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Frustra fit per plura quod fieri po test per pauciora. J'ai un débiteur et un créancier. Ma dette et ma créance sont égales. Tous les deux habitent Paris; moi, j'habite la province. Que le premier verse au second la somme dont il m'est redevable, et voilà deux dettes éteintes du même coup, sans frais, sans retard et sans embarras. Comment une idée aussi simple ne s'est-elle pas présentée à l'esprit de deux commerçants intelligents, comme doivent l'être MM. Fischbacher et Rouveyre? C'est une question que je crois digne d'exercer la perspicacité des Chercheurs de l'Intermédiaire. DICASTÈS.

Cette demande de notre spirituel correspondant nous force à mettre un point sur un i, que nous avions cru suffisamment accuser en soulignant un paragraphe de la lettre de M. Fischbacher, et en disant, dans notre Nota benè (XIII, 450) que « M. Fischbacher avait absolument tenu à rembourser les abonnements au prorata, etc. »

Nous avions, cela va sans dire, proposé à M. F. la très simple opération, dont parle Dicastès, et dont l'utilité pratique sautait aux yeux. M. F. n'en a pas voulu (il ne nous a pas dit pourquoi) et nous a dit seulement que nos abonnés seraient aussitôt remboursés par lui. Nous ne pouvions faire violence à M. F. pour lui imposer notre manière de voir ni notre manière de faire. Il nous a fallu nous résigner à ce mode peu commode qui est pour nous res inter alios acta.

Malgré nos divergences de vues », nous demeurons, quant à nous, en bons termes avec notre éditeur démissionnaire.

Questions.

C. DE R.

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<«taire; mais il est naturel et gai; ce

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qu'il y a de plus piquant dans ses vers, « c'est qu'ils donnent une idée de la soa ciété dans laquelle vivait l'auteur, et,

sous ce rapport, ils forment un appen«dice très curieux aux Mémoires de Tal«<lemant des Réaux ». Mais il faut lire en entier l'article de Nodier, sans oublier une lettre d'un savant bibliophile dauphinois, M. Olivier Jules, insérée dans le même Bulletin (juillet 1836), laquelle nous apprend que Claude de Chaulnes, président du Bureau des finances du Dauphiné, mourut à Grenoble, presque octogénaire, vers 1675.

La question à poser est celle-ci ; Sait-on ce qu'est devenu le manuscrit que la notice de Nodier recommandait d'une façon piquante à l'attention des amateurs? Pourrait-on nous dire quelle est la Bibliothèque publique ou la collection particulière dans laquelle il est entré?

E. R.

Un quatrain de l'abbé de l'Atteignant.

Il a été question ici de l'abbé de l'Atteignant, chanoine de Reims. Un nouveau journal, curieux à lire et fort amusant, l'Intransigeant, m'apprend que ce chanoine-poète demeurait au 2e étage de la maison où est mort Gilbert (rue de la Jussienne, no 8, actuellement en démolition), et qu'il y recevait à sa table une voisine, qui devint Mme Du Barry. Il ajoute que cette aimable fille lui envoya un jour des abricots, avec quatre rimes pour des bouts qu'il devait remplir: poire, abricot, foire, mot. L'abbé de l'Atteignant lui renvoya ce quatrain :

Ah! craignez le jus de la poire,
Surtout le jus dé l'abricot!
Car il vous donnerait la foire.
Madame, passez-moi le mot.

Voilà un quatrain proprement touché ! L'Intransigeant trouve même que, pour un abbé, c'est un peu hardiment... torché! Mais (question préalable) l'anecdote, les abricots, les rimes, les vers, tout cela est-il authentique? A. A.

La Follette. Dans une lettre du Chancelier d'Aguesseau à son fils aîné, en date du 30 déc. 1737, il est question d'une maladie qui régnait à Paris, et qu'il nomme la follette: « Ce sera donc «la follette, dit-il, qui aura l'honneur de << vous avoir tous rendus sages... »

Quelle était cette maladie, dont le remède spécifique, d'après le Chancelier, serait de garder le lit et de prendre des boissons abondantes? J'ai cherché inutilement des renseignements dans les dictionnaires que j'ai sous la main.

E.-G. P.

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Symbolisme du Bonnet phrygien. En dépit des agréables plaisanteries de notre collabo Emballeur (XIII, 457), je pose sérieusement cette question : Quelle est l'histoire de ce symbolisme, depuis les Grecs et les Romains, en passant par le moyen âge? Dans la petite église de mon village (autrefois monument historique, rayée en 1852), il y a un chapiteau du XIIe siècle qui représente une tête coiffée du « Bonnet de Phrygie », et l'on trouve, dans Alciat, un embleme qui porte cette souscription : « Pileum libertatis signum.

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Doct. By.

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«blia, il y a cent ans, un plan de ré«forme absolument semblable. Je suis « tellement frappé de cette ressemblance,

que, si M. Marle obtient un brevet d'in«vention, j'en revendique l'honneur pour «Etienne Coulet. »>

Quel est ce personnage? Quel est cet Ouvrage? Doct. By.

Jules Favre et « l'Anathème »>: Tous les journaux annoncent que Mme Jules Favre publie une édition des œuvres complètes de son défunt mari. Cette édition comprend-elie la première œuvre de l'illustre avocat qui se trouve annoncée dans la Revue Britannique d'août 1834, en

ces termes :

«ANATHÈME, par Jules Favre, 1 vol., 3 fr., à Paris, chez Louis Babeuf, éditeur, rue de Seine St-G., no 48. Après quelques lignes, consacrées au jeune avocat

des plus distingués du barreau de Lyon », la Revue ajoutait « Son livre est une sorte d'épopée, dont tous les sentiments et toutes les pensées sont inspirés par la poésie de la fraternité ».

Quelqu'un en a-t-il une idée?

N'est-il pas singulier que le premier livre de Jules Favre, ce livre d'une inspiration si fraternelle, paraît-il, s'appelle Anathème? W. J.

Les Familles patriciennes de l'ancienne Rome. Sait-on à quel moment de l'histoire romaine ont disparu les grandes familles (gentes) Cornelia, Emilia, Valeria, Metella, Fabia, etc., pour faire place à celles qui, depuis le moyen âge, sont à la tête de la noblesse de Rome, les Orsini, les Colonna, les Caraffa, les Borgia, les Aldobrandini, et bien d'autres ?

Les membres des familles consulaires ont joué dans l'histoire un rôle assez considérable pour que la disparition de leur race ait été notée par les annalistes. Et, comme conséquence de cette première question, dans le patriciat romain, y a-t-il quelques familles qui revendiquent une origine assez reculée pour permettre de les rattacher, au moins plausiblement, aux grandes races romaines de la République, de l'Empire et de la Déca

dence?

Quels sont les ouvrages qui ont traité spécialement des périodes de transition de l'histoire romaine avant qu'elle ne sc confondît avec celle du moyen âge?

Cz.

Qualifications de «Comte du Consistoire."

Dans le Ile Catalogue de Portraits, etc. de Louis Bihn (rue Richelieu, 67, à Paris. je trouve deux personnages célèbres de notre histoire, tous deux fort catholiques. affublés de cette qualification inusitée de

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Comes Consistorianus: 1o Th. Bignon, gravé par Pitau d'après Ph. de Champagne; et 2° Louis Boucherat, chancelier de France, seigneur de Compans, Comte du Consistoire (sic), gravé aď vivum par Jo. Lenfant.

Qu'est-ce que signifie ce titre, loc. cit.? Cz.

tra

La torture juridique.- Les Mémoires de l'Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, renferment (8e série, t. I, 1880, p. 301-361) un vail remarquable, de M. Victor Molinier : La torture historique et philosophique. On y trouve des détails curieux sur la torture, qui, fréquemment employée à Toulouse, y était fort rude. L'infortuné Calas subit deux fois la question: l'ordinaire (élevé deux fois en l'air); l'extraordinaire (à l'eau). En 1778, une femme nommée Claire Raynaud, âgée de 43 ans, accusée d'avoir empoisonné son mari, fut plusieurs fois appliquée à la torture et protesta toujours de son innocence. En 1717, un orfèvre, nommé Mure Bermou, expira, asphyxié, pendant le cours des tourments qu'on lui faisait subir. A Autun, la question se donnait de la façon la plus barbare, par l'emploi du feu. Existe-t-il, pour ce qui concerne les autres villes de France, des travaux dans le genre des recherches de M. Molinier? Sait-on quelque chose de spécial sur les usages en vigueur à Lyon, à Nantes, à Rouen, et autres juridictions au point de vue de la question? Quelles sont les dates des derniers jugements qui ordonnent d'y avoir recours?

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A. F., étudiant en droit.

De quelle maladie François Ier est-il mort? Le Dr Cullerier (De quelle maladie est mort François Ier, broch. in-8. 1856) penche à croire que ce roi n'est pas mort d'intoxication syphilitique, ainsi qu'on le croit généralement. Le Dr Corlieu (La mort des rois de France, I vol. in-12, 1873) se range à cette opinion, tout en comptant parmi les causes de cette mort la fistule vésico-périnéale dont François souffrait depuis 8 ou 9 ans.

N'a-t-il pas, sur cette question, d'autres documents plus explicites que ceux qui ont été produits par le savant docteur, et l'opinion populaire doit-elle être définitivement reléguée au volumineux chapitre des Erreurs et Préjugés historiques? PAUL MASSON.

Catholiques et protestants désarmés par leurs pasteurs. A une époque assez rapprochée, sous le règne de Louis-Philippe, une collision violente s'éleva, dans les rues de Nîmes, entre catholiques et protestants. Plusieurs horions avaient été

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échangés, et le sang avait coulé ou allait couler lorsque le curé de la paroisse et l'un des pasteurs de la ville accoururent sur le lieu du tumulte. Après s'être efforcés de calmer leurs ouailles et désespérant d'y parvenir, mus par un même sentiment de charité, ils s'avancèrent l'un vers l'autre, et après quelques mots rapides, ils s'embrassèrent aux yeux des belligérants. Devant cet exemple de charité et d'amour chrétien, ceux-ci désarmèrent.

Peu de temps après, le curé et le pasteur furent décorés chacun de l'ordre de la Légion d'honneur, tous les journaux du temps racontèrent ce fait. Une vieille amie de 86 ans me l'a raconté à son tour. Le fait s'est-il réellement passé ainsi ? A-t-il été relaté dans des Mémoires ou dans un ouvrage contemporain?

Il en eût valu la peine. Je ne le trouve pas dans l'Histoire des protestants de France, de MM. de Félice et Bonifas. Cz.

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Gambetta jugé par Bismarck. Est-il vrai que M. de Bismarck ait tenu, en ces derniers temps, à un interlocuteur qu'on ne nomme pas et dans une circonstance qui n'est point désignée, un propos que j'ai entendu rapporter ainsi : « Les événements de 1870-71 n'ont mis en lumière (ou n'ont produit) que deux hommes: moi et Gambetta »?

Est-ce un propos de table, après boire? Le secrétaire de M. de Bismarck, M. Busch, en a-t-il parlé ?

Il n'est pas sans intérêt de rectifier, autant qu'il est possible, une parole qui peut manquer de modestie. mais qui ne manque peut-être pas de vérité, à certain point de vue, et qui rentre dans le contingent des appréciations contemporaines dont l'histoire aura à tenir compte. E. H.

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Réponses.

Les détails, vermine de l'Histoire (III, 389). J'envoie enfin au confrère Yezimat une réponse (réponse « à cheveux blancs ») à la question qu'il me posa, dans ce journal, d'une façon tout obligeante, IL Y A QUATORZE ANS. Si je disais que j'ai cherché cette réponse pendant tout ce laps de temps, on ne me croirait pas il me suffit d'affirmer que j'y ai pensé souvent. Il s'agissait de retrouver le « lieu » d'une remarquable parole de Voltaire sur le rôle des détails dans l'histoire », que j'avais citée de mémoire dans un ouvrage publié vers 1866, et tous mes efforts n'avaient pu en venir à bout. Servi par le hasard (divinité mystérieuse à laquelle je dois plus d'un cierge et qui, finalement, est presque toujours favorable aux chercheurs qui la sollicitent), j'ai retrouvé ma fameuse phrase dans une très intéressante Revue littéraire, publiée récemment par M. F. Brunetière, dans la Revue des Deux Mondes (18 fév. 1880); et voici la réponse que je dois à son obligeance : « La phrase en question se trouve au tome LIII, p. 304,

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de l'édition Beuchot (Lettre à l'abbé Dubos, datée de Cirey, 30 oct. 1738), en ces termes : « Malheur aux détails! La postérité les néglige tous c'est une vermine qui tue les grands ouvrages, »

«La déclaration est d'autant plus importante, ajoute M. Brunetière, qu'elle fait partie d'une lettre où Voltaire s'explique sur ce qu'il a voulu faire en écrivant son Siècle de Louis XIV. » Cz.

Un vieux cantique (IV, 132; XIII, 73, Le docteur By 265, 329, 393, 461). peut rattacher, au fragment qu'il vient de donner dans l'Intermédiaire, celui-ci, qui appartient évidemment à la même chan

son:

Teindras boutique

Et veindras du tabac,
Lalirette.

Teindras boutique
Et veindras du tabac.
Nenni, ma maïe,
Volé me marida,
Lalirette,
Nenni, ma maïe,
Volé me marida!

A cinq ou six, nous finirons peut-être par retrouver tous les couplets.

E.-G. P.

Racine, un polisson (VIII, 194, 248, 401). C'est dans la Presse, récemment créée, et non dans les Débats, comme l'a écrit le Figaro, que Granier de Cassagnac entreprit sa campagne romantique contre Racine, qu'il traita en polisson. L'esprit aventureux d'Emile de Girardin pouvait bien donner asile, dans son journal, à ces élucubrations paradoxales, dont le bon sens public fit justice, et que la Presse fut d'ailleurs forcée d'interrompre. Bertin n'aurait jamais consenti à en souiller les colonnes des Débats.

Granier réunit plus tard ses articles dans un volume de mélanges, dont le titre m'échappe en ce moment, mais qu'il est facile de retrouver. A. M.

Les neuf porcelets (IX, 254).- L'anecdote donnée sous ce titre (sous la rubrique trouvailles et curiosités) n'est ni une trouvaille, ni une curiosité. On peut la lire dans bien des bouquins et, entre autres, dans l'Art héroïque, de Wulson de la Colombière, p. 278. On la rencontre aussi dans le poème d'Hélias; dans la romance d'Espinelo (Romancero general, t. II, p. 392). On retrouve quelque chose de cette donnée, sur laquelle, renchérissant encore, une autre romance du XVIe siècle raconte comment une princesse d'Irlande expia un jugement téméraire en accouchant de 367 fils. Enfin, dans les Contes populaires de

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Grimin, on rencontre cinq à six fois une anecdote du même genre. POGGIARIDO.

Livres imprimés dans le format le plus exiga (X, 363, 714). Description d'un livre microscopique. contenue dans le Livre, n° de juillet 1880.

Exercice du Chrétien. Paris, chez François Herissant, 1728 (187 pages, puis 5 de tables. Texte en petits caractères, très lisibles sans loupe, de 12 lignes à la page). Hauteur : 0,024. Larg. : 0,014. Il est relié en maroquin grenat, avec fleurons et filets sur les plats. Le dos orné et rogné, doré sur tranche. Dimensions de la reliure 0,038 de hauteur sur 0,02 de largeur.

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Billets de confession (XII, 550). M. Ele M. demande si le billet de confession a été réellement imposé aux fonctionnaires de la Restauration. Je réponds non et cite ce passage emprunté aux Mémoires inédits d'un homme qui occupa alors des postes importants: « Après la << retraite du roi (Charles X), nous ren<< trions au salon. M. de Cossé, le pre<< mier maître d'hôtel, nous faisait donner « du punch, et nous prolongions l'écarté, « que nous osions alors jouer assez cher. «On se mettait avec plaisir à son aisé, « les propos étaient très gais, et souvent licencieux, et je dirai, à cette occasion, « que tous les hommes de la cour, loin «d'être ce qu'on appelle des dévots et des hypocrites, comme on le croyait en province, n'étaient rien moins que cela..... Il y avait, sans doute, une Congrégation à laquelle nombre de personnes étaient « affiliées... Mais, qu'elle ait dirigé l'Etat, qu'elle ait influé sur toutes les nomina« tions, voilà ce que je n'ai jamais cru. Ce que je puis assurer, c'est que jamais " on ne m'a proposé une telle affiliation. << On désignait comme appartenant à la Congrégation M. Franchet. M. de Rai« neville, etc. Et cependant j'ai toujours «eu à me louer d'eux, en dépit de la « mondanité de mes goûts, que je n'ai jamais cachés. »>

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Je le répète celui qui écrivit ces lignes vécut souvent à la Cour, eut des fonctions élevées, et fut constamment bien vu du roi et de Mme la Dauphine.

POGGIARIDO.

Châteaux en Espagne (XII, 641, 672; XIII, 47, 107). On en fait même en Espagne, témoin une jolie pièce d'un poète castillan du XVe siècle, Pero Gonzalez de Uceda. Quelques stances en ont été traduites ainsi :

Vous arrive-t-il de même qu'à moi?
Presque chaque jour, mes folles pensées
Sur divers chemins courent élancées
Tandis que mon corps au lit reste coi :
Tantôt je parcours toute la Hongrie,
Tantôt je m'en vais vers Alexandrie,
Je visité l'Inde et la Tartarie,
Avant que du jour paraisse le roi.

En riche marchand, je parcours la Flandre :
J'ai dix gros vaisseaux, pleins de drap à vendre,
Et pleins de joyaux payés chèrement.
Avec mes convois, je viens à Séville,
Et la clientèle aussitôt fourmille.
Je fais des présents au roi de Castille,
Ma fortune augmente à chaque moment.
Mais de vivre ainsi, je me lasse, un jour :
Pauvre mendiant, j'erre dans le monde,
Je rencontre un lieu d'une paix profonde :
Ermite, j'y fais un pieux séjour.
Pendant ce temps-là, meurt notre Saint-Père,
Mon renom de saint a rempli la terre.
Et les cardinaux ne peuvent mieux faire
Que de me nommer Saint-Père à mon tour.

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