Geschichte der französischen Literatur seit Ludwig XVI, 1774, Volume 2Fr. Wilh. Grunow, 1874 - 662 pagine |
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... und dazu , wie gesagt , fehlte ihnen vorläufig die Macht und der Besit . Sie hatten feudale Grundsäße und keine feudale Stellung . Schmidt , Franz . Lit. Gesch . II . 1 Um so trotiger war ihre Sprache . Sie fühlten sich.
... und dazu , wie gesagt , fehlte ihnen vorläufig die Macht und der Besit . Sie hatten feudale Grundsäße und keine feudale Stellung . Schmidt , Franz . Lit. Gesch . II . 1 Um so trotiger war ihre Sprache . Sie fühlten sich.
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... Macht , über die er verfügte , auch eine Wirksamkeit schaffen wollte , Anhänger des Cabinets gegen das Parlament . Ihnen war das König- thum nur Mittel zum Zweck , sie verlangten Ruhe und Ordnung zur Sicherheit der materiellen ...
... Macht , über die er verfügte , auch eine Wirksamkeit schaffen wollte , Anhänger des Cabinets gegen das Parlament . Ihnen war das König- thum nur Mittel zum Zweck , sie verlangten Ruhe und Ordnung zur Sicherheit der materiellen ...
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... Macht hervorgegangen ; das Jahrhundert Ludwig's XIV . erschien als der Glanzpunkt der Nation , und nach diesem Bild wurden auch die Vorstellungen der Vergangenheit gefärbt . Wie die dramatischen Dichter des 17. Jahrhunderts ihre Römer ...
... Macht hervorgegangen ; das Jahrhundert Ludwig's XIV . erschien als der Glanzpunkt der Nation , und nach diesem Bild wurden auch die Vorstellungen der Vergangenheit gefärbt . Wie die dramatischen Dichter des 17. Jahrhunderts ihre Römer ...
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... macht der Materialismus selbst die poetische Jugendliebe zur Fraße . Wenden wir uns nach diesem Eindruck wieder zu den Gedichten zurüd , so sehn wir freilich , daß Vieles auf Rechnung eines depravirten Alters kommt ; die Empfindung in ...
... macht der Materialismus selbst die poetische Jugendliebe zur Fraße . Wenden wir uns nach diesem Eindruck wieder zu den Gedichten zurüd , so sehn wir freilich , daß Vieles auf Rechnung eines depravirten Alters kommt ; die Empfindung in ...
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... macht Halt , die Empfindungen und Bilder häufen sich zusammen , fie suchen eine Gestalt , und ich sage zu mir selber : Ich will schreiben . Die besten dieser Gedichte zerreiße ich wieder , denn das Auge oder das Ohr der Menschen würde ...
... macht Halt , die Empfindungen und Bilder häufen sich zusammen , fie suchen eine Gestalt , und ich sage zu mir selber : Ich will schreiben . Die besten dieser Gedichte zerreiße ich wieder , denn das Auge oder das Ohr der Menschen würde ...
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Brani popolari
Pagina 147 - ... entendre Les airs lointains d'un cor mélancolique et tendre. Souvent un voyageur, lorsque l'air est sans bruit, De cette voix d'airain fait retentir la nuit; A ses chants cadencés autour de lui se mêle L'harmonieux grelot du jeune agneau qui bêle. Une biche attentive, au lieu de se cacher, Se suspend immobile au sommet du rocher, Et la cascade unit, dans une chute immense, Son éternelle plainte au chant de la romance.
Pagina 103 - LES SOUVENIRS DU PEUPLE. On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Pagina 11 - Surtout gardez-vous bien de croire que quelqu'un ait écrit en français depuis le règne de Louis XIV; la moindre femmelette de ce temps-là vaut mieux pour le langage que les JeanJacques, Diderot, d'Alembert, contemporains et postérieurs; ceux-ci sont tous ânes bâtés, sous le rapport de la langue, pour user d'une de leurs phrases; vous ne devez pas seulement savoir qu'ils aient existé.
Pagina 146 - J'ai souri de l'entendre, et plus souvent pleuré ! Car je croyais ouïr de ces bruits prophétiques Qui précédaient la mort des paladins antiques. O montagnes d'azur ! ô pays adoré ! Rocs de la Frazona, cirque du Marboré, Cascades qui tombez des neiges entraînées, Sources, gaves, ruisseaux, torrents des Pyrénées, Monts gelés et fleuris, trône des deux saisons, Dont le front est de glace et les pieds de gazons ! C'est là qu'il faut s'asseoir, c'est là qu'il faut entendre Les airs lointains...
Pagina 293 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie. L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie. Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal. Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Pagina 103 - L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère ; Dieu vous bénira.
Pagina 146 - J'aime le son du Cor, le soir, au fond des bois, Soit qu'il chante les pleurs de la biche aux abois, Ou l'adieu du chasseur que l'écho faible accueille, Et que le vent du nord porte de feuille en feuille. Que de fois seul dans l'ombre à minuit demeuré, J'ai souri de l'entendre, et plus souvent pleuré!
Pagina 159 - Chamarré de vieux oripeaux, Ce roi, grand avaleur d'impôts, Marche entouré de ses fidèles, Qui tous, en des temps moins heureux, Ont suivi les drapeaux rebelles D'un usurpateur généreux. Un milliard les met en haleine : C'est peu pour la fidélité. Le peuple crie : Oiseaux, nous payons notre chaîne ; Gardez bien, gardez bien votre liberté.
Pagina 504 - C'est le peuple. Le peuple, qui a l'avenir et qui n'a pas le présent; le peuple, orphelin, pauvre, intelligent et fort; placé très bas, et aspirant très haut; ayant sur le dos les marques de la servitude et dans le cœur les préméditations du génie...
Pagina 150 - Hérodote dans notre langue académique, langue de cour, cérémonieuse, roide, apprêtée, pauvre d'ailleurs, mutilée par le bel usage, c'est étrangement s'abuser; il y faut employer une diction naïve, franche, populaire et riche, comme celle de La Fontaine. Ce n'est pas trop assurément de tout notre français pour rendre le grec d'Hérodote, d'un auteur que rien n'a gêné, qui, ne connaissant ni ton, ni fausses bienséances, dit simplement les choses...