| M. de Fivas (Alain Auguste Victor) - 1857 - 394 pagine
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots,... | |
| Antonio Bergnes de las Casas - 1857 - 500 pagine
...souvent Sur les humides bords des royaumes du veut. La nature envers vous me semble bien injuste. Voire compassion , lui répondit l'arbuste, Part d'un bon...qu'à vous redoutables : Je plie et ne romps pas. Vous-avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons... | |
| C Lombard de Luc - 1858 - 152 pagine
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos : Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots,... | |
| Charles Bigot - 1858 - 340 pagine
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords du royaume du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...souci , Les vents me sont moins qu'à vous redoutables , .(e plie et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber... | |
| Jean de La Fontaine - 1859 - 572 pagine
...de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. '• La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots,... | |
| abbé Rabion - 1859 - 410 pagine
...défendrais de l'orage ; Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent ; La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin. Comme il disait ces mots,... | |
| Eugène Crépet - 1861 - 794 pagine
...défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. Votre compassion,...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le des ; Mais attendens la fin. Comme il disait ces mots,... | |
| Jean de La Fontaine - 1861 - 736 pagine
...défendrois de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent 5ur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre...et ne romps pas. Vous avez jusqu'ici Contre leurs coups épouvantables Résisté sans courber le dos; Mais attendons la fin. » Comme il disoit ces mots,... | |
| Edouard Fournier - 1861 - 388 pagine
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, etc. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
| Édouard Fournier - 1861 - 394 pagine
...satisfait. Il raya le dernier hémistiche des deux vers, et, peut-être sur l'épreuve, il écrivit : La nature envers vous me semble bien injuste. — Votre compassion, lui répondit l'arbuste, ete. Était-ce mieux? Sans doute, puisque La Fontaine en a jugé ainsi. X Cent fois, surtout depuis... | |
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