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Où est la femme? ce mot si vrai,» a dit Ed. Fournier (l'Esprit dans l'histoire, 3° édit., in-18. Dentu, 1867), « qu'il détermine l'action constante des femmes dans tous les actes de la vie de l'homme? » D'après le même écrivain, les uns l'attribuent à M. de Sartines, d'autres à un procureur ou à un juge quelconque, chargé d'instrumenter contre la race féminine, au profit de la société. On a même poussé la complaisance jusqu'à le faire endosser par le fameux Jakal, des Mohicans de Paris. Mais personne ne semble s'être avisé d'en chercher l'origine dans le proverbe espagnol, que le roi don Carlos III avait fini par réduire et concréter en ce simple interrogatif: Comment s'appelle-t-elle? (¿COMO SE LLAMA? Le mot de Richard Steele ne touche-t-il pas de près à celui du monarque castillan et à son époque? EGO E.-G.

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La Bataille de Blenheim (XIII, 420). La ballade dont il est question fut écrite par Southey, le poète-lauréat anglais (né 1774, mort 1843).

Un petit garçon ayant déterré un crâne, le grand-père raconte ses souvenirs de la bataille. Le garçon et sa sœur insistent pour savoir l'origine et les résultats de la lutte, mais le vieillard ne peut que répondre « Je ne saurais vous expliquer cela... Mais ce fut une fameuse victoire! » J'ignore si Victor Hugo l'a traduite.

they :

J. G. A.

C'est la belle ballade de Robert Sou

T'was on a summer's evening.

Old Gaspar's work wa, done,
And he and his grand children
Were sitting in the sun.

« C'était un soir d'été. Le vieux Gaspar avait fini son ouvrage, et il était assis au soleil avec ses petits enfants. >>

Ceux-ci trouvent, en jouant avec la terre, des ossements, un crâne. Le vieillard leur fait un récit de la bataille, et ajoute: «< Oh! ce fut une bien belle victoire! » Et chaque fois la petite Wilhelmine, exprimant le sentiment de chacun, se récrie: « Mais ce fut une horrible chose, grand-père !

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[fureur [traire,

Et dans le même instant, par un effet con

Leurs fronts pâlir d'horreur et rougir de colère.

On trouve le front qui rougit dans l'Arianne de Thomas Corneille (acte III, sc. 4); dans l'Iphigénie de Racine (acte IV, sc. 4); dans son Athalie (acte III, sc. 3). Boileau emploie l'image dans son Lutrin (ch. I), et deux fois dans la Satire X. On la retrouve, au XVIIIe siècle, chez J.-B. Rousseau, chez Voltaire; au commencement de ce siècle-ci, chez Baour-Lormian, et enfin (voilez-vous la face, monsieur Moineaux!) Victor Hugo a répété cette « saugrenuité classique » dans Hernani (acte I) : J'ai fait rougir ton front, j'ai fait pâlir ta joue! UN LISEUR.

- Faut-il expliquer que le front est pris ici au figuré, pour le visage, puisqu'on dit communément : On voit, on lit sur son front, etc., etc. Dans le sens qui nous occupe, on doit l'appliquer à un excès d'audace ou d'impudence, car on dit de quelqu'un qu'il a un front d'airain, pour signi fier qu'il ne rougit de rien. C'est aussi l'interprétation qu'a voulu lui donner Ra

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Je m'en bats l'œil (XIII, 420, 476). — Le vers cité par A. D. et attribué à Poisson, se trouve aussi dans le Mercure galant de Boursault, avec une légère variante: Morgué! je me bats l'œil, du Mercure et de toi. Raymond Poisson était contemporain de Boursault; il serait assez intéressant de savoir lequel a pratiqué à l'égard de l'autre la maxime: «<< Je prends mon bien où je le trouve. »

DICASTÈS.

Comme l'a dit Ch. Nisard (dans ses Parisianismes populaires, etc.), l'œil est, de tous nos organes, le plus fertile en applications métaphoriques....., et il suffit d'accompagner ce mot de quelques épithètes pour exprimer et faire comprendre les sentiments divers dont on est animé.

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C'est sans doute pour figurer le peu de cas qu'on fait d'une chose qu'on dit vulgairement je m'en bats l'œil, car il est certain, pour cela, qu'on les ferme et qu'on ne peut rien voir de ce qu'on ne veut pas. L'explication peut paraître puérile, mais elle a sa raison d'être.

Nous savons bien que Scarron ( Virg. trav.) avait écrit dans un sens identique Le roi dit je m'en bats les fesses, mais l'ŒIL(?) du monarque était intact! L. Larchey (Dictionn. d'Argot, 8e édit., 1880) cite, de son côté, cette locution dans le sens de s'en battre la paupière, sans en expliquer toute l'énigme, qui reste encore soumise aux droits de l'examen. (Bordeaux.)

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EGO E.-G.

La Bibliothèque du Château de SaintCloud (XIII, 422, 477). La question posée par le baron de Si-Y. semblait en partie résolue par l'entrefilet vivant, emprunté aux journaux de la semaine dernière (Voir co!. 478), avec cette observation additionnelle : « Le sieur Paul Neubner n'a guère de pudeur; cette annonce est tout simplement monstrueuse ».

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Vérification faite par moi, cette annonce n'a demonstrueux » que l'ignorance réelle ou calculée du libraire allemand même. En effet, ce Nagler ne sort nullement de la Bibliothèque du Château de Saint-Cloud. Il sort de la bibliothèque de M. Pescatore (lequel possédait un château à la Celle-Saint-Cloud), comme en témoigne son ex-libris placé en tête du premier volume. Quant à la reliure, c'est une reliure vulgaire en demi-chagrin. Le sort de la Bibliothèque du Château de SaintCloud reste donc encore à éclaırcır.

A.

C'est seulement en 1874 ou 1875 qu'on a connu exactement ce qui restait de la Bibliothèque de Saint-Cloud. Avis à été donné alors au Ministère de l'Instruction publique d'avoir à enlever le plus tôt possible ces épaves qui remplissaient une grande salle du rez-de-chaussée dans le nouveau Louvre. Le baron de Watteville, qui était directeur de la Division des Lettres, a fait faire à la hâte un partage du résidu des livres entre plusieurs bibliothèques publiques qui ont reçu, de ce fait, une avalanche de doubles: 2 ou 3,000 volumes à la Bibliothèque des Officiers (les meilleurs, dit-on); 12 à 1,600 à la Bibliothèque Mazarine (ouvrages d'histoire); 3,500 à la Bibliothèque de l'Arsenal (polygraphie, éditions nouvelles faites sous la Restauration); 1,000 à 1,200, à la Bibliothèque Ste-Geneviève (géographie, voyages, jurisprudence, médecine); 1,000 à la Bibliothèque de la Sorbonne (livres de littérature classique); etc. Mais partout des Doubles et pas un ancien livre, pasun seul beau livre. Il résulte, de ce fait encore obscur, que l'Administration des Bibliothèques de l'Etat

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La prononciation que l'on inflige au grec dans nos lycées a été inventée et introduite par Erasme; elie est pitoyable. N'estil pas comique de prononcer u l'upsilon dont nous avons fait l'y? Tout est de cette force! Nous disons Atênê au lieu de Athini (th. anglais); Basileus au lieu de Vasilefs, et ainsi de suite. La diphtongue aï n'existe pas en grec : on dit kaé, et non pas kai; hétaire, venant d'étalpos, doit se prononcer hétaire, comme, du reste, nous disons hétairie. Pour que ce vocable se prononçâ! hétaïre, il faudrait que le mot grec fût étarpos, ce qui n'est pas. LE MARQUIS d'ETYмo.

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Fert, fert, fert (XIII, 456). Or prétend que c'était la devise d'un Chevalier de Rhodes, qui se rendit célèbre au siège de cette ville par Mahomet II, en 1479, et on la traduit ainsi : Fortitudo Ejus Rhodum Tenuit. (C'est par son courage que Rhodes tint bon.) A. BRUN.

Ces pièces de 5 francs sont toutes du royaume de Sardaigne. FERT s'interpose ainsi : Fortitudo Ejus Rhodum Tenuit, en l'honneur des exploits d'un prince de Savoie, en Orient, où il aurait repoussé vaillamment les attaques des Turcs contre Rhodes. BRIEUX.

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La Cour ducale de Weimar en 1775 (XIII, 457). Consulter le volume de Wilhem Schroeter: Carl August Grossherzog van Sachsen-Weimar. Leipzig, 1829, in-8; celui de Heinrich Doering: Lebensumrisse van Carl August Grossher70g van Sachsen-Weimar. Quadlinburg, 1840, in-8.

En 1850, Wegele (F. X.) a publié une Vie de ce prince, sous le titre: Carl August Grossherzog van Weimar, in-8. brochure Ettinger signale aussi une in-4, sous la date de 1817: Pietatis monumentum, D. Carolo Augusto, Magno Duci Saxonæ, positum, etc.

UN LISEUR.

Mariage des prêtres (XIII, 458). — Moréri cite, comme ayant défendu le mariage des prêtres, les Conciles suivants : Elvire, 304; Tolède, 400; Carthage, 419; Arles, 552; Tours, 461; Agde, 506; Orléans, 538; Egaro, 614. Mais il paraît que ces Conciles n'avaient pas été obéis, puisque, en 585, le pape Sinie, et plus tard les papes Innocent, St Léon, Alexandre III, ont été obligés d'en renouveler les défenses. Mais c'est surtout depuis Alexandre III (1159-1181), que le mariage des prêtres a été positivement et absolument

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Madame de Créquy (XIII, 459). - Point d'hésitation: les Memoires cités sont faux; voyez l'Intermédiaire, VIII, 320, 381, 405, 436, 461; IX, 651, et Notice sur la marquise de Créquy (par A. Percheron), Paris (vers 1855), in-18, p. 86, tirée à 25 exemplaires. LA MAISON FORTE.

J'ai ouï raconter que les Souvenirs de la marquise de Créquy, de Courchamps, devaient être intitulés : Souvenirs de madame de Coigny, mais que la famille des Coigny, prévenue des intentions de l'écrivain, s'étant opposée à ce que son nom fût mis à la tête de la publication, Courchamps avait substitué le nom de Créquy à celui de Coigny. Si cette anecdote est vraie, toute confiance serait retirée à son ouvrage; mais elle est invraisemblable; il aurait fallu à l'auteur trop de temps et de recherches nouvelles pour qu'il eût pu faire cette substitution. Quoi qu'il en soit, autant il y aurait d'imprudence à citer, sans critique, les « Souvenirs de la marquise de Créquy,» trop souvent suspects et surtout en ce qui touche la famille d'Orléans, autant il y aurait d'injustice à tout nier, dès que la passion haineuse de Courchamps contre cette famille n'est pas en jeu. J'ignore si la marquise avait réellement laissé des notes, mais on a publié un recueil de ses lettres, que je ne connais pas et dont je ne sache pas que l'authenticité en ait été attaquée. E.-G. P.

Charlotte Corday, tragédie (XIII, 459). - J'ai lu Charlotte Corday, ou la Judith. moderne, tragédie en 3 actes et en vers. A Caen, de l'Imprimerie des Nouveautés, 1797, in-18, xi et 59 p. Portrait. Voyez le 1er Catalogue Luzarche, no 2757. Le libraire Claudin, rédacteur de ce Catalogue, donne, au ́no 2758: Charlotte Corday, ou la Judith moderne, tragédie. Caen, 1797, in-8. C'est probablement le même ouvrage que le précédent; « pièce fort curieuse, où l'auteur représente Marat comme un céla

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Sainte-Beuve, Volupté, et le Livre d'amour (XIII, 460). - L'apparition du Livre d'amour (imprimé d'ailleurs à un petit nombre et for private circulation), fut un scandale; l'Adèle de ce Livre a toujours passé pour être la femme d'un poète fort célèbre, qui aujourd'hui...

J'ai vu un exemplaire de ce volume (il avait, je crois, été payé 150 fr.), dans la belle bibliothèque d'un amateur bordelais, mon regretté collabo Emile Michelot, au mois de déc. dernier. Cette bibliothèque a été envoyée à un des libraires les plus honorablement connus de Paris, M. Ad. Labitte; elle passera en vente publique vers la fin de l'année. « Gabrielle » pourra, je l'espère, profiter de cette indication.

A. M.

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moi sur l'original, est d'autant plus curieuse que « Bossuet est dans l'affaire >> Comment y est-il? De qui et de quoi s'agitil?

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26 février 1689.

« Au reste, j'ay quelque chagrin contre "yous, dont je serois bien aise que vous « vous justifiiés. Monsieur l'Intendant m'a « fait parler de religion, comme sollicité << par M. de Meaux, et me voulut << faire voir son livre de la Communion « sous les deux espèces. Quel intérest « M. de Meaux prend-il à cela, si vous « mesmes ne l'en avez prié? J'aurois du déplaisir, que la pensée de vous regarder « comme un tentateur aportât quelque froideur en notre amitié, Ne m'écrivés, <«< ou ne me faites parler de religion, qu'après que vous m'aurés pu prouver que « le blanc est noir et que le soleil n'a point « de lumière. Je lis vos livres, mais plus j'en lis, et plus je prens de l'horreur « pour vostre religion; ainsi ce n'est point préjugé, c'est réflexion. Je ne trouve « rien de si foible que le livre de M. de Meaux, de la Communion sous les deux espèces; ce n'est pas là un livre pour << gagner un protestant. Monsieur l'Inten«dant est party pour Dijon, pour voir mon« sieur son père. Neluy parlés pas pourtant de cela. Je say ce que je luy dois. Je ne laisserai pas de le voir, mais plus rarement, et « ne cesserai pas d'estre toujours très sincè«<rement, monsieur, vostre très humble « et très obéissant serviteur. >>

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(Post-scriptum.) On débite en ca«chette un traité des Excommunications, qui n'est pas mal fait. Je chercherai « moyen d'envoyer mon cayer de la 2o et «<3e section à M. de...? »

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Cette lettre (anonyme, et pour cause majeure), est adressée « à Monsieur l'abbé Nicaise, à Dijon. »

Elle est extraite d'un recueil de lettres à l'abbé Nicaise et fait partie du volume n° 5 des Mss. du Palais des Arts, de Lyon Pourrait-on pénétrer le mystère de ce prudent anonymat?

ANASTASE COPHOSE.

La médecine à Caen, au milieu du XVIIIe siècle. Parmi les nombreux documents que renferment les Archives du Calvados, sur la vie privée des Normands avant la Révolution française, j'en ai copié un très curieux, qui se rapporte à la médecine. C'est une consultation adressée par un médecin de Caen, nommé Dudouët, au curé de Lanteuil, près de Brive-la-Gaillarde. Ce qui semble prouver que la réputation de mon compatricte s'étendait assez loin.

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« Monsieur (lui écrit-il), la maladie pour laquelle vous me faites l'honneur de me consulter, est causée par un sang des

N° 295.]

L'INTERMÉDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX.
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<< plus visqueux et fort abondant, dont la
<< circulation est presque entièrement ar-
<< restée. On n'a donc pu faire pour le
<< soulagement du malade, que de lui faire
<< deux saignées. Mais il ne faut pas en
<< rester là; il faut, aussitôt la présente re-
<< çue, saigner le malade sous la langue,
« s'il est possible. Après cette saignée, on
<< en viendra la jugulaire. Il ne faut pas
«< épargner le sang dans ces occasions où
<< tout est à craindre, puisqu'il vaut mieux
« vivre faible que de mourir fort et vigou-
« reux. Après ces saignées, on donnera,
<< sans perdre de temps, un lavement avec
« une décoction d'une demi-once de tabac
« et un quarteron de miel. Ensuite, on en
<< donnera un second, avec l'urine et le
« miel. On appliquera, en même temps,
«< un grand vésicatoire entre les épaules et
« au gras des jambes. On fera respirer au
« malade de l'esprit de sel ammoniac, et
<< on lui en fera avaler 19 ou 20 gouttes
« dans une ou deux cuillerées de vin; ce
« que l'on peut répéter de temps en temps.
« Je ne porte pas mes vuës plus loin. J'at-
« tendray de vos nouvelles, pour agir en
« conséquence. Quant au prognostic de
« cette maladie, on n'en peut faire que de
« très avantageux pour le malade, suivant
<< cet axiome de notre maître: Apo-
plexiam fortem solvere impossibile, le-
« vem vero admodum difficile.

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« A Caen, ce 19 avril 1740. Dudouët. » N'est-ce pas à se croire encore au temps de Molière, avec son « resaignare, repurgare et reclysterisare, » avec ses aphorismes et son latin? (Caen.)

T. R.

Les pièces de cinq francs à l'effigie de Napoléon IV. Il y en a, cela est certain, mais qu'on n'y cherche pas un acte de propagande politique. C'est tout simplement le fait d'un faussaire quia voulu tromper... les numismates. L'Intermédiaire n'aurait pas révélé ce détail rapporté par tous les journaux, si l'article-type, qui a fait le tour de la presse, ne contenait pas une grosse erreur, à l'endroit de Philarète Chasles, que l'on confond avec son homonyme et parent, le célèbre mathématicien et la non moins célèbre victime de Vrain-Lucas, le faussaire d'autographes (Voir V, 561).

On a peine à s'expliquer la facilité avec laquelle ces erreurs se produisent et se propagent, sans qu'on se donne la peine de les contrôler. Pauvre Philarète Euphémon, que nous avons connu ! Il est déjà bien oublié, et voilà qu'on se souvient de lui, uniquement pour lui mettre sur le dos une mésaventure dans laquelle il n'est pour rien !

E. E.

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[25 août 1880.

successeur de Fréd. Henry, libraire au Palais-Royal, galerie d'Orléans, qui me laisse tout ahuri, tout épaté, comme j'entends dire, astonished, comme nous disons. Je lis, page 2, ce qui suit, à propos de l'Histoire de l'Empereur, racontée par un vieux soldat (Paris, Dubochet, 1842):

« Petit vol. très rare, etc., etc. Le récit de la Grande Légende par le disciple de M. Zola, mort il y a juste 50 ans. »

Je ne sais pas très bien le français, mais cependant cela me semble raidé, comme vous dites, vous autres, Parisiens. Balzac, disciple de Zola !... Si l'on avait mis précurseur, j'aurais compris, et encore! (Car, entre les deux, mon cœur ne balance pas.) M. Zola devait être à la mamelle !... (était-il né seulement?) à l'éroque où Balzac écrivit ce petit chef-d'œeuvre? PATRICK NAILS.

(London.)

Une forte coquille, pour faire suite à tant d'autres (II, 321, etc.; III, 139, etc.; IV, 137, etc.; V, 94, 424, etc.; XII, 105).

Je lis, dans le premier-Paris du Temps d'aujourd'hui (10 août), que le Président de la République a affirmé aux évêques de Coutances et de Bayeux, que, «< ni en fait, ni dans les intentions du Gouvernement, rien ne ménage le clergé et la religion. » Ménager pour menacer!

Temps, mon ami, cette coquille est-elle bien sincère?... E. B.

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Paris. Imp. de Ch. Noblet, 13, rue Cujas. — 1880.

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