 | Jacques Demogeot - 1884 - 580 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue : Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. » A ces mots, on cria haro * sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc... | |
 | Jean de La Fontaine - 1884 - 188 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc,59 prouva... | |
 | Jean de La Fontaine - 1885 - 218 pagine
...moines passant, 50 La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net." A ces mots on cria haro sur le baudet. ss Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
 | Jean de La Fontaine - 1887 - 228 pagine
...moines passant, 5<> La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net." A ces mots on cria haro sur le baudet. 55 Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
 | Augustin Gazier - 1888 - 252 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. » A ces mots, on cria haro sur le baudet. . Un loup, quelque peu clerc,... | |
 | Jacques Demogeot - 1889 - 576 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue . " "( „<« Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. » A ces mots, on cria haro ' sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc... | |
 | M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1849 - 396 pagine
...autres puissances, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
 | Alphonse Dufour - 1892 - 444 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
 | Lambert Sauveur - 1892 - 338 pagine
...moinEs passant, la faim, l'occasion, l'herbE tendrE, et JE pensE, quelque diablE aussi mE poussant, JE tondis de cE pré la largeur de ma languE : JE n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. REMARQUE. — Le son de e muet est représenté par al dans faisant, nous... | |
 | George Saintsbury - 1892 - 614 pagine
...moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots, on cria haro sur le baudet. Un loup, quelque peu clerc, prouva... | |
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J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. 
