Pilons) à peine éclairées par un pâle soleil couchant; de l'autre, les hautes montagnes du Tell encore plus effacées dans les brumes Incolores; et là-dessus, un ciel balayé, brouillé, soucieux, plein de pâleurs fades, d'où le soleil se retirait... Nouveaux lundis - Pagina 110di Charles Augustin Sainte-Beuve - 1867 - 466 pagineVisualizzazione completa - Informazioni su questo libro
| George Sand - 1862 - 374 pagine
...indécises; derrière, au delà, partout, la même couverture d'un vert-pâle étendue sur la terre, — Et là-dessus, un ciel balayé, brouillé, soucieux,...Seul, au milieu du silence profond, un vent doux qui nous amenait lentement un orage, formait de légers murmures autour des joncs du marais. Je passai... | |
| George Sand - 1876 - 396 pagine
...indécises; derrière, au-delà, partout, la même couverture d'un vert pâle étendue sur la terre. — Et là-dessus, un ciel balayé, brouillé, soucieux,...Seul, au milieu du silence profond, un vent doux qui nous amenait lentement un orage, formait de légers murmures autour des joncs du marais. Je passai... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1867 - 482 pagine
...des taches plus grises, ou plus vertes, ou plus jaunes; d'un côté, les Seba'Rous (les sept Pitons) à peine éclairées par un pâle soleil couchant;...soucieux, plein de pâleurs fades, d'où le soleil se retirail sans pompe et comme avec de froids sourires* Seul , au milieu du silence profond, un vent... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1867 - 486 pagine
...taches plus grises, ou plus* vertes, ou plus jaunes; d'un côlé, les Seba'lious (les sept Pitons) à peine éclairées par un pâle soleil couchant;...brouillé, soucieux, plein de pâleurs fades, d'où te soleil se retirait sans pompe et comme avec de froids sorrrires» Seul, au milieu du silence profond,... | |
| Eugène Fromentin - 1882 - 322 pagine
...; ça et là des taches plus grises, ou plus vertes , ou plus jaunes ; d'un côté , les Seba'Rous à peine éclairées par un pâle soleil couchant;...venait du nord-ouest et nous amenait lentement un orage, formait de légers murmures autour des joncs du marais. Je passai une heure entière couché... | |
| Henri Auguste Jouin - 1887 - 334 pagine
...tendance heureuse à sensibiliser la nature, à l'identifier avec l'homme. C'est ainsi qu'il dira : « un ciel balayé, brouillé, soucieux, plein de pâleurs...retirait sans pompe et comme avec de froids sourires. » La nuit, ce sont les étoiles qui enveloppent le voyageur de leur « calmant éclat ». Sainte-Beuve... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1883 - 484 pagine
...côté, les Seba'Rous (les sept Pitons ) à peine éclairées par un pâle soleil couchant; de l'aulre, les hautes montagnes du Tell encore plus effacées...brouillé, soucieux, plein de pâleurs fades, d'où lu soleil se retirait sans pompe et comme avec de froids sourires. Seul , au milieu du silence profond,... | |
| Émile Faguet - 1903 - 796 pagine
...foisonnent (1) ; ils sont peu dissemblables chez Fromentin, qui nous parle d'un ciel < soucieux » d'où « le soleil se retirait sans pompe et comme avec de froids sourires » ; qui voit des arbres « bourrus de forme et de feuillage », et qui compare la nuit à un évanouissement.... | |
| Maurice Wilmotte - 1909 - 350 pagine
...: « la salissure d'une rivière qui travaille «; mentin, qui nous parle d'un ciel « soucieux », d'où « le soleil se retirait sans pompe et comme avec de froids sourires»', qui voit des arbres bourrus de forme et de feuillage », et qui compare la nuit à un évanouissement.... | |
| Pierre Martino - 1910 - 122 pagine
...mélangées aux épithètes pittoresques : k un ciel balayé, brouillé, soucieux, plein de pâleurs pactes d'où le soleil se retirait sans pompe et comme avec de froids sourires... Je passai une heure entière couché près de la source à regarder ce pays pâle, ce soleil pâle,... | |
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