Geschichte der französischen Literatur seit Ludwig XVI, 1774, Volume 2Fr. Wilh. Grunow, 1874 - 662 pagine |
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... glauben , die alte tra = ditionelle Monarchie werde der vorläufige Abschluß sein : heute steuert das Staatsschiff wieder dem Unbekannten zu . Möchten die Geburtswehen der neuen Zeit nicht zu lange dauern ! Berlin , 3. November 1873 ...
... glauben , die alte tra = ditionelle Monarchie werde der vorläufige Abschluß sein : heute steuert das Staatsschiff wieder dem Unbekannten zu . Möchten die Geburtswehen der neuen Zeit nicht zu lange dauern ! Berlin , 3. November 1873 ...
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... Glauben des Menschen an seine Kraft untergraben , und in der Unfähigkeit , auf eignen Füßen zu stehn , suchte er nach einer recht festen Autorität , die ihm einen Halt gebe . Die Autorität des Papstes war nicht blos die älteste , und ...
... Glauben des Menschen an seine Kraft untergraben , und in der Unfähigkeit , auf eignen Füßen zu stehn , suchte er nach einer recht festen Autorität , die ihm einen Halt gebe . Die Autorität des Papstes war nicht blos die älteste , und ...
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... , so wird man doch zweifelhaft , ob der „ esprit révolu- tionnaire " ihn nicht weit mehr angesteckt hatte , als er selber glauben wollte . Wenn er durch den Ernst seiner Studien dem 16. Jahrhundert Lamennais 1817 . 31.
... , so wird man doch zweifelhaft , ob der „ esprit révolu- tionnaire " ihn nicht weit mehr angesteckt hatte , als er selber glauben wollte . Wenn er durch den Ernst seiner Studien dem 16. Jahrhundert Lamennais 1817 . 31.
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... Glauben der Kirche nur diejenigen Punkte hervorzuheben , die den gebildeten Mann interessiren . Der Lebhaftigkeit wegen hat er die dialogische Form gewählt , obgleich er eigentlich blos vorträgt , da ihm die beiden andern Mitsprecher ...
... Glauben der Kirche nur diejenigen Punkte hervorzuheben , die den gebildeten Mann interessiren . Der Lebhaftigkeit wegen hat er die dialogische Form gewählt , obgleich er eigentlich blos vorträgt , da ihm die beiden andern Mitsprecher ...
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... Glauben gerechtfer- tigt , ohne ihn weiter zu erklären . Der Tod Gottes am Kreuz hat auf eine Weise , die Gottes am würdigsten war , bewiesen , was der Mensch immer geglaubt hat , noch ehe es ihm verkündigt war : daß er in einer ...
... Glauben gerechtfer- tigt , ohne ihn weiter zu erklären . Der Tod Gottes am Kreuz hat auf eine Weise , die Gottes am würdigsten war , bewiesen , was der Mensch immer geglaubt hat , noch ehe es ihm verkündigt war : daß er in einer ...
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Geschichte der französischen Literatur seit Ludwig XVI, 1774, Volume 2 Julian Schmidt Visualizzazione completa - 1873 |
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Brani popolari
Pagina 147 - ... entendre Les airs lointains d'un cor mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l'air est sans bruit, De cette voix d'airain fait retentir la nuit; A ses chants cadencés autour de lui se mêle L'harmonieux grelot du jeune agneau qui bêle. Une biche attentive, au lieu de se cacher, Se suspend immobile au sommet du rocher, Et la cascade unit, dans une chute immense, Son éternelle plainte au chant de la romance.
Pagina 103 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE. On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Pagina 11 - Surtout gardez-vous bien de croire que quelqu'un ait écrit en français depuis le règne de Louis XIV; la moindre femmelette de ce temps-là vaut mieux pour le langage que les JeanJacques, Diderot, d'Alembert, contemporains et postérieurs; ceux-ci sont tous ânes bâtés, sous le rapport de la langue, pour user d'une de leurs phrases; vous ne devez pas seulement savoir qu'ils aient existé.
Pagina 146 - J'ai souri de l'entendre, et plus souvent pleuré ! Car je croyais ouïr de ces bruits prophétiques Qui précédaient la mort des paladins antiques. O montagnes d'azur ! ô pays adoré ! Rocs de la Frazona, cirque du Marboré, Cascades qui tombez des neiges entraînées, Sources, gaves, ruisseaux, torrents des Pyrénées, Monts gelés et fleuris, trône des deux saisons, Dont le front est de glace et les pieds de gazons ! C'est là qu'il faut s'asseoir, c'est là qu'il faut entendre Les airs lointains...
Pagina 293 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal. Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Pagina 103 - L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère ; Dieu vous bénira.
Pagina 146 - J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois seul dans l'ombre à minuit demeuré, J'ai souri de l'entendre, et plus souvent pleuré!
Pagina 159 - Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles, Qui tous, en des temps moins heureux, Ont suivi les drapeaux rebelles D'un usurpateur généreux. Un milliard les met en haleine : C'est peu pour la fidélité. Le peuple crie : Oiseaux, nous payons notre chaîne ; Gardez bien, gardez bien votre liberté.
Pagina 504 - C'est le peuple. Le peuple, qui a l'avenir et qui n'a pas le présent; le peuple, orphelin, pauvre, intelligent et fort; placé très bas, et aspirant très haut; ayant sur le dos les marques de la servitude et dans le cœur les préméditations du génie...
Pagina 150 - Hérodote dans notre langue académique, langue de cour, cérémonieuse, roide, apprêtée, pauvre d'ailleurs, mutilée par le bel usage, c'est étrangement s'abuser; il y faut employer une diction naïve, franche, populaire et riche, comme celle de La Fontaine. Ce n'est pas trop assurément de tout notre français pour rendre le grec d'Hérodote, d'un auteur que rien n'a gêné, qui, ne connaissant ni ton, ni fausses bienséances, dit simplement les choses...