 En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font ; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile.  Théâtre classique ... - Pagina 588a cura di - 1883 - 680 pagineVisualizzazione completa - Informazioni su questo libro
 | Ernest Naville - 1866 - 350 pagine
...accepte tout , afin de tout transformer par la puissance de l'amour. C'est la morale de Philinte : Je prends tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font. Ces enseignemeuts ne sont pas fort nécessaires. H se trouvera toujours assez d'âmes prêtes à applaudir... | |
 | Paul Guesdon - 1867 - 352 pagine
...chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être ; Je prend tout doucement les hommes comme ils sont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font. Molière. §7. OBONTE, à Alceste. Mais, pour vous, vous savez quel est notre traité. Parlez-moi,... | |
 | Ed Mennechet - 1868 - 412 pagine
...pourraient mieux aller prenant un autre cours, Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. Ces deux caractères ainsi tracés, l'auteur devait... | |
 | Ed Mennechet - 1868 - 422 pagine
...pourraient mieux aller prenant un autre cours, Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. Ces deux caractères ainsi tracés, l'auteur devait... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1868 - 436 pagine
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon llegme est philosophe autant que votre bile. ALCESTE. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonne si... | |
 | Molière - 1869 - 1356 pagine
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paroître, En courroux comme vous, on ne me voit point être;...ils sont; J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils fout, Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mou flegme est philosophe autant que votre... | |
 | Edward Hicks Magill - 1870 - 464 pagine
...aller prenant un autre cours ; Mais quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux,17 comme vous, on ne me voit point être ; Je prends...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville. Mon flegme est philosophe autant que votre bile. LES DEUX PEDANTS.18 TRISSOTIN, VADIUS, PHILAMINTE.... | |
 | Edward Hicks Magill - 1870 - 472 pagine
...mieux aller prenant un autre cours; Mais quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux,17 comme vous, on ne me voit point être ; Je prends...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville. Mon flegme est philosophe autant que votre bile. LES DEUX PEDANTS.18 TnissoTra, VADIUS, FHILAMINTK.... | |
 | Molière - 1871 - 972 pagine
...courroiiN, comme vous, on ne me voit point être. 3e prends tout doucement les hommes comme ilssont, J'accoutume mon âme à souffrir ce qu'ils font; Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile. ALCESTE. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonne si... | |
 | 1873 - 510 pagine
...pourraient mieux aller, prenant un autre cours ; Mais, quoi qu'à chaque pas je puisse voir paraître, En courroux, comme vous, on ne me voit point être...Et je crois qu'à la cour, de même qu'à la ville, Mon flegme est philosophe autant que votre bile ' . ALCESTE. Mais ce flegme, monsieur, qui raisonne... | |
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