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dignes des meilleurs temps, p. 52. Il est une morale naturelle, ib. - Réfutation des objections contre l'existence de cette morale, 53 et suiv. Nécessité de connoître et de fixer les qualités des êtres sensibles, intelligens et libres, pour remonter aux véritables principes de la morale, p. 58. — Chercher nos principes moraux, non dans les hypothèses, mais dans les choses, p. 59. De l'instinct, p. 60. - L'homme connoît les lois naturelles, et ne les suit pas toujours, p. 61. · Réfutation de l'objection tirée du danger de ne donner pour base à la morale qu'un instinct obscur, ib. et suiv. Des mots révélation et connoissance, foi et conviction, p. H faut consulter le sentiment et la raison, p. 65. - Critique de la raison pure de Kant, p. 66 et suiv.

63.

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Le carac

tere des vérités premières est d'être à la portée de tout le monde, p. 68. - Réfutation du système de M. Reinhold, p.70. La philosophie est le sage emploi de toutes nos forces pour acquérir des connoissances, ib. Il est impossible de pouvoir rendre raison de tout, p. 71. Dans la morale, notre véritable mesure est le sentiment, p. 72. - On s'est trop livré à l'esprit de système dans la recherche des diverses sources de la morale, p. 73 et suiv. C'est dans les facultés de l'homme et dans ses rapports qu'il faut chercher les fondemens de la morale, p. 81. Du moi humain, p. 82. Le dépôt de la loi éternelle ou de la morale est dans nos rapports avec Dieu, avec les hommes, avec nous-mêmes, p. 83 et suiv. La source de la beauté morale a un autre principe que celui de l'utilité générale, p. 90. Réfutation des philosophes qui prétendent que la morale est indépendante des dogmes de l'existence de Dieu et de l'immortalité de l'âme, p. 91. -La morale n'est pas le fruit de l'éducation ni de la politique,

p. 94. L'homme ne peut se suffire; la religion lui est au

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tant et plus nécessaire que la politique, p. 99. —La religion est d'instinct comme la sociabilité, ib. Il n'est indiffépas rent pour la morale qu'on admette ou qu'on n'admette pas l'existence de Dieu, p. 101. Des êtres intelligens et libres ne peuvent avoir des rapports de subordination morale qu'avec une intelligence supérieure, 102. - Le dogme de l'existence de Dieu n'est pas contraire à notre dignité, p. 103. — Est-il possible d'être vertueux et athée, ib. — Si la philosophie veut -être utile à la morale, elle ne doit pas se séparer de la religion, ib. — Il n'est pas interdit à la philosophie d'examiner les objets qui appartiennent à la morale, p. 105.- La connoissance raisonnée de nos facultés a répandu de grandes lumières sur toutes les branches de la morale, p. 106.— L'utilité publique n'est point une vaine abstraction, p. 108. - De l'intérêt individuel, p. 109. - Quel est le principe du bien commun, ib. ib. Le christianisme, en s'étendant, a établi des rapports entre ceux qui l'avoient embrassé, p. 111. - La philosophie a fait rentrer le droit des gens dans la morale, p. Développement du beau vers de Térence: Je suis homme, tout homme est un ami pour moi, p. 112. mœurs sont en partie le produit de l'influence des lumières, p. 113. La morale, bien connue et bien développée, embrasse la société générale des hommes, p. 114. - Toute doctrine est fausse qui ne réunit pas Dieu, l'homme et la société, ibidem.

112.

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Les

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CHAPITRE XXIII.

Du système des philosophes en matière de religion positive..

P. 116

Hume combat l'assertion trop accréditée, qu'aucun philosophe n'a cru à la religion de son temps, p. 116.- La foi des hommes qui ont honoré l'Europe dans les derniers siècles n'étoit point une foi d'habitude, ib. - Les lumières ne sont point incompatibles avec la foi religieuse, p. 117. - Fausse opinion de Lamettrie, p. 118. - Abus de la philosophie en matière de religion positive, ib. - Les athées, p. 119. - Les déistes, ib. Les théistes, ib. Examen de ces trois sortes

ensemble

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› P. 123.

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de philosophes, 120. Ce qu'il faut entendre par révélation, p. 121. La raison et la révélation peuvent aller Réfutation des objections contre la révélation, p. 124 et suiv. Il faut de fortes preuves pour autoriser une révélation comme divine, p. 127. - Il est conforme à la grandeur de Dieu d'employer, pour se faire connoître, la parole, l'écriture et les faits, p. 128. Consulter

la raison dans les affaires religieuses, p. 129.

Des moyens humains, p. 130. — L'idée d'une révélation immédiate, qui paroît d'abord si simple, est plus composée qu'on ne pense, p. 132. Il ne faut pas avoir une philosophie pour les sciences et une pour la religion, p. 133 et suiv. S'il existe une différence entre la vérité morale et la vérité géométrique, cette différence est tout à l'avantage de la première de ces deux vérités, , p. 136. — Recherche des vérités de pur fait, ib.

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Quand un fait est-il incontestable? p. 138. Les incrédules abusent de la philosophie; quelques personnes pieuses l'écartent entièrement dans l'examen des faits et des preuves sensibles en matière de religion, p. 140.- Abus des mots divin, naturel et surnaturel, p. 141 et suiv. En matière de religion, Dieu et l'homme sont les deux termes entre lesquels il s'agit de découvrir des rapports, p. 145. Puisqu'il y a tant de fausses religions, il doit y en avoir une véritable, ib. — La politique s'est unie partout à la religion, parce que les hommes sont naturellement religieux, p. 146.- Principes d'après lesquels un homme sensé peut se convaincre qu'une religion est ou n'est pas divine, p. 147 et suiv.

CHAPITRE XXIV.

De l'enthousiasme, du fanatisme et de la superstition

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P. 152

Abus que les philosophes modernes ont fait des mots enthousiasme, fanatisme, superstition, p. 152.-La religion ne prêche pas un Dieu aux hommes pour leur faire oublier la société, p. 158. Il faut autre chose qu'une philosophie spéculative pour nous rendre vertueux, ib.- La morale sans dogmes ne seroit qu'une justice sans tribunaux, p. 159. - Ni les lois humaines, ni la morale naturelle ne pourront jamais suppléer à la religion, p. 160. Il n'appartient qu'à l'esprit religieux de garantirà la morale naturelle le caractère d'universalité qui lui convient, ib. - Nécessité des rites et des pratiques religieuses, p. 161. S'il y a quelque chose de stable, n'est-ce

pas parmi ceux qui sont unis par le lien de la religion? p. 162. Les rites sont à la morale ce que les signes sont aux idées,

ib. Secte des hommes sans Dieu

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, p. 153. Le philosophe

est forcé de reconnoître en morale surtout l'utilité des pratiques religieuses, p. 164.—Principes de Franklin à cet égard, p. 165. Les préceptes de la religion sont plus puissans que les conseils d'un simple particulier, p. 167. — La morale ne consiste pas uniquement dans l'art de bien penser, mais dans celui de bien faire, ib. De la prière adressée à Dieu; ses avantages décrits par J. J. Rousseau, p. 168.- Il faut une discipline pour la conduite, comme il faut un ordre pour les idées, p. 169. — Réponse à cette objection : l'incrédulité, l'athéisme même, sera préférable à la superstition et au fanatisme, p. 170.-Les préjugés et la superstition ne tiennent pas uniquement aux idées religieuses, p. 171. — Des préjugés religieux, des préjugés d'Etat, des préjugés de société, des préjugés de siècle, p. 173. -Les philosophes sont aussi peuple, et ils le sont souvent plus que le peuple même, p. 174. - Dans mille occasions, les philosophes n'ont pas d'autre logique que celle du peuple, p. 176. — Parallèle entre le peuple et les philosophes, p. 177. On peut abuser de la religion, comme de la philosophie, ib. — Examen de cette question : s'il ne vaut pas mieux que les hommes abusent quelquefois de la religion, que de n'en point avoir, p. 178. - Erreur des philosophes qui pensent que la société humaine peut aller avec un seul des ressorts qui la font mouvoir, p. 181. — Dispute de Rousseau et de d'Alembert sur les spectacles, ib. Admirable pouvoir que la religion exerce sur les âmes, p. 182. - Inconséquence des philosophes relativement à l'influence de la religion, ib. Il est nécessaire aux hommes en général

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