

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134 <«<ment que la chose était impossible. « Cette malheureuse était jeune et jolie. « Par un raffinement de cruauté, les In<< quisiteurs lui firent couper le nez, deux << heures avant l'exécution, afin que les « grâces touchantes de sa figure ne pus« sent plus intéresser à son sort. Je tiens « le fait d'un témoin oculaire. Oui, cette << horrible scène n'est pas plus ancienne

« que le 7 novembre de l'année dernière. « Lecteurs, pesez l'époque ! »

Quel est le sombre mystère d'iniquité qui se cacha sous cette exécution aux raffinements atroces? Doct. BY.

La citoyenne Denoor. L'Intermédiaire qui a, je crois, plusieurs abonnés en Hollande, pourra-t-il me tirer d'embarras? Je cherche depuis longtemps des renseignements sur une marchande de curiosités, que les inventaires officiels de la Révolution appellent la citoyenne Denoor, et qui vendit et acheta, pendant plusieurs années, des objets de toute nature et de toute provenance. Je crois savoir que son mari était fournisseur des armées de la République, et que la pénurie du numéraire le fit plusieurs fois rembourser en meubles, tableaux, etc., que sa femme revendait à l'étranger. Mais je tiendrais surtout à connaître si la citoyenne Denoor avait dans son pays un commerce régulier; si elle a fait des ventes publiques sous son nom, enfin si elle a laissé des héritiers?

M. Tx.

La tribu sacrée des Cohen. Je vien de lire dans un journal le récit des funé railles de l'ancien ministre Adolphe Crémieux. Dans ce récit, un passage est rest pour moi incompréhensible: « A l'entré «du cimetière juif, le grand rabbin d « Paris, M. Zadoc Kahn, qui, en sa qua «lité de membre de la tribu sacrée des « Cohen, ne peut exercer son ministère << dans l'intérieur d'un cimetière, a fait << arrêter le corps et a prononcé un dis« cours émouvant... >>

Quelle est cette << tribu sacrée des Cohen »? et pourquoi ne peut-elle exercer son ministère dans l'intérieur d'un cimetière? SED EGO.

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