 | Pierre Antoine de La Place - 1785 - 518 pagine
...ainfi que de ma pofition, qui pour comble de chagrin, apprêtoit à rire à mes voifins, & fur-tout à mes jeunes amis ; je tire de ma poche une paire de cifeaux , avec lefquels je travaille , non-feulejnentà élaguer ce qu'avoit de trop touflu l'efpèce... | |
 | Pierre Antoine de La Place - 1785 - 514 pagine
...ainfî que de ma pofition, qui pour comble de chagrin , apprêtoit à rire a mes voifïns, & fur-tout à mes jeunes amis ; je tire de ma poche une paire de cifeaux, avec lefquels je travaille , non - feulement a élaguer ce qu'avoit de trop touffu l'efpèce... | |
 | 1831 - 438 pagine
...impatienté1' de son sang- froid ainsi que de ma position, qui, pour comble des chagrin, apprêtooit à1 rire à mes voisins, et surtout à mes jeunes amis,...une paire de ciseaux, avec lesquels je travaille, non seulement à élaguer ce qu'a avoit de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisoit, mais... | |
 | Arthur Dinaux, Aimé Nicolas Leroy - 1851 - 594 pagine
...quelques mouvements (qu'il disait sèchement, impossibles), me procurer quelque petit coin de vue 5' impatienté de son sang-froid, ainsi que de ma position,...poche une paire de ciseaux avec lesquels je travaille, non seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore... | |
 | Aimé Nicolas Leroy, Arthur Dinaux, André Joseph Ghislain Le Glay - 1851 - 596 pagine
...disait sèchement, impossibles), me procurer quelque petit coin de vue ; impatienté de son sang- froid, ainsi que de ma position, qui, pour comble de chagrin,...poche une paire de ciseaux avec lesquels je travaille, non seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore... | |
 | Victor Fournel - 1872 - 626 pagine
...vue, impatienté de son sang-froid, ainsi que de ma position qui apprêtait à rire à mes voisins, je tire de ma poche une paire de ciseaux, avec lesquels...non-seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore les nœnds qui lui servaient d'ornements et dont,... | |
 | Anecdotes - 1878 - 296 pagine
...vue, impatienté de son sang-froid ainsi que de ma position, qui, pour comble de chagrin, prêtait à rire à mes voisins, et surtout à mes jeunes amis,...non-seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore les nœuds qui lui servaient d'ornements et dont,... | |
 | Victor Kastner - 1889 - 312 pagine
...vue, impatienté de son sang-froid ainsi que de ma position, qui, pour comble de chagrin, prêtait à rire à mes voisins, et surtout à mes jeunes amis,...non-seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore les nœuds qui lui servaient d'ornements et dont,... | |
 | Victor Kastner - 1894 - 296 pagine
...vue, impatienté de son sang-froid ainsi que de ma position, qui, pour comble de chagrin, prêtait à rire à mes voisins, et surtout à mes jeunes amis,...non-seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore les nœuds qui lui servaient d'ornements et dont,... | |
 | 1785 - 472 pagine
...ainfi que de ma pofition, qui pour comble de chagrin , appretoit à rire à mes voifins , & fur-tout à mes jeunes amis , je tire de ma poche une paire de cifeaux , avec lefquels je travaille , non feulement à élaguer ce qu'a voit de trop touffu l'efpece... | |
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... à rire à mes voisins, et surtout à mes jeunes amis, je tire de ma poche une paire de ciseaux, avec lesquels je travaille, non-seulement à élaguer ce qu'avait de trop touffu l'espèce de branchage qui me nuisait, mais encore les nœuds qui lui... 