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10. Translate

(a) Dans un coin, une table, un fauteuil de velours, Miraient dans le parquet leurs pieds dorés et lourds.

Par une porte en vitre, au dehors, l'œil en foule
Apercevait au loin des armoires de Boule,
Des vases du Japon, des laques, des émaux,
Et des chandeliers d'or aux immenses rameaux.
Un salon rouge orné de glaces de Venise,
Plein de ces bronzes grecs que l'esprit divinise,
Multipliait sans fin ses lustres de cristal;
Et, comme une statue à lames de métal,

On voyait, casque au front, luire dans l'encoignure
Un garde argent et bleu d'une fière tournure.

(b) L'homme seul est tombé! Fait dans l'auguste

empire

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Pour être le meilleur, il en devient le pire.
Lui qui devait fleurir comme l'arbre choisi,
Il n'est plus qu'un tronc vil au branchage noirci,
Que l'âge déracine et que le vice effeuille,

Dont les rameaux n'ont pas de fruit que Dieu
recueille,

Où jamais sans péril nous ne nous appuyons,
Où la société greffe les passions!

Chute immense! il ignore et nie, ô Providence!
Tandis qu'autour de lui la création pense!

O honte en proie aux sens dont le joug l'asservit,
L'homme végète auprès de la chose qui vit!

-V. HUGO.

11. From Les Rayons et les Ombres what do about Victor Hugo's life?

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12. Translate

(a) Ni la morale publique ni la science publique n'ont gagné quelque chose à ces trois siècles de culture. Cette culture française, vainement imitée dans toute l'Europe, n'a fait qu'orner les dehors de l'homme, et le vernis dont elle l'a paré se fane déjà partout ou s'écaille. C'est pis en Angleterre, où il est plus extérieur et plus mal appliqué qu'en France, où des mains étrangères l'ont plaqué, et où il n'a pu recouvrir qu'à demi la croûte saxonne, où cette croûte est demeurée fruste et rude.

(b) L'homme pense naturellement à la vie comme à un combat, plus souvent encore à la noire mort qui clôt cette parade meurtrière, et fait descendre tant de cavalcades empanachées et tumultueuses dans le silence et l'éternité du cercueil. Tout ce monde visible est vain; il n'y a de vrai que la vertu de l'homme, l'énergie courageuse par laquelle il prend le commandement de lui-même, et l'énergie généreuse par laquelle il s'emploie au service d'autrui. C'est sur ce fond que les yeux s'attachent; ils percent la décoration mondaine et négligent la jouissance sensuelle, pour aller jusque-là.

(c) Sur toutes ces grandes choses, la vie moderne s'est nichée comme un champignon sur un chêne mort. Des balustrades de perches à demi dégrossies, comme celles d'une fête de village, entourent la fosse d'où s'élèvent les colonnes déterrées de Jupiter Stator. L'herbe pousse sur les pentes éboulées. Des polissons déguenillés jouent au palet avec des pierres. De vieilles femmes avec des enfants crasseux se chauffent au

soleil parmi les ordures. Des moines blancs ou bruns passent, puis des écoliers en chapeau noir conduits par un ecclésiastique rogue.

(d) d'outre-Manche, le dimanche des Rameaux, savates éculées, un paysan à charrue, bien m'en a pris d'emporter, j'entrevois.-M. TAINE.

GERMAN LANGUAGE AND LITERATURE.
The Board of Examiners.

FOR PASS AND HONOUR CANDIDATES.

1. Translate into German

It was a rainy Sunday in the gloomy month of November. I had been detained in the course of a journey by a slight indisposition, from which I was recovering; but I was still feverish, and was obliged to keep within doors all day, in an inn of the small town of Derby. A wet Sunday in a country inn! whoever has had the luck to experience one can alone judge of my situation. The rain pattered against the casements, the bells tolled for church with a melancholy sound.

I went to the windows in quest of something to amuse the eye, but it seemed as if I had been placed completely out of the reach of all amusement. The windows of my bed-room looked out among tiled roofs and stacks of chimneys, while those of my sitting-room commanded a full view of the stable-yard. I know of nothing more calculated to make a man sick of this world than a stable-yard on a rainy day.

D

2. Translate

(a) Wenn ich so des Morgens mit Sonnenaufgange hinausgehe nach meinem Wahlheim und dort im Wirthsgarten mir meine Zuckererbsen selbst pflücke, mich hinsetze, sie abfädme und dazwischen in meinem Homer lese; wenn ich dann in der kleinen Küche mir einen Topf wähle, mir Butter aussteche, meine Schoten ans Feuer stelle, zudecke und mich dazu setze sie manchmal umzuschütteln; da fühl' ich so lebhaft, wie die übermüthigen Freier der Penelope Ochsen und Schweine schlachten, zerlegen und braten.

(b) Was bleibt uns übrig, als dasjenige, was wir mit wiederholter Mühe erfahren können, gewissenhaft zu erzählen, die von dem Abscheidenden hinterlasznen Briefe einzuschalten und das kleinste aufgefundene Blättchen nicht gering zu achten; zumal, da es so schwer ist, die eigensten, wahren Triebfedern auch nur einer einzelnen Handlung zu entdecken, wenn sie unter Menschen. vorgeht, die nicht gemeiner Art sind.

Unmuth und Unlust hatten in Werthers Seele immer tiefer Wurzel geschlagen, sich fester unter einander verschlungen und sein ganzes Wesen nach und nach eingenommen.

3. Translate

Weislingen. Ich sehe kein ander Mittel, den Schwindelgeist, der ganze Landschaften greift, zu bannen. Hören wir nicht schon hier und da die bittersten Klagen der Edeln, dasz ihre Unterthanen, ihre Leibeignen sich gegen sie auflehnen und mit ihnen rechten, ihnen die hergebrachte Oberherrschaft zu schmälern drohen, so dasz die gefährlichsten Folgen zu fürchten sind? .

Kaiser. Jetzt wäre eine schöne Gelegenheit wider den Berlichingen und Selbitz; nur wollt ich nicht, dasz ihnen was zu Leid geschehe. Gefangen möcht ich sie haben, und dann müszten sie Urfehde schwören, auf ihren Schlossern ruhig zu bleiben und nicht aus ihrem Bann zu gehen. Bei der nächsten Session will ich's vortragen.

4. Write a short description of the character of Götz.

5. Translate

(a)

(b)

-Sind wir denn wehrlos? Wozu lernten wir
Die Armbrust spannen und die schwere Wucht
Der Streitaxt schwingen? Jedem Wesen ward
Ein Nothgewehr in der Verzweiflungsangst.
Es stellt sich der erschöpfte Hirsch und zeigt
Der Meute sein gefürchtetes Geweih,
Die Gemse reiszt den Jäger in den Abgrund-
Der Pflugstier selbst, der sanfte Hausgenosz
Des Menschen, der die ungeheure Kraft
Des Halses duldsam unters Joch gebogen,
Springt auf, gereizt, wetzt sein gewaltig Horn
Und schleudert seinen Feind den Wolken zu.

Komm Du hervor, Du Bringer bittrer
Schmerzen,

Mein theures Kleinod jetzt, mein höchster
Schatz-

Ein Ziel will ich Dir geben, das bis jetzt
Der frommen Bitte undurchdringlich war-
Doch Dir soll es nicht widerstehn-Und Du,
Vertraute Bogensehne, die so oft

Mir treu gedient hat in der Freude Spielen,
Verlasz mich nicht im fürchterlichen Ernst!

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