| Brillat-Savarin - 1864 - 506 pagine
...Buvons, Maynard, a pleine tasse. L'âge insensiblement se passe, Et nons mène à nos derniers jonrs ; L'on a beau faire des prières, Les ans, non plus...que les rivières, Jamais ne rebroussent leur cours. La met a son flux et reflux; Mais, depuis que notre JCUIICSMi Quitte la place à la vieillesse. Le... | |
| Théophile Marion Dumersan, Noël Ségur - 1866 - 584 pagine
...pensées Le regret des Choses passées Et la crainte de l'avenir. Buvons, Maynard, à pleine tasse, L'âge insensiblement se passe, Et nous mène à nos...Le printemps, vêtu de verdure, Chassera bientôt lafroidure. La mer a son flux et reflux; Mais, depuis que notre jeunesse Quitte la place à la vieillesse,... | |
| Théophile Marion Dumersan - 1866 - 590 pagine
...couplets de ce poète pris au hasard dans ses chansons à boire. Buvons, Maynard, à pleine lasse; L'âge insensiblement se passe, Et nous mène à nos...que les rivières Jamais ne rebroussent leur cours. Les lois de la mort sont fatales Aussi bien aux maisons royales Qu'aux taudis couverts de roseaux ;... | |
| Louis Arnould - 1896 - 862 pagine
...pensées le regret des choses passées et la crainte de l'avenir. 5. Beuvons, Ménard, à pleine tasse ; l'âge insensiblement se passe, et nous mène à nos...ans non plus que les rivières jamais ne rebroussent leurs cours '. 6. Le printemps vêtu de verdure chassera bientôt la froidure, la mer a son flux et... | |
| Marcel Braunschvig - 1920 - 950 pagine
...contentement". (Racan, Stances.) INVITATION A BOIRE ~ .. .Buvons, Maynard*, à pleine tasse : L'à^e insensiblement se passe Et nous mène à nos derniers jours ; L'on a beau l'aire des prières, Les ans, non plus que les rivières, Jamais ne rebroussent leur cours. Le prinlemps... | |
| Fernand Fleuret, Louis Perceau - 1924 - 574 pagine
...crainte de l'advenir. Beuvons, Maynard, à pleine tasse. L'aage insensiblement se passe Et nous meine à nos derniers jours ; L'on a beau faire des prières,...rivières, Jamais ne rebroussent leur cours. Le printemps vestu de verdure Chassera bien tost la froidure, Et la mer son flus et reflus (1) ; Mais, depuis que... | |
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