| L. J. M. Carpentier - 1822 - 1216 pagine
...troublé , saisi, surpris, étonné, eti'ravé , épouvanté, consterné , abattu, découragé , égaré. Je le vis , je rougis . je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. . RACINE , Phèdre , act. I , se. 3. Mais il me faut le perdre après l'avoir perdu; Et pour mieux... | |
| Jean Racine - 1822 - 582 pagine
...Virgile? Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler. Je le vis, je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| 1824 - 490 pagine
...amplification fatigante, si c'était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. ( Acte I, Se. 3. ) Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis...mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Jean-François de La Harpe - 1825 - 552 pagine
...peine au fils d'Egée .Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos , mon bonheur, semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi....je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pagine
...exigeait qu'QE' Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vii, je rougis, je pâlis à sa vue ; In trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Tout ce passage est évidemment emprunté... | |
| Pierre-François Tissot - 1825 - 652 pagine
...des convenances, même dans une scène où l» passion franchit toutes les bornes , exigeait qu'OE' Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je p&lisà sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme eperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais... | |
| Voltaire - 1827 - 724 pagine
...fatigante, si c'était une autre qui parlât de la passion de Phèdre. ( Acte I", scène ni.) Athèues me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mou ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler; Je sentis tout mou corps et transir... | |
| Voltaire - 1827 - 726 pagine
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE, Phèdre, act. I, se. ni. L'imagination... | |
| 1827 - 584 pagine
...peine au fils d'Égée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi : Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâIis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais... | |
| Voltaire - 1828 - 528 pagine
...métaphore si recherchée. dit precisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis , je rougis , je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. RACINE , Phèdre, acte i, se. 3. L'imagination... | |
| |