| Alphonse de Lamartine - 1887 - 512 pagine
...soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'enlendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence...harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à l'a lerre Du rivage charmé frappèrent les échos, Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa... | |
| Alphonse de Lamartine - 1888 - 224 pagine
...t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que ' le bruit des rameurs qui frappaient en cadence...et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : ' O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices, Suspendez votre coiys ! Laissez-nous savourer... | |
| Alphonse de Lamartine - 1888 - 224 pagine
...souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que 1 le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes...harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du 2 rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa... | |
| Alcée Fortier - 1889 - 212 pagine
...soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence, On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux." Cette barque, c'est la nôtre. Nous nous y asseyons dès que la lumière du jour a frappé nos paupières,... | |
| Paul Rogez - 1890 - 256 pagine
...t'en souvient-il î nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence...et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : " O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propice», Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer... | |
| Alphonse de Lamartine - 1891 - 358 pagine
...soir, t'en souvient-il? nous voguions en silence; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence...et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : ' « O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! : . • Laissez-nous... | |
| George Saintsbury - 1892 - 614 pagine
...t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence...Du rivage charmé frappèrent les échos : Le flot lut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : ' O temps, suspends ton vol ! et... | |
| Émile Deschanel - 1893 - 352 pagine
...t'en souvient-il t nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. d'Elvire revient sur le rivage désert : elle est mourante, et n'y reviendra jamais 1 Unique témoin... | |
| Ferdinand Brunetière - 1894 - 344 pagine
...l'inconnu, c'est ce qu' « aucun œil n'a vu », c'est ce qu' « aucune oreille n'a jamais entendu ». Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos.... La réalité, toute réalité ne lui sert que d'un point de départ ou d'appui pour s'élancer au delà... | |
| Ferdinand Brunetière - 1895 - 344 pagine
...l'inconnu, c'est ce qu' « aucun œil n'a vu », c'est ce qu' « aucune oreille n'a jamais entendu ». Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos.... La réalité, toute réalité ne lui sert que d'un point de départ ou d'appui pour s'élancer au delà... | |
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