| Bernardin de Saint-Pierre - 1826 - 396 pagine
...nature envers vous me semble bien injuste ! Votre compassion , hii répondit l'arbuste , Part d'un boa naturel ; mais quittez ce souci: Les vents me sont...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici, Contre leurs coups épouvantables , Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots... | |
| Jean de La Fontaine - 1827 - 478 pagine
...données par Rorhefort, clans les Notices des manuscrits, t. Il, p. 223 : Les Roseaux ei les Cyprès. Part d'un bon naturel ; mais quittez ce souci : Les...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots... | |
| Jean de La Fontaine - 1827 - 476 pagine
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit l'arbuste , 1 Avienus, fab. 16, Quercus et Arundo. — jEsop., 59, 143> Arundo et Oliva. Conférez Fabulœ jEsopiccc,... | |
| Jean de La Fontaine - 1829 - 306 pagine
...Mais vons naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vons me semble bien injuste. Votre compassion , lui répondit...mais quittez ce souci ; Les vents me sont moins qu'à vons redoutables : Je plie, et ne romps pas. Vons avez jnsqu'ici Contre leurs coups épouvantables... | |
| Anne Marie comtesse de Beaufort d'Hautpoul - 1830 - 386 pagine
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. ta nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion...naturel : mais quittez ce souci ; Les vents me sont inoins qu'à vous»redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables... | |
| William Bentley Fowle - 1832 - 296 pagine
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste — Votre...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots,... | |
| William Bentley Fowle - 1833 - 300 pagine
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste— Votre...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disoit ces mots,... | |
| Bernardin de Saint-Pierre - 1833 - 738 pagine
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste ! — Votre...quittez ce souci : Les vents me sont moins qu'à vous redoutable» : Je plie, et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici , Contre leurs coups épouvantables ,... | |
| 1835 - 488 pagine
...le principe : c'était au chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit est sec et menaçant : Mais quittez ce souci , Les vents me sont moins qu'à...et ne romps pas; vous avez jusqu'ici , Contre leurs coups épouvantables , Résista sans courber le dos ; Mais attendons la lin.. . Le propos n'est pas... | |
| François Noel - 1835 - 596 pagine
...principe : c'étoit au Chêne à comprendre ce discours. Tout ce qui suit at sec , et même menaçant : 835 coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Le propos n'est pas long,... | |
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