Relevé des produils d'origine et de provenance tunisiennes, importés en France ou en Algérie, sous le régime des lois des 19 juillet 1890, 1er avril 1914, 25 novembre 1915 et 22 avril 1916, pendant la 1re quinzaine du mois de juin 1920. Ministère du commerce et de l'industrie. Avis de concours pour l'emploi de redacteur. Par décision du 1er juin 1920, le ministre du commerce et de l'industrie a prescrit l'ouverture d'un concours pour quinze places de rédacteur à l'administration centrale du commerce et de l'industrie. Les épreuves commenceront le lundi 19 juillet 1920. santé militaire de Lyon qui s'ouvrira le 4 août Ces documents donnent toutes indications Des exemplaires de ces documents et du règlement sur le fonctionnement de l'école du service de santé militaire sont déposés dans les préfectures, les facultés de médecine ou de Les demandes d'admission au concours, établies sur papier timbré et accompagnées des pièces exigées des candidats suivant les indi-pharmacie, les facultés mixtes de médecine et cations du programme, devront être adressées au ministère du commerce et de l'industrie (direction du personnel, de l'expansion commerciale et du crédit, bureau du personnel, 101, rue de Grenelle), pour le 4 juillet 1920 au plus tard. Un exemplaire du programme du concours sera remis ou envoyé à tout candidat qui en fera la demande. N. B. Par décret du 19 juin 1920, le diplôme de l'école libre des sciences politiques a été ajouté aux diplômes ou certificats exigés des candidats à l'emploi de rédacteur. Ministère de la guerre. Concours d'admission à l'école du service de santé militaire. Le Journal officiel du 31 mai 1920 a publié une instruction et une circulaire relatives au concours d'admission à l'école du service de de pharmacie, les écoles de plein exercice ou Concours pour un emploi de professeur du cours Un concours sera ouvert à l'école d'adminis- Ne seront admis que les officiers d'administration de ire classe du service des troupes coloniales ayant, au plus, quatre années de grade au 1er octobre 1920, et les officiers d'administration de 2 classe du même service ayant, au moins, à la même date, six années de services comme officiers, et qui doivent être présents en France au moment du concouss. t 1. Six places pourront être attribuées sans concours à des ingénieurs des arts et métiers remplissant les conditions requises par l'article 77 du décret du 17 juillet 1908, refondu le 15 juillet 1914. Les jeunes gens désireux de bénéficier de ces dispositions devront en adresser la demande au ministre de la marine sous le timbre« Personnel militaire de la flotte », le 8 août 1920 au plus tard, avec les pièces nécessaires pour contracter un engagement volontaire de cinq ans, et un certificat du directeur de leur école, indiquant leur situation d'ingénieur, leur rang de sortie st le nombre des élèves classés. II. Il sera ouvert un concours pour un certain nombre d'emplois de matelot élève mécanicien des équipages de la flotte. Le nombre des admissions sera fixé à l'issue du concours, d'après les résultats. Le programme des épreuves est indiqué ciaprès. Les épreuves écrites commenceront le 20 août 1920 et auront lieu simultanément dans chacun des centres d'examen suivants: Dunkerque, Cherbourg, le Havre, Saint-Servan, Brest, Lorient, Nantes, Rochefort, Bordeaux, Marseille, Toulon, Paris, Lyon, Toulouse et Nancy. Les candidats admissibles subiront la deuxième série des épreuves à Paris, le 13 septembre 1920. Peuvent prendre part à ce concours tous les jeunes gens Français ou naturalisés Français, âgés de dix-huit ans au moins et de vingtquatre ans au plus au 1er octobre 1920, reconnus aptes au service de la flotte. Les conditions d'âge sont de rigueur absolue et ne comportent aucune dispense. Les registres d'inscription pour le concours seront puverts du 1er au 31 juillet. Les demandes seront adressées directement par les candidats aux autorités désignées ciaprès : Au préfet maritime de Cherbourg, pour les candidats désirant concourir à Cherbourg, au Havre ou à Dunkerque; Au préfet maritime de Brest, pour les candidants désirant concourir à Brest ou SaintServan; Au préfet maritime de Lorient, pour les candidats désirant concourir à Lorient ou à Nantes ; commandant du dépôt des équipages de la flotte dans les cing ports militaires, soit par le chef du bureau du recrutement et des réserves au ministère de la marine pour les candidats domiciliés dans le département de la Seine, soit par l'administrateur de l'inscription maritime dans les localités autres que les cinq ports militaires qui dépendent de la circonscription d'un quartier, soit, enfin, par le commandant du bureau de recrutement sur tous les points du territoire autres que ceux susindiqués. Les frais de déplacement pour se rendre au centre d'examen choisi et à Paris pour les épreuves orales, ainsi que pour le retour, sont à la charge des candidats. vertes de teintes plates de couleurs conventionnelles. Les épreuves de la deuxième série consistent en : Un croquis coté ; Une épreuve de travail manuel; Les examens oraux comportent des interrogations sur : L'arithmétique, l'algèbre, la trigonométrie, la géométrie, la mécanique, la physique, la chimie, les machines à vapeur (notions), l'électricité, la géographie. Les candidats qui font preuve de la connaissance de l'allemand ou de l'anglais ont droit à autant de points supplémentaires qu'ils ont obtenu de points au-dessus de 7 pour chacune de ces langues. Toutefois, pendant la durée des épreuves écrites, ceux qui concourent dans un port militaire peuvent, sur leur demande, être placés en subsistance au dépôt des équipages de la Le croquis coté est celui d'un organe de maflotte où ils sont logés et nourris gratuite-chine fait à main-levée, d'après un modèle. ment. De même, ceux admissibles à la deuxième série d'épreuves peuvent, pendant leur séjour à Paris, être, sur leur demande, logés et nourris gratuitement dans une des casernes dépendant du gouvernement militaire de Paris. Notification sera faite à chaque candidat, le 10 août 1920, au plus tard, de l'acceptation ou du rejet de sa deinande d'inscription. Le concours comporte deux séries d'épreuves. La première série comprend : 1° Une composition française (style, orthographe et écriture); 20 Une composition d'arithmétique, d'algèbre et de trigonométrie (problème ou question de cours); 30 Une composition de géométrie (problème ou question de cours); 40 Une composition de mécanique et de physique (question de cours ou problèmes); 5. Un dessin à une échelle donnée d'un organe de machine, fait d'après un croquis coté et dont certaines parties peuvent être recou I. L'épreuve manuelle d'atelier est choisie dans le programme des épreuves pour matelot mécanicien spécifiées ci-dessous. La série des épreuves du concours pour l'emploi de matelot élève mécanicien, le temps consacré à leur exécution, leur notation et leurs coefficients sont indiqués dans le tableau ci-après. Il est attribué, par les membres de la commission, 3 points supplémentaires aux candidats exerçant la profession de chaudronnier ou de forgeron. De plus, la production du certificat d'aptitude (1re partie) de l'un quelconque des baccalauréats de l'enseignement secondaire donne droit à un avantage de 40 points. L'admissibilité à l'une des écoles militaires (Saint-Cyr, navale, polytechnique) ou à l'école centrale, le titre d'élève diplomé des écoles nationales d'arts et métiers ou la production d'un des baccalauréats complets de l'enseignement secondaire donnent droit à un avantage de 80 points. Epreuves écrites (1). Au préfet maritime de Rochefort, pour les Bordeaux ; Au préfet maritime de Toulon, pour les candidats désirant concourir à Toulon ou à Marseille; Au ministre de la marine (bureau des équipages de la flotte), pour les candidats désirant concourir à Paris, Lyon, Toulousé ou Nancy. Les demandes d'inscription doivent indiquer le centre d'examen choisi, la profession du candidat (ajusteur, tourneur, forgeron, chaudronnier en fer ou en cuivre, fondeur-mouleur), son domicile et sa situation vis-à-vis des lois militaires (inscrit maritime, appelé, en sursis, ajourné, etc.). Elles doivent, en outre, être accompagnées des pièces nécessaires aux candidats pour contracter, après nomination à l'emploi de matelot éléve mécanicien, un engagement volontaire d'une durée de cinq ans. Ces pièces sont les suivantes : 1o Bulletin de naissance sur papier libre; 2o Certificat de bonne vie et mœurs délivré par le maire du dernier domicile et conforme au modèle annexé à la décision présidentielle du 29 novembre 1899, inséré au Jõurnal officiel du 3 décembre 1899. Si l'intéressé ne compte pas une année de séjour dans la commune de son domicile, il doit produire un autre certificat du maire de la commune où il était antérieurement domicilié ; 3° Consentement des parents, père, mère ou tuteur, si l'intéressé a moins de vingt ans ; En cas de décès du père, le bulletin de décès est annexé au consentement; si le consentement est signé par le tuteur, on doit y joindre le bulletin de décès du père ou de la mère, ou les deux, suivant le cas, et l'autorisation du conseil de famille. Le certificat de bonne vie et mœurs doit être légalisé par le sous préfet ou le préfet du département; le consentement des père et mère Du tuteur doit être légalisé par le maire; 40 Certificat d'acceptation. ture)..... Arithmétique, algèbre, trigonométrie (problèmes ou questions de cours)....... Géométrie (problèmes ou questions de cours).. Mécanique et physique (problèmes ou questions de cours)... Dessin.... III. II. - Croquis (1)................ Soir : 2 h. deuxième jour. 24 heures en six séances de 4 heures, troisième, quatrième et cinquième jour, laissé à l'appréciation de la commission. (1) Tout candidat ayant obtenu une note inférieure à 13 pour l'orthographe, l'essai manuel, le croquis ou le dessin, ou inférieure à 8 pour l'une quelconque des épreuves écrites, est de ce fait déclaré inadmissible. Addition, soustraction, multiplication et diCette dernière pièce est délivrée soit par le vision des nombres entiers-Théorèmes fon damentaux concernant ces opérations.- Restes de la division d'un nombre entier par 2, 5, 4, 25, 8, 125, 9, 3, 11; caractère de divisibilité par chacun de ces nombres. Plus grand commun diviseur de deux ou plusieurs nombres. - Nombres premiers entre eux. Tout nombre qui divise un produit de deux facteurs et qui est premier avec l'un de ces facteurs divise l'autre. Aire d'un triangle. Aire d'un parallélo Définition et propriétés élémentaires des Longueurs proportionnelles. Division har- Fractions ordinaires.- Réduction d'une fraction à sa plus simple expression. - Réduction de plusieurs fractions au même dénominateur. Plus petit dénominateur commun. Opérations sur les fractions ordinaires. Nombre décimaux. Opérations. - Calcul d'un quotient à une approximation décimale donnée. Réduction d'une fraction ordinaire en fraction décimale; conditions de possibilité. Lorsque la réduction est impossible, la frac tion ordinaire peut être considérée comme la limite d'une fraction périodique illimitée. Carré d'un nombre entier ou fractionnaire, composition du carré de la somme de deux nombres. Le carré d'une fraction, irréductible n'est jamais égal à un nombre entier. Définition et extraction de la racine carrée d'un nombre entier ou fractionnaire à une approximation décimale donnée. Système métrique. Exercices. Rapport de deux nombres. Propriété des proportions. Parties proportionnelles. Mesure des grandeurs. Rapport de deux grandeurs de même espèce. Grandeurs directement et inversement proportionnelles. II. - Algèbre. -- | Aires. Relations métriques dans le triangle rectangle. Polygônes réguliers convexes. Inscription du carré, de l'octogone, de l'hexagone, du triangle équilatéral, du dodécagone dans un cercle. Longueur de leurs côtés en fonction du rayon.Aire.- Définition de la longueur de la circonférence; aire du cercle. Homothétie et similitude. - Rapport des aires de deux figures semblables. axe. Somme géométrique d'un système de vecteurs par rapport à un point. Théorème des projections. Moment linéaire d'un vecteur par rapport à un point; moment par rapport à un axe. Somme des moments par rapport à un axe. Application à un couple de vecteurs. Cinématique. Du mouvement. - Trajec toire d'un point. Mouvement rectiligne; mouvement uniforme; vitesse, sa représentation par un vecteur. Mouvement varié, vitesse moyenne; vitesse un instant donné, sa représentation par un vecteur, accélération moyenne; accélération à un instant donné, sa représentation par un vecteur. Mouvement uniformément varié. Principales relations métriques dans un Axes radicaux. Cercles orthogonaux. Aire engendrée par une ligne droite. Aire de la zone. - Aire de la sphère. Volume engendré par un triangle. - Volume engendré par un secteur circulaire : applications. Volume de la sphère. - Ellipse. Tangente. Cercles directeurs. Cercle principal. Equation de l'ellipse. Tracé par la bande de papier; normale et tangente. Ellipse déduite du cercle par constraction ou dilatation des ordonnées. Projection orthogonale du cercle. Applications. Tracé de Ia tangente. Diamètres. Sous Hyperbole. Tangente. Asymptotes. Parabole. Tracé. Tangente. tangente et sous-normale. Equation de la parabole. Parabole considérée comme la limite d'une ellipse. Sections planes du cylindre et du cône de révolution. Etude géométrique de l'hélice. IV. Trigonométric. Angles mesurés en parties du rayon. Etude du trinôme du second degré. composition en carrés, - Inégalité du second degré. Résolution de l'équation bicarrée. Notion de la dérivée; signification géométrique. Dérivée d'une somme, d'un produit, d'une puissance. Dérivée d'un quotient, d'une racine carrée. Dérivée d'une fonction de fonction. Dérivée de sin. z, de cos. x, de tg. 2, de cong. 2. Application des dérivées à l'étude de la variation des fonctions; le signe de la dérivée indique le sens de la variation. Maxima et minima. Variation et représentation graphique de Relations entre les fonctions circulaires d'un même arc. quelques fonctions simples, en particulier des priment rationnellement en fonction de tg 5. Mouvement curviligne. Vitesse moyenne, vitesse à un instant donné, détinies comme vecteurs. Valeur algébrique de la vitesse. Hodographe. Accélération. Mouvement circulaire uniforme, vitesse angulaire; projection sur un diamètre, mouvement oscillatoire simple sur une droite. Mouvement de translation d'un corps solide. Glissières rectilignes. Mouvement de rotation d'un corps solide autour d'un axe. Mouvement hélicoïdal d'un corps. Vis et Définition. écrou. Diagramme d'un mouvement. Courbe des espaces, courbe des vitesses, courbe des accélérations. Application aux mouvements rectilignes :mouvement uniforme, mouvement uniformément varié, mouvement oscillatoire simple. Dynamique et statique. Point matériel. Inertie. Force sa représentation par_un vecteur. Masse. Indépendance des effets des forces. Composition des forces. — Projection sur un axe ou sur un plan équilibre d'un point matériel libre. Equilibre d'un point matériel sur une courbe ou une surface. Equilibre d'un point matériel sur un plan quand on tient compte du frottement. Mouvement d'un point pesant libre suivant une verticale. Frottement de glissement. - Mouvement d'un point pesant sur la ligne de plus grande pente d'un plan, avec ou sans frottement. Travail d'une force appliquée à un point matériel. Unité du travail. Travail d'une force constante, d'une force variable. Travail élémentaire. Travail total. Evaluation graphique. Travail de la résultante de plusieurs forces. Théorèmes des forces vives pour un point matériel. Exemples simples. Forces appliquées à un corps solide. - Forces parallèles. Centre des forces parallèles. — Centre de gravité en recherche dans quelques cas simples; triangle, trapèze, prisme, pyramide. Couples, composition des couples. -- Réduction des forces appliquées à un solide à deux forces où à une force et à un couple. Conditions d'équilibre d'un corps solide. Cas de trois forces, de forces parallèles, de forces situées dans un même plan. Equilibre d'un corps mobile autour d'un axe fixe ou bien assujetti à reposer sur un plan fixe. Machines simples à l'état de repos et à l'état de mouvement. Levier. Charge du point d'appui. Treuil. Poulie fixe et poulie mobile. Moufles, cric, plan incliné. (On vérifiera que si une machine est en mouvement, les conditions d'équilibre étant rem calculer tg, choix de la valeur correspon-plies à chaque instant, le travail élémentaire dante à un arc donné. Transformer en produit la somme ou la différence de deux sinus ou de deux cosinus. Problême inverse. Transformations trigonométriques; transformer les expressions: cos asin a, tg a± tg b, Itg a. Usage des tables de logarithmes à cinq décimales. Résolution ou discussion de quelques équa tions trigonométriques simples. Résolution des triangles rectangles. Formule a = b2 + c2 - 2 bc cos a. Proportionnalité des côtés d'un triangle quelconque aux sinus des angles opposés; diamètre du cercle circonscrit. de la puissance est égal et de signe contraire à celui de la résistance.) VI. - Physique. (Notions préliminaires, divers états de la matière.) Equilibre des liquides et des gaz. - Force exercée sur une portion de paroi; pression; unités usuelles. Principe de Pascal; variation de la pression avec la profondeur pression sur le fond d'un vase; pression sur les parois latérales; applications. Pression atmosphérique; expérience de Tor ricelli; baromètre, manomètre à air libre; manomètres métalliques. ment oscillatoire d'un pendule; lois expérimentales; formule du pendule simple. Pendule composé; existence d'un pendule simple synchrone; formule du pendule syn'chrone (sans démonstration). Application du pendule à la mesure de g. Aimants. Condensateur; capacité; diélectriques. Notions de magnétisme. Champ, intensité; lignes de force; flux de force; potentiel. Intensité d'aimantation; coefficient d'aimantation; perméabilité et induction magnétique. Solénoide magnétique. Electrodynamique." Courant électrique; force électromotrice et différence de potentiel; intensité; résistance; loi d'Ohm; unités. Courants dérivés; lois de Kirchoff. Lois de Joule, expresssion générale de l'énergie électrique. Champ magnétique d'un courant; règle d'Ampère; solenoïde, galvanomètre. Action d'un champ magnétique sur un courant; loi élémentaire de Laplace. Galvanometre. - Ampéromètre. tre. Electro-aimant. - Voltmè Unités pratiques; relations avec les unités électrostatiques et les unités électromagnétiques. Induction; force électromotrice d'induction; Elondamentale. Piectrolyse; lois de Faraday, loi fles; accumulateurs. Machine gnératrice d'électricité, courant Continu. Chaudières. - Notions générales sur les chaudières et leur fonctionnement. Dispositions schématiques d'une chaudière à tubes d'eau. Accessoires des chaudières. Montures de niveau, soupapes de sûreté à ressort. Alimentation; généralités sur les pompes et injecteurs. Machines alternatives. Dispositions schématiques des différents organes composant une machine à pilon (cylindres, pistons, tiroirs, attelages; arbre moteur, butée). Principe du renversement de marche: section Marshall. Installation schématique d'un condenseur par surface et de ses pompes. Analyse d'un diagramme d'indicateur. Turbines. Principe élémentaire du fonctionnement. Dispositions schématiques de la turbine Par Lignes d'intersection. Intersection de deux cylindros à axes perpendiculaires (applications aux tubulures). Intersection d'un cylindre et d'un cône dont les axes se coupent à angle droit (application aux robinets). Intersection d'une surface de révolution avec des plans. Application: méplats exécutés sur une surface de révolution de profil connu (bielles); lignes d'intersection limitant les chanfreins d'un écrou. Principes et conventions du dessin industriel." - Signes conventionnels. Différents genres de traits. Hachures et teintes conventionDirection des rayons lumineux : traits de force. - Coupes. Rabattement sur les plans de projection. Cotes. - Titres et chiffres. nelles. Applications exécuter à une échelle donnée un dessin teinté et coté d'après un croquis donné. Déterminer rigoureusement les lignes d'intersection des surfaces entre elles. Le croquis donné pourra comprendre seutement deux projections de l'objet (élévation et profil par exemple, une troisième projection plan pour l'exemple donné ou une coupe sera déterminer d'après ces deux projections. La France et ses colonies. Géographie physique, politique, économique. — Historique de la formation de l'empire colonial français. Notions générales sommaires sur la géographie physique, politique, économique des cinq parties du monde. Lecture d'une carte muette. XII. - Croquis. Croquis coté d'un organe de machine, fait à main levée d'après un modèle. XIII. Epreuve manuelle d'atelier. 1° Pour les ajusteurs : Compas droit à arc avec morlaise. Coulisse trapézoïdale de 30 millimètres dans un bloc de 60 millimètres. Assemblagos divers de bandes de fer plat de 28 millimètres : 1 par une double queue d'aronde; 20 par un tenon droit de 20 millimètres et une queue d'aronde de 20 millimètres. Assemblage de deux bandes de fer plat de 22 millimètres par un trait de Jupiter. Coulisse hexagonale de 60 millimètres. Cube de 35 millimètres, coulissant dans une rainure d'un bloc de 80 millimètres. Equerre à chapeau. Etau à main. Trusquin à tige carrée. 20 Pour les tourneurs : Raccord de pompe. Monture d'indicateur (partie supérieure). Ajustage cylindrique avec une partie filetée et son écrou. Ajustage cylindrique et conique avec une partie filetée. Vis à filets carrés avec son écrou et une bague coulissant sur la partie cylindrique. Trusquin avec l'embase, la tige et la douille cylindrique. Vis à doubles filets carrés avec son écrou. Fourche à ail avec cosse. Douille octogonale et cylindrique accolées. cosse. Fourche à deux branches avec douille conique. Bouille de bringueballe de pompe. Chape de poulie. Clef à douille à une branche. Chape à fond incliné de 120 degrés. Griffe de tour. Chape ordinaire. Poupée de tour à archet. Clef anglaise. 4 Pour les chaudronniers en fer: Garniture de trou d'homme en tôle de 6 millimètres. Dessus de forge en tôle fine de 4 millimètres. Cornière à confectionner et à couder à angle droit (tôle de 8 millimètres). Calotte hémisphérique à bords plats (tôle de 5 millimètres). Plaque de tête de chaudière cylindrique (tôle de 4 millimètres). Partie supérieure d'un tube bouilleur (tôle de millimètres). Assembler deux tôles de 10 millimètres, l'une d'elles étant coudée à angle droit. Assemblage d'un ciel de foyer et de la plaque de tête (tôle de 10 millimètres). Tuyau en «S» très allongé en deux morceaux rivés (tôle de 3 millimètres). Coude arrondi en tôle de 3 millimètres. Coquemart (corps sans couvercle). Pour la seconde ligne, M. Manouvrier réunit Į des recherches de MM. Pernter, directeur de l'unanimité des 32 suffrages. Les algues marines, aliment de travail. marines cueillies en bonne saison et convena blement traitées, peuvent absolument rempla travaillent. Bouilloire (corps et bec sans couvercle ni | évolution saisonnière aussi importante, au poignée). Demi-coude en «S» brasé. Fourche brasée. Des concours seront ouverts au cours des mois de septembre et d'octobre 1920, à des dates et dans les ports qui seront fixés ultérieurement, pour les emplois de professeur et de prosecteur dans les écoles annexes de médecine navale savoir: a) Professeur de séméiologie et de petite chirurgie à l'école annexe de Toulon; b) Professeur d'anatomie aux écoles annexes de Brest, Rochefort; c) Prosecteur d'anatomie aux écoles annexes de Brest, Rochefort, Toulon; d) Professeurs de physique et de chimie biologiques aux écoles annexes de Brest et Rochefort. Les conditions d'admission à ces concours ont été fixées par l'arrêté ministériel du 29 juin 1998 et l'instruction du 14 avril 1910 modifié les 6 novembre 1911 et 6 mai 1913. | On savait, par des expériences antérieures, que les algues sont digestibles et nutritives pour les chevaux, mais est-ce au foin, est-ce à l'avoine qu'il convient de les assimiler? Une série de recherches chimiques et biologiques effectuées sous les auspices de la direction des inventions ont montré que ces végétaux, notamment Laminaria flexicaulis, présentent sous une apparence extérieure invariable, une point de vue utilitaire, que celle des céréales. Au cours de l'été, elles se chargent progresgressivement d'un hydrate de carbone digestible, comparable à l'amidon, et qui, théoriquement, doit constituer toute leur valeur comme aliment de travail; au printemps, il n'y en a qu'une trace; à l'automne, la proportion s'élève jusqu'à 40 p. 100. Les algues d'automne, traitées suivant les procédés indiqués par M. Lapicque pour leur enlever leurs sels en leur conservant leurs sucres, donnent un produit très analogue, physiologiquement, au grain des céréales, tandis que, cueillies au printemps, elles ne seraient que du blé fauché en herbe, et lavées sans ménagement, elles ne seraient que du son. Dans l'expérience de MM. Lapicque et BrocqRoussen, un attelage travaillant tous les jours a eu pendant deux mois son avoine remplacée par des algues de bonne qualité, à la dose de 3 kilogr. 500 par jour et par cheval, ne recevant en outre que du foin et de la paille. L'élat des deux animaux ainsi nourris s'est maintenu au moins aussi bon que celui des animaux témoins recevant 3 kilogr. 500 d'avoine; à la fin de l'expérience, on a demandé aux deux attelages un coup de collier intense et prolongé qui a été fourni par l'un et par l'autre très facilement et avec le même succès. l'observatoire météorologique de Vienne et Trabert, qui ont démontré que la hauteur du projectile gazeux, dans les cas les plus faverables, ne dépassait pas 400 metres. météorologique, ainsi que pour la formation Il va sans dire que, pour tout phénomène de la grêle, un état d'équilibre moléculaire doit être réalisé, pour que ce phénomène puisse se produire. Quel est cet état d'équili bre, pour chaque phénomène spécial, nous ne le connaissons pas. Nous pouvons dire seulement que des conditions spéciales, dépendant de la tension de la vapeur d'eau, de température, de tranquilité ou mobilité de l'air, de tension électrique, de configuration du terrain, etc., doivent se trouver simultanément réalisées pour donner naissance à l'un ou l'autre phénomène météorologique. Certainement pour la pluie, par exemple, ces conditions ne sont ni trop nombreuses, ni difficiles à se produire; au contraire, pour la grèle, ces conditions spéciales sont, probablement, plus nombreuses, plus compliquées et plus difficiles à se produire au même moment, ce qui explique d'abord la rareté de ce phénomène en général ainsi que sa fréquence plus ou moins grande dans certaines contrées et l'absence, presque complète, dans les autres. Ces faits nous autorisent à supposer que certaines contrées peuvent servir comme points de départs ou centres des formations et des naissances de germes des nuages à grêle, lesquels, partant de ces contrées, se développent et se propagent dans des directions plus ou moins déterminées. L'idée de combattre la grêle, c'est-à-dire d'empècher la réalisation de toutes ces conditions simultanées pour la formation de la grèle, était toute naturelle. Etant intéressé de la question à cette époque, l'auteur a fait la proposition suivante: « Le tore gazeux, envoyé de la surface de la terre, arrive dans le nuage quand il est déje presque au bout de ses forces et ses effets nd peuvent pas être considérables, au moins dans beaucoup de cas. Il semble préférable de provoquer une forte vibration aérienne dans les hauteurs, de placer la source qui produit les pertubations dans le sein même du nuage ou à un cerf-volant (semblable à ceux qui sont employés dans la météréologie moderne pour le sondage de l'air), soit à un bailon captif une forte sonnerie ou sirène électrique, à son grave ou aigu et produire dans le nuage lui-même des vibrations aériennes beaucoup plus fortes que celles qui sont apportées par les tores...... Effet du cuivre sur la végétation. MM. Na-peu près. Pour cela il faudrait attacher soit à quenne et Demoussy, en cultivant de très jeunes plantes, pois, blé ou laitue, dans des liqueurs nutritives normales additionnées de sulfate de fer, ont reconnu qu'une très petite quantité de sulfate de cuivre, quelques centmillionienes seulement de la solution employée, produit un effet des plus avantageux, en favorisant surtout le développement des racines, qui s'accroissent ainsi deux à trois fois plus vite. Cette influence favorable peut évidemment s'exercer dans la nature, où le fer et le cuivre sont universellement répandus; elle représente donc l'une des utilités que le cuivre peut avoir pour la végétation, qu'il convient de joindre à l'action antiseptique qu'on lui a antérieurement reconnue dans les expériences faites en pleine terre; elle en diffère d'ailleurs en ce qu'elle se manifeste en l'absence de toute intervention microbienne. La coumarine. Le mélilot et l'aspérule odorante ou reine des bois sont des plantes de nos climats bien connues par l'agréable odeur qu'elles répandent lorsqu'elles sont sèches. Cette propriété fait que, parfois, à la campagne, on dispose quelques paquets de ces plantes dans les armoires à linge, de façon à communiquer à celui-ci l'odeur en question. Cette odeur est due à l'apparition dans les tissus végétaux, au cours de la dessiccation, d'un principe bien connu des chimistes, la coumarine. MM. Bourquelot et Herissey démontrent que cette coumarine provient de la décomposition d'un glucoside dont elle est libérée par l'action hydrolisante d'un ferment soluble: l'émulsine, qui accompagne le glucoside dans la plante. L'aéroplane et_la_grêle. Dans une étude présentée par M. B. Baillaud, M. G.-M. Stanoievitch rappelle que vers la fin du siècle dernier, on discutait beaucoup dans le monde scientifique sur l'efficacité des tores gazeux envoyés dans les nuages à grêles par des tirs des canons grandinifuges. On citait des cas où ces tirs ont eu une action positive indiscutable, tandis que, de l'autre côté, les cas d'inefficacité de cette action étaient très nombreux. Cette Controverse a été suffisamment expliquée par Poursuivant la même idee, l'auteur trouve que que ces méthodes sont trop rudimentaires ou trop peu pratiques et efficaces, comparées aux moyens dont nous disposons aujourd'hui dans les aéroplanes. Car l'action de l'aéroplane est double. Si l'on admet qu'un tore gazeux, produit par un canon à la surface de la terre, pourrait produire une perturbation suffisante dans certains cas pour empêcher la formation de la grêle, le bruit, c'est-à-dire une très grande série de tores gazeux produite par la rotation de l'hélice dans les nuages meines, aura une action incomparablement plus efficace pour empêcher toute stabilisation des conditions spéciales nécessaires pour la formation de la grêle. La désagrégation de l'équilibre moléculaire, déjà complète par l'action vibratoire de l'hélice, à laquelle on peut ajouter, si l'on veut, des coups de canon tirés de l'aéroplane, sera parachevée, pour ainsi dire, par la seconde action de l'aéroplane par son action mécanique, par son déplacement matériel dans le sein des nuages. De l'explication de l'action double de l'aéroplane contre la grêle, il ne faut pas conclure que le pilote, avec son appareil, doit entrer en lutte directe contre le nuage à grêle; cette lutte serait non seulement dangereuse à cause des décharges électriques, mais elle serait en même temps inefficace, arrivant trop tard, quand les grêlons sont déjà formés. L'action de l'aéroplane doit être préventive et entreprise à temps pour détruire les germes et empêcher la formation des nuages à grêle. Par conséquent, pour se défendre contre la grêle, un service d'aéroplanes doit être orga nisé dans les contrées fréquentées par ce fléau. La chute de la grêle étant un fait terminal d'une ou plusieurs journées chaudes, sèches et surtout calmes, l'action des aéro |