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SINGULA

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L'Intermédiaire

DES CHERCHEURS ET CURIEUX

FOREIGN

(BODL:LIER) ERIODICAL

(CORRESPONDANCE littéraire, NOTES and QUERIES francais.)

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Coquille, que me veux-tu ?!!

<< Encore une punaise dans le beurre, madame la marquise! » s'écriait, dans nous savons plus quel vaudeville folâtre du Palais-Royal, un convive délicat (on le serait à moins!).

де

Ce cri d'alarme nous est revenu en mémoire, en apprenant, par la clameur publique de nos très chers lecteurs, la nouvelle et horrifiante coquille qui s'est glissée dans le dernier numéro (col. 637, 1. 41), où le bicentenaire de la Comédie-Française est devenu un bucentaure!... Elle est forte encore, celle-là!

Après tout, que celui qui se croit centaure nous jette la première pierre, ou plutôt la jette à notre correspondant M. B., dont l'écriture a donné lieu à ce monstrueux quiproquo.- Mais, « Grand Roi, cesse de vaincre, ou je cesse d'écrire! >> disait au Roi Soleil l'illustre Nicolas. De grâce, écrivez lisiblement, formez vos pattes de mouche, relisez-vous, chers collabos, où il nous faudrait renoncer à vous imprimer..... correctement!

Questions.

C. DE R.

Le Bouddha est-il un saint de l'Église catholique? Je cite les propres termes dans lesquels Emile Burnouf s'est exprimé sur cette question :

Il existe, sous le titre de Barlaam et Josaphat, un livre traduit successivement en arabe, en arménien, en hébreu, en latin, en français, en languedocien, en italien, en allemand, en irlandais, en suédois, en anglais, en espagnol, en bohémien, en polonais, et finalement en tagal, un des dialectes indiens. Toutes ces versions, échelonnées sur une période de plus de dix siècles, proviennent d'un texte grec attribué à Jean Damascène, mort en 760. Mais ce texte est lui-même, selon toute apparence, traduit ou imité d'un original syriaque; car tous les noms propres y sont en cette dernière langue. De plus, comme toutes les religions du teinps y sont énumérées et que celle de Mahomet n'y figure pas, on est en droit de penser que le livre syriaque est antérieur au mahométisme. Le principal personnage, Josaphat, est un roi de l'Inde, converti au christianisme et instruit par un religieux nommé Barlaam. Le texte dit que cette histoire a été apportée de l'Inde, que l'Inde est grande et peuplée, et qu'elle est séparée de l'Egypte par des mers sillonnées de nombreux vaisseaux. La version latine de ce

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livre fit qu'au XIe siècle les deux héros furent canonisés et qu'on les honore le 27 novembre d'après le martyrologe romain. Or, nous possédons l'original sanscrit d'où sont venues toutes les versions. C'est le Lalita-Vistára, qui existait déjà au IIIe siècle avant J.-C.; tous les noms sanscrits ont été remplacés par des noms syriaques, et le héros du récit n'est autre que le Ruddha Çâkha-Mouni. (La Science des Religions, 2o édit., p. 270.)

L'opinion du savant indianiste est-elle à l'abri de toute discussion? Dans le cas où ce fait serait définitivement acquis à la science, nous aurions là certainement le spécimen le plus curieux de ces emprunts inconscients que les religions se sont faits de tout temps. Donc, à l'heure actuelle, l'Eglise romaine vénère encore, comme un saint, le fondateur du bouddhisme; ce qui ne l'empêchera pas de traiter cette religion d'idolâtrie, et le Bouddha de faux prophète, toutes les fois que l'occasion s'en présentera.

PAUL MASSON.

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Vermesch, écrivain-poète.- Est-il possible de se procurer les œuvres de l'étudiant tristement fameux qui s'appela Vermesch ?

Il a publié Le Latium moderne (souvenirs du Quartier Latin). Il y a aussi de lui des poésies, Je cite de mémoire les vers suivants Certes, les collabos de l'Intermédiaire qui ne les connaissent pas, hésiteront à croire que la même plume, si bien taillée pour composer une aussi charmante idylle, a servi à rédiger les abominables dénonciations du « Père Duchêne » de la Commune.

TOM. XIII. - 22

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[vent

Une haie en sureau qui tremble au moindre Abrite un jeune essaim de moineaux infidèles. Dans la salle, l'aïeule, aux lueurs des chandelles, Lit à ses petits-fils un conte humble et char[mant.

Tandis que sur l'étang le tiède crépuscule Verse son demi-jour, et que la libellule Va donner son baiser nocturne aux fleurs des [eaux, [blanches

Les pâles nénuphars ferment leurs coupes

Et dans les peupliers, dont frissonnent les [branches,

S'éteignent les chansons dernières des oiseaux.

Quelle fraîcheur, et quel délicieux sentiment de la véritable poésie inspira l'auteur de ce gracieux tableaux !

Pour moi, je ne sais lequel j'y admire le plus, du peintre ou du poète.

S. M. LE CURIEUX.

Mme de Staël et un caprice d'auberge. Dans une « lettre de Claudie à Rénée, >> parue dans le Gil Blas en septembre dernier, on lit, à propos du procès de Mme de Tilly: « L'homme leur importe peu, qui est là pour servir à leur révolte. Il passe presque anonyme dans leur vie comme << un chant de harpe éolienne », ainsi que disait si drôlement Mme de Staël, en parlant d'un caprice d'auberge, dans les lettres qui ont coûté quelque argent à racheter à sa famille, mais qu'on avait lues. »

S'agit-il de lettres adressées à M. de Schlegel, à Benjamin Constant, ou à d'autres? L'indiscrétion de Claudie a-telle déjà été relatée, ou bien est-elle inédite?

QUID.

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Guyenne (Bordeaux, 1879), t. I, p. 178. Il s'agit d'une querelle survenue entre deux membres du Parlement : « Le sieur << de Villeneuve se piqua et s'en print au << sieur Briet, disant qu'il savoit bien rin«cer la berlinguière, pour ce qu'il est fils « de médecin. » A. R.

Calembour.- Peut-on donner des exemples de ce mot, antérieur à la 5e édition du Dictionnaire de l'Académie? Littré n'en a pas et oublie de dire que le mot ne se trouve ni dans les quatre prémières éditions, ni dans Richelet. (Hambourg.) A. FELS.

Variations de l'ancien français. J'ai déjà fait un appel aux collabos, relativement à une branche de la linguistique, peu connue, peu étudiée parce qu'elle ne laisse aucune trace que de rares indices, mais par cela même d'autant plus curieux et intéressants. Je veux parler de la prononciation des mots, laquelle a étonnament varié dans le cours des siècles. Il y a, d'abord, la terminaison oi ou ois, qui se prononçait, dans les trois derniers siècles au moins, ouais ou ouè, et dont on a fait ais, comme dans François (pron.Françouais), Pontoise (pron. Pontouèse). La preuve s'en trouve dans les rimes des vers de ces époques. On trouve, dans les Historiettes de Tallemant des Réaux, un curieux passage à ce sujet : « Il (Malherbe) << ne vouloit point qu'on rymast sur bon« heur ny malheur, parce qu'on ne pro« nonce que l'u, comme s'il y avoit bon« hur, malhur....... Il reprenoit Racan « de rimer qu'ils ont eu avec vertu ou « battu, parce qu'on prononce, à Paris, le « mot eu en deux syllabes... » Aujourd'hui le populaire, qui est le dépositaire certain des anciennes habitudes, prononce évų:

« Il a évu des malheurs... » Les savants s'en moquent; c'est bien plutôt le populaire qui pourrait se moquer d'eux. Nouvel appel aux collabos qui auraient à citer d'autres exemples à l'appui de ma thèse. DOCT. BY.

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Post Tenebras Lux. Cette devise s'étale au frontispice du Journal de Genève; on la retrouve plus ou moins modifiée dans le Dict. des devises, de Chassant et Taussin (T. I, p. 253, et T. II, p. 599). Enfin, elle apparaît sur quatre médailles strasbourgeoises de 1617, frappées en commémoration de l'affichage des thèses de Luther à l'église du château de Wittenberg, médailles décrites par Juncker, dans un volume allemand, publié par lui en 1706 et imprimé à Schleusingen. On voudrait connaître l'origine et la filiation de cette devise.

R.

Maxime

Une Religieuse de Moret? du Camp, dans son intéressant ouvrage sur Paris, dit en parlant de la Bibliothèque Ste-Geneviève : « Parmi ses raretés, «elle conserve jalousement un portrait de «Marie Stuart, donné par elle-même aux religieux de Ste-Geneviève, et la seule image connue de cette mulâtresse fille << naturelle de Louis XIV, qui fut la Religieuse de Moret. »

Dans un article sur Iouis XIV, M. E. de Bonnechose dit en parlant des nombreux bâtards du roi : Enfin on soup"çonne avec beaucoup de vraisemblance

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<< une religieuse de l'abbaye de Moret « d'être sa fille : elle était extrêmement <<basanée et d'ailleurs lui ressemblait. » Quelle était la mère de cette religieuse? Sous quel nom est-elle connue ?

A. D.

Un

Les bossus, tous gens d'esprit ? aventurier célèbre, Casanova de Seingalt, avance, dans ses Mémoires, qu'il est fort rare qu'un bossu ne soit pas un homme d'esprit. Le fait est-il exact? Quels sont les bossus qui se sont fait un nom dans les lettres? Je ne parle pas d'Esope, dont l'existence a été contestée, mais je crois que Pope faisait partie de la confrérie, et Lebrun Pindare s'est moqué de la gibbosité d'un poète original, non dépourvu de talent, mais oublié aujourd'hui, Théodore Desorgues.

D'un autre côté, je lis, dans la Correspondance de la Princesse Palatine (mère du Régent), que le duc d'Anjou, petit-fils de Louis XIV, et roi d'Espagne sous le nom de Philippe V, était bossu et fort porté à l'amour, comme ils le sont tous (ajoute la princesse). T. D.

Singulière peine infligée aux adulteres. Il existe un livret, devenu sans doute fort rare: Les Coustumes et établissements du chasteau de Clermont Souverain. C'est un in-12, de 28 pages, imprimé à Agen, par Antoine Pomaret, 1596. Le château de Clermont sur la Garonne avait alors pour seigneurs suzerains les barons de Durfort Une des clauses de ces coutumes est relative aux adultères « Et qui sera pris avec une femme « mariée en adultère, ou marié avec une << autre femme, ou femme mariée avec un « homme, qu'ils courent la ville tout nudz « et la femme aille la première et tire « l'homme avec une corde per la colla, et «< chacun de ces adultères donne soixante« cinq sols de justice. »

Il existait, je crois, des usages analogues dans d'autres localités. Pourrait-on en citer quelques exemples? (Toulouse.)

Madame de Ranchoup.

E. R.

Une dame de

ce nom, à la suite d'un caprice passager de Napoléon Ier, pour elle aurait été, par ordre supérieur de la police, au commencement de l'Empire, internée à Craponne, petite ville de la Haute-Loire, d'où était originaire la famille de son mari, PierreHenry de Ranchoup.

Ce dernier, fils de Jean-Pierre Ranchoup, mort lieutenant de prévôt à SaintDomingue, était entré fort jeune au service du roi, en qualité d'abord de cadetgentilhomme, puis de sous-lieutenant dans le régiment d'Anjou, et enfin, avant 1780,

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il passa dans les troupes coloniales de l'Inde, à Pondichéry, avec le titre de lieutenant. Fort enclin au plaisir, aimant passionnément les femmes, et rebelle à toute discipline, Pierre-Henry semble avoir quitté le service vers 1787. Il se trouvait alors à Saint-Domingue, sans doute pour y recueillir l'héritage de ses père et mère. Il dut s'y marier avec une jeune créole, qui ne serait autre que la dame en question.

Madame de Ranchoup, fort belle, fort aimable et très spirituelle, se fit remarquer, pendant son séjour à Craponne, par des mœurs et des toilettes excentriques, qui, tranchant sur les habitudes du pays, ne contribuèrent pas peu à graver dans la mémoire des Craponnais le souvenir de son passage parmi eux. A part cela, elle vécut fort retirée, dans la maison de campagne de l'un de ses parents.

Un collabo pourrait-il nous dire s'il existe des traces de cette liaison de notre héroïne avec Napoléon Ier, ainsi que de son exil? enfin, y aurait-il identité entre cette dame et l'auteur du livre suivant, publié sous le voile de l'anonyme, mais attribué par Quérard à Mme Ranchoup: Aloize de Mespres, nouvelle tirée des chroniques du XIIe siècle. Paris, Gide, 1814, in-12?

L.

L'inventeur des allumettes. Dans son numéro du 4 septembre 1880, le journal le Télégraphe annonce la mort récente de l'inventeur des allumettes chimiques. Cet homme, appelé Barthélemy Irinyi, était en 1830, époque de sa découverte, élève en pharmacie à l'Université de Buda-Pesth. Il est mort dans le comitat de Szabolos, en Hongrie.

Serait-il possible de contrôler ces assertions et d'établir la véracité du récit publié par le Télégraphe ? Pourrait-on savoir aussi quel a été le principal introducteur en France de ces allumettes, que je me rappelle avoir vues apparaître, vers 1842 ou 1843, sous le nom d'Allumettes chimiques allemandes?

M. FRABAL.

Niaiseries parisiennes. Ne serait-il pas intéressant de rechercher les niaiseries qui ont fait successivement la distraction des Parisiens? Vers 1840 la mode était aux proverbes par à peu près (voir Balzac : Un début dans la vie).

En 1872, on a inventé les charades tirées de longueur; et, vers 1874, les combles ont fait leur apparition.

Quelles sont les autres bêtises du même genre qui ont eu autrefois du succès ? AD. DR.

Une marque de librairie à interpré

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ter. Au bas du titre de la plaquette' éditée par Etienne Prevosteau, en 1587, et qui contient les opuscules de Passerat et de Girard: NIHIL et QUELQUE CHOSE, figure la marque ci-après :

Un amour tient un flambeau et est assis sur le trait extérieur de la lettre grecque , autour de laquelle s'enroulent deux serpents ailés.

Feu P. Blanchemain prétend que cette marque provenait, à Prevosteau, de Frédéric Morel, son prédécesseur, tandis que Silvestre la fait remonter à Guillaume Morel, père de Frédéric (1548-1564). Elle est assurément allégorique. Quel en est le sens? A. D.

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Le Gorlier, gentilhomme champenois. - Je voudrais bien savoir quel est ce gentilhomme et comment il se fait qu'il publia, en 1624, un Juvénal françois? Y a-til quelque bibliographie ou biographie champenoise, en dehors de ce qu'indique la Bibliographie biographique d'Ettinger? Je me suis adressé sur ce chapitre à quatre-vingt-dix-neuf moutons parisiens, qui ont tous sauté dans le vide, comme ceux de Panurge. Il s'en trouve bien un centième, Champenois, pour me renseigner sur son compatriote le gentilhomme-auteur, Le Gorlier. C. R.

-

Huginus à Barmâ. A composé un petit traité qui a ce titre Saturnia Regna in aurea Sæcula conversa... Paris, 1657.-Jean Wolffg. Dienheim en publia une traduction allemande, dans sa Tæda Trisida Chimica, ou Dreyfache chymische Fackel, Nuremberg, 1674, in-8. Pierre Derieu (libraire ?) fit réimprimer cet ouvrage, d'après l'édition de 1657 (Paris, 1779, in-12, 167 p., figures). Puis, il édita, en 1780, une traduction française, sous le titre de : « Le règne de Saturne, changé en Siècle d'or, M. J. S. P. ou le Magistère des Sages. Qui a été tenu « secret jusqu'à ce jour, et que l'on publie

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« maintenant en faveur des enfants de la « Science. On y a joint, pour lui servir « comme de pierre de touche, une suite a de maximes puisées chez les Philosophes «<les plus authentiques; avec une pratique « très facile. Le tout traduit du latin d'Huginus à Barmâ, par Mr. Pi. Th. « An... A Paris, aux dépens de Pierre « Derieu, M. DCC. LXXX, >> petit in-12 de 192 p., figures. Voyez, pour plus de détails, l'Avis au Lecteur. Que sait-on sur Huginus à Barmâ? Le nom du traducteur ? H. DE L'ISLE.

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Testament politique du cardinal Richelieu « et l'abbé Bourzeïs.»-Quel est le nom du secrétaire de cet homme célèbre, indiqué assez vaguement au tome III, 424, a, des Supercheries littéraires, d'après un passage de M. E. Forcade (voyez la Revue des Deux Mondes, 15 mars 1867, p. 518)? — L'abbé Amable de Bourzeïs a-t-il été l'un des secrétaires du cardinal? Je lis la note suivante sur la garde de l'un de mes exemplaires de ce Testament: « Cet ouvrage a été composé par l'abbé Bourzeïs en 1645. Que dire de cette attribution? H. DE L'ISLE.

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depuis la guerre ?» (Oscar Comettant, Revue alsacienne, d'oct. 1880) R.

Ex-libris Léon Gambetta. Je l'ai eu sous les yeux, vidi ego ipsissimis oculis, mais je ne l'ai pas compris. C'est une eauforte (pas très forte!), de 13 cent. haut. sur 8 et demi larg., dont voici la description. A gauche, un coq dressé sur ses ergots, ventre en avant, tête en arrière, contemple deux mains qui, sortant d'une sorte de nuée, brisent en deux un bâton. Au bord d'une sorte de table ronde, qui semble être le lieu sur lequel est perché le coq et opèrent les deux mains en question, on croit lire ( car les lettres ne sont pas bien formées) le mot: FRANCE. Au-dessus dans une espèce de gloire ou de fond lumineux. est tracée en arc-en-ciel cette devise VOULOIR C'EST POUVOIR. Au bas, dans un cartouche :

EX-LIBRIS. LÉON GAMBETTA. Que peuvent bien vouloir dire ce coq, ce bâton brisé, ces mains sortant d'un nuage, et enfin cette devise ? S. D.

Ex-libris Colas Canon.- Quelqu'un des habiles correspondants de l'Intermédiaire pourrait-il indiquer la provenance de l'exlibris suivant, que je reproduis ici tel quel? Il est imprimé en rouge pâle et se trouve sur ce volume: Les Controverses et Recherches magiques du P. Martin DelCARION. rio, 1611, in-8.

« L'Esprit du théâtre, ou Pensées choisies des Auteurs dramatiques les plus connus, tant anciens que modernes, tant nationaux qu'étrangers. Recueillies et annotées par Le Poitevin de L'Egreville » (Saint-Alme fils), annoncé pour paraître en quatre séries, savoir: 1re série, Siècle de Périclès au règne de François 1er; 2 s. Depuis le règne de François Ier jusqu'à la mort de Louis XIV; 3e s. Depuis le règne de Louis XV jusqu'à Napoléon Empereur; -4° s. Depuis l'Empire jusqu'à nos jours.

Cet ouvrage a-t-il été entièrement publié ? Je possède la re série, publiée en 1866 chez A. Alvares, 24, rue de la Lune, à Paris. ERIALLA.

Réponses.

Le jeune Viala (VI, 328, 402, 473; X, 356, 441; XIII, 580). Il est possible que la légende de Viala suive le sort de celle de Bara (sic), fort entamée à l'heure qu'il est. Toujours est-il qu'il n'est pas tout à fait exact que « son nom se soit glissé dans une des strophes du Chant des Girondins: De Barra, de Viala, imitons le cou

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