Bibliothèque Latine-Française, Volume 113C. L. F. Pancoucke, 1834 |
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Pagina 155
... trouve par hasard l'Evenus débordé , qui , portant à la mer ses eaux profondes , inondait les cam- pagnes , et s'élevait presque jusqu'à la hauteur des fo- rêts . Nessus , habitué à passer les gués du fleuve , offre à Hercule de nous ...
... trouve par hasard l'Evenus débordé , qui , portant à la mer ses eaux profondes , inondait les cam- pagnes , et s'élevait presque jusqu'à la hauteur des fo- rêts . Nessus , habitué à passer les gués du fleuve , offre à Hercule de nous ...
Pagina 161
... trouve peu dans le somptueux palais des rois , prenez cette robe que mes mains ont tissue pendant qu'Alcide errait par le monde , et , vaincu par le vin , pressait contre sa forte poitrine la reine de Lydie ; maintenant il se laisse ...
... trouve peu dans le somptueux palais des rois , prenez cette robe que mes mains ont tissue pendant qu'Alcide errait par le monde , et , vaincu par le vin , pressait contre sa forte poitrine la reine de Lydie ; maintenant il se laisse ...
Pagina 215
... trouvé deux vainqueurs . Que les dieux apprennent à rougir de leur courroux ! Plût au ciel que le monstre de Némée se fût abreuvé de mon sang ! Plût au ciel que j'eusse été la proie de l'hydre , qui m'entourait de ses cent gueules ...
... trouvé deux vainqueurs . Que les dieux apprennent à rougir de leur courroux ! Plût au ciel que le monstre de Némée se fût abreuvé de mon sang ! Plût au ciel que j'eusse été la proie de l'hydre , qui m'entourait de ses cent gueules ...
Pagina 221
... trouve encore une cavité plus profonde où tu es entré . O douleur aussi forte que moi - même ! : Mais je pleure des larmes sur mes joues ! des larmes ( quelle honte ! ) se répandent sur ce visage autrefois in- altérable , et qui jamais ...
... trouve encore une cavité plus profonde où tu es entré . O douleur aussi forte que moi - même ! : Mais je pleure des larmes sur mes joues ! des larmes ( quelle honte ! ) se répandent sur ce visage autrefois in- altérable , et qui jamais ...
Pagina 237
... trouvé en moi un époux furieux ! Donnez - moi ma massue et mon arc je veux souiller mes mains , je veux imprimer une tache à ma gloire ; il faut que la mort d'une femme couronne les travaux d'Hercule . HYLLUS . Calmez , ô mon père ...
... trouvé en moi un époux furieux ! Donnez - moi ma massue et mon arc je veux souiller mes mains , je veux imprimer une tache à ma gloire ; il faut que la mort d'une femme couronne les travaux d'Hercule . HYLLUS . Calmez , ô mon père ...
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Parole e frasi comuni
acte æther AGAMEMNON Alcide ALCMENA amor Argos astra atque cælo cælum caput CASSANDRE CHOEUR CHORUS ciel CLYTEMNESTRE conjugem conjux crime cruel cruore d'Hercule DEJANIRA DÉJANIRE diem dieux dolor domus douleur ecce ÉGISTHE ÉLECTRE enfans épouse époux fata femme feræ fides fille fils flammes flots foudre furieux furor genus hæc Hercule furieux Herculem hinc HYLLUS ignes illa ille inter Iole ipsa ipse j'ai Junon Jupiter lacrimas licet Lichas main malheur malum manu manus meis meos mère mihi miseranda monstres mori mort Mycènes nate NERO NÉRON Nessus nocte NOURRICE noverca nunc NUTRIX OCTAVIE omne palais parens pater pectore père perfidie PHILOCTÈTE pleurer Poppée PRÆFECTUS Priam quæ quam Quid quidquid quis quod quoque quum ROTROU sæpe sæva sang scelere scelus SCENA semper SENECA SÉNÈQUE soleil Styx tamen tellus temple terre Thessalie Thrace Thyeste tibi Titan trépas triste Troie tulit umbras urbes vultus
Brani popolari
Pagina 391 - Mes parents, mes amis, l'avenir, ma jeunesse, Mes écrits imparfaits ; car, à ses propres yeux, L'homme sait se cacher d'un voile spécieux... A quelque noir destin qu'elle soit asservie. D'une étreinte invincible il embrasse la vie, Et va chercher bien loin, plutôt que de mourir, Quelque prétexte ami de vivre et de souffrir.
Pagina 389 - On voit à l'horizon, de deux points opposés, Des nuages monter dans les airs embrasés; On les voit s'épaissir, s'élever et s'étendre. D'un tonnerre éloigné le bruit s'est fait entendre Les flots en ont frémi, l'air en est ébranlé, Et le long du vallon le feuillage a tremblé. Les monts ont prolongé le lugubre murmure Dont le bruit lent et sourd attriste la nature.
Pagina 387 - L'honneur est comme une île escarpée et sans bords : On n'y peut plus rentrer dès qu'on en est dehors.
Pagina 421 - Je fléchis mon orgueil; j'allai prier Pallas. Son maître, chaque jour caressé dans mes bras, Prit insensiblement dans les yeux de sa nièce L'amour où je voulais amener sa tendresse. Mais ce lien du sang qui nous joignait tous deux Ecartait Claudius d'un lit incestueux; II n'osait épouser la fille de son frère.
Pagina 230 - Si me catenis horridus vinctum suis praeberet avidae Caucasus volucri dapem, Scythia gemente flebilis gemitus mihi non...
Pagina 419 - Je prévois que tes coups viendront jusqu'à ta mère. Dans le fond de ton cœur je sais que tu me hais; Tu voudras t'affranchir du joug de mes bienfaits.
Pagina 388 - Des courtisans sur nous les inquiets regards Avec avidité tombent de toutes parts; A travers les respects leurs trompeuses souplesses Pénètrent dans nos cœurs , et cherchent nos faiblesses; A leur malignité rien n'échappe et ne fuit; Un seul mot, un soupir, un coup d'œil nous trahit; Tout parle contre nous , jusqu'à notre silence...
Pagina 411 - Cent replis tortueux, je ne te priois pas; Quand j'ai , dans les enfers , affronté la mort même , Je n'ai point réclamé ta puissance suprême; J'ai de monstres divers purgé chaque élément , Sans jeter vers le ciel un regard seulement; Mon bras fut mon...
Pagina 399 - Que le foudre en tes mains n'est plus qu'un vain fardeau. Des objets de ton bras le mien est l'homicide, Et tu n'as rien à faire après les faits d'Alcide; Tu n'as plus à tonner; et le ciel toutefois M'est encore interdit après tous ces exploits.
Pagina 50 - Nox prima caelum sparserat stellis, iacent deserta vento vela, turn murmur grave, maiora minitans, collibus summis cadit tractuque longo litus ac petrae gemunt; agitata ventis unda Venturis tumet— cum subito luna conditur, stellae latent, in astra pontus tollitur, caelum perit. nee una nox est; densa tenebras obruit caligo et omni luce subducta fretum caelumque miscet. The darkness of the night is systematically "covered," as com-pared with Aeschylus' brief '