Histoire universelle, Volume 10

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Firmin-Didot, 1862
 

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Pagina 406 - C'est le devoir des rois de réprimer de leur main puissante , et par le droit originaire de leur office, l'audace des tyrans qui déchirent l'État par des guerres sans fin, mettent leur plaisir à piller, désolent les pauvres, détruisent les églises...
Pagina 200 - ... couper têtes et bras ; car mieux vaut un mort qu'un vivant vaincu. Je vous le dis : le manger, le boire, le dormir n'ont pas tant de saveur pour moi que d'ouïr crier des deux parts : A eux! et d'entendre hennir chevaux démontés dans la forêt, et d'entendre crier : A l'aide, à l'aide!
Pagina 547 - Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour accomplir les miracles d'une seule chose.
Pagina 148 - Par la teneur des présentes, nous disons et soutenons que l'amour ne peut étendre ses droits entre mari et femme. Les amants s'accordent toute chose réciproquement et gratuitement, sans aucune obligation de nécessité, tandis que les époux sont tenus par devoir à toutes les volontés l'un de l'autre.
Pagina 321 - Quiconque sera reçu dans cette paix devra, dans l'espace d'un an, se bâtir une maison, ou acheter des vignes, ou apporter dans la cité une quantité suffisante de son avoir mobilier , pour pouvoir satisfaire à la justice, s'il y avait, par hasard, quelque sujet de plainte contre lui. 16°...
Pagina 83 - Et lors me signai et m'agenouillai aux pieds de l'un d'eux qui tenoit une hache danoise à charpentier, et dis : « Ainsi « mourut sainte Agnès. » Messire Gui d'Ibelin, connétable de Chypre, s'agenouilla à côté de moi, et je lui dis : « Je vous absous de tel pouvoir « comme Dieu m'a donné. » Mais quand je me levai d'illec, il ne me souvint oncques de chose qu'il m'eût dite ni racontée 1.
Pagina 322 - ... 20°. Que si quelque clerc commet un méfait dans les limites de la paix, s'il est chanoine, que la plainte soit portée au doyen, et qu'il rende justice. S'il n'est pas chanoine, justice doit être rendue par l'évêque, l'archidiacre, ou leurs officiers. 21°. Si quelque grand du pays fait tort aux hommes de la paix, et, sommé, ne veut pas leur rendre justice, si ses hommes sont trouvés dans les limites de la paix, qu'eux et leurs biens soient saisis, en réparation de cette injure, par le...
Pagina 559 - C'était ériger en loi la licence de Montaigne. Toutefois l'instinct si français de l'unité perce encore au milieu de ce dangereux conseil. « Aujourd'hui, dit-il, pour ce que notre France n'obéit qu'à un seul roi, nous sommes contraints, si nous voulons parvenir à quelque honneur, de parler son langage.
Pagina 407 - Nous avons considéré que, bien que l'autorité tout entière résidât en France dans la personne du Roi, nos prédécesseurs n'avaient point hésité à en modifier l'exercice, suivant la différence des temps ; que c'est ainsi que les communes ont dû leur affranchissement à Louis le Gros, la confirmation et l'extension de leurs droits à saint Louis et à Philippe le Bel...
Pagina 323 - Pont-sur-Seine ) entre les chaus« sées des ponts de Pugny : « Tout homme demeurant dans ladite ville payera, chaque année, « douze deniers et une mine d'avoine pour prix de son domicile; et « s'il veut avoir une portion de terre ou de pré...

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